
Décidés à en finir avec la razzia touristique subie par les Canaries dès les années cinquante, qui ont transformé, tout le monde le sait, la destination en destination vedette, certes, mais surtout en une sorte d’épouvantail à touristes - Depositphotos.com Author mazzzur
Qu’on le veuille ou non, l’activité touristique et les touristes en général posent problème et poseront de plus en plus un problème aussi environnemental qu’économique que civilisationnel.
Les grands récits sont en train de changer. Les modèles touristiques doivent aussi accomplir leur mue.
Culminant le 20 avril avec une foule estimée entre 30 et 70 000 personnes sur l’archipel, les manifestation initiées par plusieurs groupes de militants insulaires appartenant le plus souvent à des associations écologistes locales, faisaient suite à une grève de la faim entamée à Ténérife par des militants de l’association « Canarias se agota » ( les Canaries arrivent au bout), mobilisés contre la construction de deux hôtels de luxe dans une zone protégée sur laquelle il ne semble pas que le gouvernement local soit prêt à appliquer la loi littoral ni à prévoir la reconstruction de l’écosystème.
Décidés à en finir avec la razzia touristique subie par l’Archipel dès les années cinquante, qui ont transformé, tout le monde le sait, la destination en destination vedette, certes, mais surtout en une sorte d’épouvantail à touristes, les Canariens n’en peuvent plus.
Les grands récits sont en train de changer. Les modèles touristiques doivent aussi accomplir leur mue.
Culminant le 20 avril avec une foule estimée entre 30 et 70 000 personnes sur l’archipel, les manifestation initiées par plusieurs groupes de militants insulaires appartenant le plus souvent à des associations écologistes locales, faisaient suite à une grève de la faim entamée à Ténérife par des militants de l’association « Canarias se agota » ( les Canaries arrivent au bout), mobilisés contre la construction de deux hôtels de luxe dans une zone protégée sur laquelle il ne semble pas que le gouvernement local soit prêt à appliquer la loi littoral ni à prévoir la reconstruction de l’écosystème.
Décidés à en finir avec la razzia touristique subie par l’Archipel dès les années cinquante, qui ont transformé, tout le monde le sait, la destination en destination vedette, certes, mais surtout en une sorte d’épouvantail à touristes, les Canariens n’en peuvent plus.
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