L’initiative de ce référé est portée en commun avec les maires et les acteurs socioprofessionnels de la montagne ainsi que des parlementaires - DR : Depositphotos.com
La région Auvergne Rhône Alpes, avec les département de l’Isère, de Savoie, de la Haute-Savoie, l’association nationale des maires de stations de montagne (ANMSM), mais aussi Domaine Skiable de France (DSF), le syndicat national des moniteurs du ski français (SNMSF) et le syndicat national des guides de haute montagne (SNGM), annoncent saisir le Conseil d'Etat face à la décision de fermer les remontées mécaniques et son impact sur l’économie de la montagne.
Dans un courrier, les co-signataires expliquent que ces décisions "génèrent une profonde incompréhension dans nos territoires".
Dans un courrier, les co-signataires expliquent que ces décisions "génèrent une profonde incompréhension dans nos territoires".
Une décision "pas cohérente avec les autres mesures nationales"
Plus loin, ils ajoutent : "Sollicités par de très nombreux acteurs de la montagne qui ne comprennent pas ces positions, nous avons décidé ensemble de saisir la justice avec un référé devant le Conseil d’Etat contre la décision tendant à empêcher l’ouverture de toutes les remontées mécaniques en France.
Cette décision n’est pas cohérente avec les autres mesures nationales : ouverture du métro à Paris, ouverture des salles de spectacle, possibilité d’aller à l’étranger en vacances indépendamment du ski…
D’autres solutions existent et notamment des protocoles sanitaires stricts sans aller jusqu’à l’interdiction, qui est en droit une mesure disproportionnée non justifiée par les impératifs sanitaires, surtout à un moment où la situation sanitaire s’améliore".
L’initiative de ce référé est portée en commun avec les maires et les acteurs socioprofessionnels de la montagne (exploitants de remontées mécaniques, moniteurs, guides…) ainsi que des parlementaires.
La Région Auvergne Rhône Alpes financera les frais de justice et porte cette initiative avec les trois départements les plus touchés (Savoie, Haute-Savoie et Isère). D’autres acteurs de la montagne des autres massifs devraient se joindre au mouvement.
Cette décision n’est pas cohérente avec les autres mesures nationales : ouverture du métro à Paris, ouverture des salles de spectacle, possibilité d’aller à l’étranger en vacances indépendamment du ski…
D’autres solutions existent et notamment des protocoles sanitaires stricts sans aller jusqu’à l’interdiction, qui est en droit une mesure disproportionnée non justifiée par les impératifs sanitaires, surtout à un moment où la situation sanitaire s’améliore".
L’initiative de ce référé est portée en commun avec les maires et les acteurs socioprofessionnels de la montagne (exploitants de remontées mécaniques, moniteurs, guides…) ainsi que des parlementaires.
La Région Auvergne Rhône Alpes financera les frais de justice et porte cette initiative avec les trois départements les plus touchés (Savoie, Haute-Savoie et Isère). D’autres acteurs de la montagne des autres massifs devraient se joindre au mouvement.