Alors que Gourou Mike nous prédit la disparition des ¾ des compagnies low costs européennes pour cause de modèle économique ne tenant plus la route face au prix du kérosène - et il sait de quoi il parle le bougre…- et que le SNAV s’inquiète des répercutions d’une éventuelle défaillance d’Alitalia, Richard Vainopoulos remet sur le tapis la création d’une caisse de garantie de l’aérien.
Une caisse qui permettrait de rembourser les passagers en cas de défaillance d’une compagnie et serait financée par une taxe de 2 ou 3 euros sur chaque billet d’avion.
Et une taxe supplémentaire, une ! Serrez-vous les taxes, y va y avoir surbook ! Dieu merci, le billet papier est mort, mettant ainsi un terme définitif au risque de surpopulation de la rubrique « taxes ».
Une caisse de garantie, une sorte d’APS du transport aérien en somme…A un détail près, mais quel détail, cette caisse ne serait pas financée par ceux qui font courir le risque – les compagnies aériennes – mais par ceux qui le courent : les clients.
Une caisse qui permettrait de rembourser les passagers en cas de défaillance d’une compagnie et serait financée par une taxe de 2 ou 3 euros sur chaque billet d’avion.
Et une taxe supplémentaire, une ! Serrez-vous les taxes, y va y avoir surbook ! Dieu merci, le billet papier est mort, mettant ainsi un terme définitif au risque de surpopulation de la rubrique « taxes ».
Une caisse de garantie, une sorte d’APS du transport aérien en somme…A un détail près, mais quel détail, cette caisse ne serait pas financée par ceux qui font courir le risque – les compagnies aériennes – mais par ceux qui le courent : les clients.
Le président de Tourcom semble être bien esseulé...
Autres articles
-
L’aviation cruciale pour l’Union européenne... sauf pour la France ?
-
"Les remboursements des PGE posent problèmes" selon Richard Vainopoulos 🔑
-
IATA en guerre contre les agences de voyages ou épiphénomène ?🔑
-
Grève contrôleurs aériens : quid du jeudi 19 janvier 2023 ?
-
Richard Vainopoulos (Tourcom) : "2023 s'annonce pas trop mal"
Arrêtez-moi si je me trompe, ce ne serait pas ça qu’on appelle, en français d’en bas, une assurance ? Toute ironie mise à part, force est d’avouer que l’idée est loin d’être stupide et qu’il serait effectivement temps qu’on prenne le problème à bras le corps sans attendre les prochaines défaillances.
Le hic, car hic il y a, c’est que le président de Tourcom semble être bien esseulé et qu’à l’en croire le SNAV a d’autres priorités : « le combat du SNAV actuellement, c’est la surcharge carburant … » …et le dossier d’adhésion d’ADP Voyages…(1)
J’ai eu beau chercher dans mon petit Freund Illustré, rien, nada, niente, peau de balle, makach’oualou : un vrai défi à la psychanalyse cet homme là.
Une fois de plus, le sémillant président de Tourcom a mis les pieds dans le plat et a pris tout le monde à contre-pied. L’art de ne jamais être là où on l’attend et surtout d’être là où ne l’attend pas, c’est la marque de fabrique de Richard Vainopoulos.
Que dis-je un art ? Une doctrine, une philosophie dont il est l’un des maîtres incontestés (à croire qu’il fut stagiaire chez NF sous l’ère d’un certain Jacques M. ).
Séquelles traumatiques post soixante-huitardes ou syndrome druckero-besancenien ? En l’état actuel de la science, toutes les hypothèses restent envisageables.
Le hic, car hic il y a, c’est que le président de Tourcom semble être bien esseulé et qu’à l’en croire le SNAV a d’autres priorités : « le combat du SNAV actuellement, c’est la surcharge carburant … » …et le dossier d’adhésion d’ADP Voyages…(1)
J’ai eu beau chercher dans mon petit Freund Illustré, rien, nada, niente, peau de balle, makach’oualou : un vrai défi à la psychanalyse cet homme là.
Une fois de plus, le sémillant président de Tourcom a mis les pieds dans le plat et a pris tout le monde à contre-pied. L’art de ne jamais être là où on l’attend et surtout d’être là où ne l’attend pas, c’est la marque de fabrique de Richard Vainopoulos.
Que dis-je un art ? Une doctrine, une philosophie dont il est l’un des maîtres incontestés (à croire qu’il fut stagiaire chez NF sous l’ère d’un certain Jacques M. ).
Séquelles traumatiques post soixante-huitardes ou syndrome druckero-besancenien ? En l’état actuel de la science, toutes les hypothèses restent envisageables.
Un Trublion d’Honneur pour l’ensemble de votre œuvre…
Ses détracteurs – car il en a – vous diront qu’il avance ses pions sur le grand échiquier de l’Ego et qu’il rêve secrètement d’être calife à la place du calife (certains prétendent même qu’il y pense tous les matins en se rasant).
Ses partisans – qu’ils soient farouches adhérents du courant « tourcomiens de la première heure» ou simples sympathisants de la frange « empêcheurs de penser en rond de tous poils» - vous assureront qu’il n’en est rien.
Pour eux, Richard Vainopoulos ne nourrit d’autre ambition que celle de défendre un métier qu’il aime par dessus tout et que son ego, il y a bien longtemps qu’il s’assied dessus…
Mais au fond, si le problème était bien plus simple, et si sa motivation profonde, c’était tout simplement ce petit – mais ô combien jubilatoire – plaisir de faire ch… tout le monde ?
Alors Richard, vous qui chaque année décernez les TO d’Or – Oscar et César étaient déjà pris – et quitte à faire de l’ombre aux stars de la Croisette, j’ai bien envie de vous décerner un Trublion d’Honneur pour l’ensemble de votre œuvre…
Oui j’ose le dire haut et fort : Richard je vous aime ! Et comme disait un vieux copain de promo : un mot de vous et je quitte ma mère….Allez chiche !
(1) remarque aussi déplacée que narquoise qui n’a pu que germer dans l’esprit malsain de votre serviteur, et qui n’est en aucun cas imputable au président de Tourcom.
Ses partisans – qu’ils soient farouches adhérents du courant « tourcomiens de la première heure» ou simples sympathisants de la frange « empêcheurs de penser en rond de tous poils» - vous assureront qu’il n’en est rien.
Pour eux, Richard Vainopoulos ne nourrit d’autre ambition que celle de défendre un métier qu’il aime par dessus tout et que son ego, il y a bien longtemps qu’il s’assied dessus…
Mais au fond, si le problème était bien plus simple, et si sa motivation profonde, c’était tout simplement ce petit – mais ô combien jubilatoire – plaisir de faire ch… tout le monde ?
Alors Richard, vous qui chaque année décernez les TO d’Or – Oscar et César étaient déjà pris – et quitte à faire de l’ombre aux stars de la Croisette, j’ai bien envie de vous décerner un Trublion d’Honneur pour l’ensemble de votre œuvre…
Oui j’ose le dire haut et fort : Richard je vous aime ! Et comme disait un vieux copain de promo : un mot de vous et je quitte ma mère….Allez chiche !
(1) remarque aussi déplacée que narquoise qui n’a pu que germer dans l’esprit malsain de votre serviteur, et qui n’est en aucun cas imputable au président de Tourcom.