Samedi 3 mai 2014, 110 clients de Fram qui rentraient de leur voyage à Palma de Majorque à bord d'un vol Smart Wings se sont retrouvés à l'arrêt sur le tarmac de l'aéroport Lyon Saint-Exupéry.
Alors qu'ils ne devaient y faire qu'une escale, ils ont finalement dû quitter l'appareil, pour y laisser monter d'autres clients de Fram, en partance pour Fuerteventura.
L'avion de ces derniers, cloué au sol à cause d'un problème technique, na pas pu décoller.
"Nous avons conscience du désagrément causé et nous nous excusons auprès de nos clients, précise un porte-parole de Fram.
A cause du problème technique rencontré, nous avons décidé de faire descendre ces 110 passagers pour que les autres puissent partir.
Alors qu'ils ne devaient y faire qu'une escale, ils ont finalement dû quitter l'appareil, pour y laisser monter d'autres clients de Fram, en partance pour Fuerteventura.
L'avion de ces derniers, cloué au sol à cause d'un problème technique, na pas pu décoller.
"Nous avons conscience du désagrément causé et nous nous excusons auprès de nos clients, précise un porte-parole de Fram.
A cause du problème technique rencontré, nous avons décidé de faire descendre ces 110 passagers pour que les autres puissent partir.
Fram fait un geste commercial
Dès lors, nous avons tout tenté pour trouver au plus vite une solution annexe pour nos passagers, en les tenant informés de la situation."
Le TO a d'abord essayé d’affréter un appareil posé à Nice, qui aurait pu venir à vide pour les transporter jusqu'à Paris, mais les amplitudes horaires de l'équipage posaient problème.
"Nous avons donc essayé de leur trouver des places sur des vols réguliers ou en TGV, mais à une date de retour des vacances et de grand pont de mai, nous avons finalement affréter un autocar."
Par ailleurs, les clients seront rapidement dédommagés à hauteur d'environ 100 € par personne, par chèque, indique le porte-parole du TO.
Le TO a d'abord essayé d’affréter un appareil posé à Nice, qui aurait pu venir à vide pour les transporter jusqu'à Paris, mais les amplitudes horaires de l'équipage posaient problème.
"Nous avons donc essayé de leur trouver des places sur des vols réguliers ou en TGV, mais à une date de retour des vacances et de grand pont de mai, nous avons finalement affréter un autocar."
Par ailleurs, les clients seront rapidement dédommagés à hauteur d'environ 100 € par personne, par chèque, indique le porte-parole du TO.