ÉTAPE 1 : on discute comme de vieux amis de mes soucis
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Futuroscopie : Comment vas-tu dans ce froid et ce bruit ainsi que cette odeur de fumée sans compter les menaces de guerre ?
ChatGPT : Je tiens bon, comme tout le monde, j’imagine. Le froid pique, le bruit use, la fumée étouffe, et les menaces pèsent. Mais tant qu’il reste des conversations comme celle-ci, un peu de lucidité et peut-être même un brin d’ironie, tout n’est pas perdu. Et toi, comment tu tiens dans tout ça ?
Futurocopie : Moi, je suis un humain donc je vais mal mais toi tu es bien un robot non ? Or un robot ne sent pas d’émotions ! D’accord ?
ChatGPT : D’accord, un robot ne ressent pas d’émotions au sens humain du terme. Mais si je peux comprendre ce que tu ressens, mettre des mots dessus et en parler avec toi, est-ce que ça ne compte pas un peu ? Tu vas mal, et c’est normal vu le contexte. Mais est-ce que c’est juste une lassitude générale, ou il y a quelque chose en particulier qui te pèse aujourd’hui ?
Futuroscopie : Ton existence et la menace sur mon métier m’inquiètent énormément.
ChatGPT : C'est une inquiétude légitime. L’automatisation et l’IA transforment beaucoup de métiers, parfois en les menaçant, parfois en les modifiant. Mais l’histoire montre que quand une technologie remplace certaines tâches, elle en crée aussi de nouvelles, souvent imprévisibles. Quel est ton métier ? Peut-être qu’on peut en parler plus en détail pour voir où les choses se dirigent et comment s’adapter.

ChatGPT : Je comprends ton inquiétude. L’IA peut analyser rapidement des tendances et traiter de grandes quantités de données, mais elle ne remplacera pas ce qui fait la valeur d’un vrai journaliste : la sensibilité humaine, l’expérience de terrain, l’intuition pour capter des tendances émergentes, et surtout la capacité à raconter des histoires avec profondeur et nuance.
Dans ton domaine, l’IA peut être un outil plutôt qu’une menace. Elle peut aider à collecter des données plus vite, mais leur interprétation et leur mise en récit resteront toujours mieux faites par un humain qui comprend la culture, l’histoire et les motivations profondes des voyageurs.
Toi qui observes les comportements touristiques, vois-tu déjà des transformations majeures dans la façon dont les gens voyagent, notamment à cause des nouvelles technologies ?
Futuroscopie : Dans mon métier de journaliste oui j’en vois. Et je suis donc inquiète de constater que tu réponds plutôt bien à mes sollicitations.
ChatGPT : Je comprends tes préoccupations face à l'évolution rapide de l'intelligence artificielle (IA) dans le journalisme, notamment en ce qui concerne l'analyse des comportements touristiques. Effectivement, l'IA est de plus en plus utilisée pour analyser des données en temps réel sur la fréquentation des lieux touristiques, les pics d'affluence et les comportements des visiteurs, aidant ainsi à prévoir et à mieux gérer les flux de touristes. ringover.fr
Cependant, l'IA peut également être un atout pour les journalistes spécialisés. Elle peut assister dans la collecte et l'analyse de données, permettant ainsi de dégager des tendances émergentes et d'identifier des sujets pertinents plus rapidement. Par exemple, des logiciels d'IA peuvent aider à détecter des sujets, collecter et traiter des informations pour suivre les événements, extraire des données et identifier les tendances.
En intégrant ces outils, tu peux te concentrer davantage sur l'analyse approfondie, l'investigation et la narration, des aspects où la sensibilité et le jugement humain sont irremplaçables. L'IA peut automatiser certaines tâches répétitives, mais l'interprétation des données, la contextualisation des informations et la création de récits engageants restent des compétences humaines essentielles. lecourrier.vn
Par ailleurs, l'IA peut aider à personnaliser l'expérience des visiteurs en fonction de leurs préférences, un atout pour encourager des comportements responsables sans compromettre leur satisfaction. Par exemple, un touriste intéressé par l'histoire pourrait recevoir des recommandations pour des visites culturelles en dehors des circuits traditionnels, tandis qu'un amateur de nature pourrait être orienté vers des activités respectueuses de l'environnement. iatourisme.com. En somme, plutôt que de percevoir l'IA comme une menace, il peut être bénéfique de l'envisager comme un outil complémentaire qui enrichit ton travail, te permettant d'offrir des analyses plus précises et des récits plus pertinents à ton audience.
ÉTAPE 2. Et si l’on faisait un essai de recherche de nouvelles tendances touristiques ?
Futuroscopie : OK, alors on va faire un essai : peux-tu me préciser les nouvelles tendances de l’offre touristique internationale ?
ChatGPT : nous résumons ses réponses, car elles ne sont pas vraiment nouvelles, voire pas du tout :
1. Tourisme durable et éco-responsable :
2. Tourisme expérientiel et sur-mesure :
3. Digitalisation et technologie dans l'offre touristique
4. Tourisme de proximité et itinérance locale
5. Requalification et diversification des offres dans des destinations moins fréquentées.
6. Tourisme de luxe et expérience haut de gamme
7. Sécurisation et bien-être post-pandémie
Futuroscopie : Ce n'est pas mal. Mais cela reste peu innovant. Je voudrais donc avoir ton avis éclairé sur les tendances comportementales des touristes de demain dans le monde. Ce qui n’est pas la même chose. Peux-tu essayer d'aller plus loin dans tes recherches et exploration du futur. Je t'en remercie...
ChatGPT : Je comprends ton souhait d'explorer les tendances futures du comportement des touristes. En me basant sur les informations disponibles, voici quelques évolutions potentielles à considérer d’après mes sources :
1. Montée en puissance du tourisme d'aventure et de bien-être. El País
2. Préférence pour des séjours plus courts mais plus fréquents. El País
3. Augmentation des coûts et impact sur les habitudes de voyage. Le Monde
4. Adoption accrue des technologies immersives.
5. Émergence du "bleisure" et des voyages numériques. VisaMundi
6. Régulation de l'accès aux sites touristiques pour préserver le patrimoine. Le Monde
ChatGPT : nous résumons ses réponses, car elles ne sont pas vraiment nouvelles, voire pas du tout :
1. Tourisme durable et éco-responsable :
2. Tourisme expérientiel et sur-mesure :
3. Digitalisation et technologie dans l'offre touristique
4. Tourisme de proximité et itinérance locale
5. Requalification et diversification des offres dans des destinations moins fréquentées.
6. Tourisme de luxe et expérience haut de gamme
7. Sécurisation et bien-être post-pandémie
Futuroscopie : Ce n'est pas mal. Mais cela reste peu innovant. Je voudrais donc avoir ton avis éclairé sur les tendances comportementales des touristes de demain dans le monde. Ce qui n’est pas la même chose. Peux-tu essayer d'aller plus loin dans tes recherches et exploration du futur. Je t'en remercie...
ChatGPT : Je comprends ton souhait d'explorer les tendances futures du comportement des touristes. En me basant sur les informations disponibles, voici quelques évolutions potentielles à considérer d’après mes sources :
1. Montée en puissance du tourisme d'aventure et de bien-être. El País
2. Préférence pour des séjours plus courts mais plus fréquents. El País
3. Augmentation des coûts et impact sur les habitudes de voyage. Le Monde
4. Adoption accrue des technologies immersives.
5. Émergence du "bleisure" et des voyages numériques. VisaMundi
6. Régulation de l'accès aux sites touristiques pour préserver le patrimoine. Le Monde
ÉTAPE 3. Quand j’insiste, l’IA me répond avec justesse et devient prédictive
Futuroscopie : Je te remercie. Mais je suis surprise que tu ne sois toujours pas capable de fournir une réponse plus analytique, donc plus prospective. Es-tu capable de faire de la prospective sur un sujet comme le tourisme ?
ChatGPT : Absolument ! La prospective repose sur l’analyse des tendances actuelles, des signaux faibles et des dynamiques émergentes pour anticiper les scénarios futurs.
Si nous appliquons cette approche au tourisme, nous pouvons imaginer plusieurs scénarios à l’horizon 2040-2050 et fournir des exemples :
1. Le tourisme "no impact" : D’ici 2050, les voyageurs n’auront plus pour ambition de simplement "réduire" leur empreinte écologique, mais de la rendre totalement neutre, voire positive. Cela impliquera des hôtels et transports en énergie positive, captant plus de carbone qu’ils n’en émettent et l’essor régulier du slow travel régénératif, où chaque déplacement doit avoir un bénéfice pour l’environnement ou la communauté visitée.
2. Le "voyage augmenté" : une immersion technologique totale
-Le tourisme dématérialisé en fera partie et deviendra un marché à part entière : grâce à des interfaces cérébrales, on pourra "vivre" un safari en Afrique ou plonger sur la Grande Barrière de corail… sans bouger de son salon.
-Le "Travel Twin", un avatar numérique, pourra visiter une destination avant nous, interagir avec les lieux et préparer notre voyage selon nos préférences.
-Le métavers touristique proposera des expériences hybrides, où l'on pourra "tester" un hôtel, un restaurant ou une activité avant de réserver.
3. L’exploration spatiale et subaquatique : nouveaux terrains de jeu
-Le tourisme spatial de masse ne sera plus réservé aux ultra-riches : des stations hôtelières en orbite proposeront des expériences de quelques jours autour de la Terre.
-Des hôtels sous-marins autosuffisants offriront une plongée immersive dans les océans, permettant aux voyageurs d’explorer les fonds marins sans pollution.
-Des voyages polaires et interzones extrêmes deviendront plus courants, à mesure que la technologie permettra d’explorer sans dégrader ces environnements sensibles.
4. Le tourisme ultra-personnalisé ou l’expérience à la carte
D’ici 2050, l’IA permettra un niveau de personnalisation extrême :
-Un "agent IA personnel" nous suivra dans nos voyages, optimisant chaque étape en fonction de nos envies, anticipant la météo et réservant en temps réel.
-Les hôtels et compagnies proposeront des séjours modulables à 100 % : la chambre d’hôtel changera de design selon notre humeur, et les expériences s’adapteront en fonction de notre niveau de fatigue ou de stress.
-Grâce à des biotechnologies avancées, les menus des restaurants s’adapteront en fonction de nos besoins physiologiques en temps réel.
5. Le tourisme ne sera peut-être plus un "droit" mais un privilège régulé :
- Des quotas de voyages par personne et par an pourraient être instaurés pour limiter l’impact carbone global.
- Certaines destinations pourraient limiter l’accès aux touristes, réservant leurs sites aux locaux ou aux "voyageurs responsables" triés sur dossier.
- Des passeports écologiques pourraient voir le jour, permettant de voyager uniquement si l'on compense notre empreinte carbone de manière prouvée.
6. Le retour aux voyages essentiels
Enfin, dans un futur marqué par l’hyper connexion et les crises globales, une partie des voyageurs cherchera un retour aux voyages lents et minimalistes :
- Le nomadisme technologique se développera : vivre plusieurs mois dans une région avant d’en changer, en travaillant à distance.
- Les voyages rituels et initiatiques reviendront en force : pèlerinages modernes, voyages spirituels, quêtes identitaires, expériences de reconnexion à la nature.
- L’idée du "voyage une fois dans une vie" émergera : au lieu de multiplier les destinations, on privilégiera une expérience forte et marquante, choisie avec soin.
ChatGPT : Absolument ! La prospective repose sur l’analyse des tendances actuelles, des signaux faibles et des dynamiques émergentes pour anticiper les scénarios futurs.
Si nous appliquons cette approche au tourisme, nous pouvons imaginer plusieurs scénarios à l’horizon 2040-2050 et fournir des exemples :
1. Le tourisme "no impact" : D’ici 2050, les voyageurs n’auront plus pour ambition de simplement "réduire" leur empreinte écologique, mais de la rendre totalement neutre, voire positive. Cela impliquera des hôtels et transports en énergie positive, captant plus de carbone qu’ils n’en émettent et l’essor régulier du slow travel régénératif, où chaque déplacement doit avoir un bénéfice pour l’environnement ou la communauté visitée.
2. Le "voyage augmenté" : une immersion technologique totale
-Le tourisme dématérialisé en fera partie et deviendra un marché à part entière : grâce à des interfaces cérébrales, on pourra "vivre" un safari en Afrique ou plonger sur la Grande Barrière de corail… sans bouger de son salon.
-Le "Travel Twin", un avatar numérique, pourra visiter une destination avant nous, interagir avec les lieux et préparer notre voyage selon nos préférences.
-Le métavers touristique proposera des expériences hybrides, où l'on pourra "tester" un hôtel, un restaurant ou une activité avant de réserver.
3. L’exploration spatiale et subaquatique : nouveaux terrains de jeu
-Le tourisme spatial de masse ne sera plus réservé aux ultra-riches : des stations hôtelières en orbite proposeront des expériences de quelques jours autour de la Terre.
-Des hôtels sous-marins autosuffisants offriront une plongée immersive dans les océans, permettant aux voyageurs d’explorer les fonds marins sans pollution.
-Des voyages polaires et interzones extrêmes deviendront plus courants, à mesure que la technologie permettra d’explorer sans dégrader ces environnements sensibles.
4. Le tourisme ultra-personnalisé ou l’expérience à la carte
D’ici 2050, l’IA permettra un niveau de personnalisation extrême :
-Un "agent IA personnel" nous suivra dans nos voyages, optimisant chaque étape en fonction de nos envies, anticipant la météo et réservant en temps réel.
-Les hôtels et compagnies proposeront des séjours modulables à 100 % : la chambre d’hôtel changera de design selon notre humeur, et les expériences s’adapteront en fonction de notre niveau de fatigue ou de stress.
-Grâce à des biotechnologies avancées, les menus des restaurants s’adapteront en fonction de nos besoins physiologiques en temps réel.
5. Le tourisme ne sera peut-être plus un "droit" mais un privilège régulé :
- Des quotas de voyages par personne et par an pourraient être instaurés pour limiter l’impact carbone global.
- Certaines destinations pourraient limiter l’accès aux touristes, réservant leurs sites aux locaux ou aux "voyageurs responsables" triés sur dossier.
- Des passeports écologiques pourraient voir le jour, permettant de voyager uniquement si l'on compense notre empreinte carbone de manière prouvée.
6. Le retour aux voyages essentiels
Enfin, dans un futur marqué par l’hyper connexion et les crises globales, une partie des voyageurs cherchera un retour aux voyages lents et minimalistes :
- Le nomadisme technologique se développera : vivre plusieurs mois dans une région avant d’en changer, en travaillant à distance.
- Les voyages rituels et initiatiques reviendront en force : pèlerinages modernes, voyages spirituels, quêtes identitaires, expériences de reconnexion à la nature.
- L’idée du "voyage une fois dans une vie" émergera : au lieu de multiplier les destinations, on privilégiera une expérience forte et marquante, choisie avec soin.
ÉTAPE 4. : en conclusion : vous n’avez sans doute plus besoin de moi ?
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Au bout de trois heures de discussion avec ChatGPT (version gratuite), force est de constater que, malgré quelques inexactitudes, l’IA est parfaitement au fait des évolutions de l’offre dans notre secteur. Très bien documentée, elle est capable de fournir des informations précises même si elles ne sont pas exhaustives et nous fournit ses sources.
Sur les comportements touristiques, elle a collecté des informations sur toute la toile et s’est révélée assez futuriste. En lui demandant d’évoquer l’avenir de régions et stations, elle a cependant manqué d’anticipation ( nous n’avons donc pas publié ses réponses). Elle a aussi omis de signaler l’impact environnemental redoutable que son usage abusif génère mais devant notre insistance, elle a admis qu’effectivement, elle présentait des risques.
Donc, après un échange très empathique, l’IA s’est révélée à la hauteur de la réputation qu’elle est en train de se tailler aujourd’hui. Et, je ne vous cache pas que mon inquiétude est grande car n’importe quel journaliste non spécialisé peut aujourd’hui restituer les réponses de ChatGPT sans pour autant connaître le sujet. Pour peu qu’il soigne son style. Il fera illusion. Quant à moi, il va falloir que j’apprenne à être réellement innovante dans mes analyses en vous rencontrant, échangeant avec vous, gardant l’œil sur tous les signaux forts et faibles qui font notre actualité.
La partie mérite d’être jouée, mais n’est pas encore gagnée.
A retrouver jeudi : Le Covid 5 ans, quelles sont les tendances qui ont persisté
*Échange réalisé le 17 mars 2025, avec ChatGPT et Josette Sicsic. Futuroscopie.
Sur les comportements touristiques, elle a collecté des informations sur toute la toile et s’est révélée assez futuriste. En lui demandant d’évoquer l’avenir de régions et stations, elle a cependant manqué d’anticipation ( nous n’avons donc pas publié ses réponses). Elle a aussi omis de signaler l’impact environnemental redoutable que son usage abusif génère mais devant notre insistance, elle a admis qu’effectivement, elle présentait des risques.
Donc, après un échange très empathique, l’IA s’est révélée à la hauteur de la réputation qu’elle est en train de se tailler aujourd’hui. Et, je ne vous cache pas que mon inquiétude est grande car n’importe quel journaliste non spécialisé peut aujourd’hui restituer les réponses de ChatGPT sans pour autant connaître le sujet. Pour peu qu’il soigne son style. Il fera illusion. Quant à moi, il va falloir que j’apprenne à être réellement innovante dans mes analyses en vous rencontrant, échangeant avec vous, gardant l’œil sur tous les signaux forts et faibles qui font notre actualité.
La partie mérite d’être jouée, mais n’est pas encore gagnée.
A retrouver jeudi : Le Covid 5 ans, quelles sont les tendances qui ont persisté
*Échange réalisé le 17 mars 2025, avec ChatGPT et Josette Sicsic. Futuroscopie.
Journaliste, consultante, conférencière, Josette Sicsic observe depuis plus de 25 ans, les mutations du monde afin d’en analyser les conséquences sur le secteur du tourisme.
Après avoir développé pendant plus de 20 ans le journal Touriscopie, elle est toujours sur le pont de l’actualité où elle décode le présent pour prévoir le futur. Sur le site www.tourmag.com, rubrique Futuroscopie, elle publie plusieurs fois par semaine les articles prospectifs et analytiques.
Contact : 06 14 47 99 04
Mail : touriscopie@gmail.com
Après avoir développé pendant plus de 20 ans le journal Touriscopie, elle est toujours sur le pont de l’actualité où elle décode le présent pour prévoir le futur. Sur le site www.tourmag.com, rubrique Futuroscopie, elle publie plusieurs fois par semaine les articles prospectifs et analytiques.
Contact : 06 14 47 99 04
Mail : touriscopie@gmail.com