Le bilan de la fréquentation touristique en France s'avère mitigé durant l'été 2014, selon une étude menée par Offices de Tourisme de France, Rn2d et l’ANMSM, en partenariat avec Atout France et le cabinet Richard Lewy.
Si le bilan est satisfaisant dans la partie Nord-Ouest de l'Hexagone, il reste plus nuancé dans la partie méridionale, compte tenu de conditions météorologiques défavorables, estiment les professionnels du tourisme interrogés.
En juin, la Normandie et la partie supérieure de l’arc Atlantique (de la Bretagne à la Vendée) ont bénéficié de conditions météorologiques clémentes.
"A l’inverse, la partie méridionale de la France a enregistré une baisse de la fréquentation, notamment le littoral méditerranéen qui avait connu une bonne année l’an passé", précise l'analyse.
Si le bilan est satisfaisant dans la partie Nord-Ouest de l'Hexagone, il reste plus nuancé dans la partie méridionale, compte tenu de conditions météorologiques défavorables, estiment les professionnels du tourisme interrogés.
En juin, la Normandie et la partie supérieure de l’arc Atlantique (de la Bretagne à la Vendée) ont bénéficié de conditions météorologiques clémentes.
"A l’inverse, la partie méridionale de la France a enregistré une baisse de la fréquentation, notamment le littoral méditerranéen qui avait connu une bonne année l’an passé", précise l'analyse.
Un intérêt grandissant pour les activités en montagne
En juillet, les touristes semblent avoir été globalement moins nombreux qu'en 2013.
Seul le Nord-Ouest de la France a bénéficié d’un climat favorable et des commémorations du Débarquement pour la Normandie, tout comme Paris qui est resté stable par rapport à une très bonne saison 2013.
La fréquentation du littoral azuréen, tout en se maintenant à un bon niveau, est jugée en recul.
Au mois d'août, les conditions météorologiques ont été aussi dégradées qu’en juillet, mais la fréquentation touristique s’est globalement maintenue par rapport à 2013, sans toutefois compenser les pertes enregistrées au cours du mois de juillet.
En revanche, les prévisions de fréquentation pour le mois de septembre sont optimistes, notamment pour les clientèles internationales en Bretagne, en Normandie, sur le littoral Manche/Mer du Nord et plus généralement dans le Centre Ouest du pays.
Les Italiens et les Espagnols notamment "font leur grand retour aux côtés des nord-américaines".
Quant aux Britanniques, Belges et Allemands, leur nombre semble stable par rapport à l’an passé, sauf à Paris où ils sont annoncés en baisse.
Il apparaît également "une hausse importante des demandes pour les activités en montagne, de pleine nature, les parcs de loisirs ainsi que pour les visites culturelles", alors que les activités sportives et le shopping sont en baisse.
Paradoxalement, l'hébergement à la campagne et la montagne semble en baisse, ainsi que les hôtels et les campings.
Seul le Nord-Ouest de la France a bénéficié d’un climat favorable et des commémorations du Débarquement pour la Normandie, tout comme Paris qui est resté stable par rapport à une très bonne saison 2013.
La fréquentation du littoral azuréen, tout en se maintenant à un bon niveau, est jugée en recul.
Au mois d'août, les conditions météorologiques ont été aussi dégradées qu’en juillet, mais la fréquentation touristique s’est globalement maintenue par rapport à 2013, sans toutefois compenser les pertes enregistrées au cours du mois de juillet.
En revanche, les prévisions de fréquentation pour le mois de septembre sont optimistes, notamment pour les clientèles internationales en Bretagne, en Normandie, sur le littoral Manche/Mer du Nord et plus généralement dans le Centre Ouest du pays.
Les Italiens et les Espagnols notamment "font leur grand retour aux côtés des nord-américaines".
Quant aux Britanniques, Belges et Allemands, leur nombre semble stable par rapport à l’an passé, sauf à Paris où ils sont annoncés en baisse.
Il apparaît également "une hausse importante des demandes pour les activités en montagne, de pleine nature, les parcs de loisirs ainsi que pour les visites culturelles", alors que les activités sportives et le shopping sont en baisse.
Paradoxalement, l'hébergement à la campagne et la montagne semble en baisse, ainsi que les hôtels et les campings.