Exotismes se tient prêt pour la reprise

Exotismes se tient prêt à une prochaine réouverture.

Comme le souligne le voyagiste dans un communiqué de presse : "L’expérience l’a démontré, dès que les destinations d’Exotismes se sont ouvertes et que les voyages de loisirs ont été à nouveau autorisés, les ventes ont bondi, dépassant souvent à période comparable celles de 2019, ainsi que la consultation du site Internet. "

Didier Sylvestre, DGA a déclare « Exotismes a bénéficié d’un contexte préservé sur ses destinations Caraïbes, qui portent 50% du CA, partiellement ouvertes en 2020. L’expérience de la crise sanitaire a montré que le désir de voyages reste fort et que les clients réservent massivement dès que les voyages sont à nouveau autorisés sur l’une ou l’autre de nos destinations ».

Après l’arrêt brutal du premier confinement, l’activité avait bien repris chez le voyagiste dès l’annonce gouvernementale rétablissant la possibilité de voyager à l’étranger (pour les voyages de loisirs) à la mi-juillet 2020 (Antilles françaises, Réunion, Tahiti et ses îles, République Dominicaine et Maldives) et ce jusqu’au 2ème confinement de fin octobre.

De même l’annonce de réouverture fin novembre 2020 a immédiatement dopé les réservations de fin d’année sur les destinations ouvertes et plus particulièrement les Caraïbes : Antilles Françaises et République Dominicaine.

Ainsi sur seulement 2 semaines de départs possibles, Exotismes a vu ses ventes de décembre 2020 grimper de + 5% par rapport à décembre 2019 sur les Antilles françaises.

De son côté la République Dominicaine, toujours sur 2 semaines de départ, restait stable par rapport à décembre 2019.

Et malgré le contexte actuels, le TO enregistre des réservations qui "concernent généralement des départs à moyenne ou longue échéance. En revanche les consultations du site Exotismes restent fortes avec des pics importants liés aux annonces gouvernementales".

Exotismes précise par exemple, la consultation du site a bondi quand a été indiqué jeudi soir la possibilité de desserrer certaines contraintes dès mi-avril si la situation sanitaire évoluait dans le bon sens.