Cet appel à la grève illimitée depuis ce matin, vendredi 10H00, vise à obtenir un "rééquilibrage" des emplois en faveur des insulaires. Le syndicat se réfère à un accord conclu 14 mois plus tôt avec la direction et estime que le compte n'y est pas au niveau de la parité alors que 65 postes à terre viennent d'être créées à Marseille contre seulement trois sur l'île.
Ils évoquent également des retards de salaires.
Une grève qui tombe au plus mauvais moment, compte tenu bien sûr des retours de vacances et de 2 500 passagers attendus à Marseille qui devaient embarquer pour Ajaccio et Bastia ce week-end.
"Aucune amélioration n'est à attendre pour le week-end", a-t-on déclaré de source syndicale. Cinq navires sont bloqués à Marseille et un à Ajaccio.
Un conflit qui prend à revers toute l'entreprise
Un conflit qui prend également à revers l'ensemble de l'entreprise tant les accords de paix signés il y a quelques mois entre direction et syndicats, semblaient solides et laissaient augurer d'une paix sociale à plus ou moins long terme.
La compagnie qui renoue avec ses vieux démons ne pourra pas longtemps se permettre ce genre de fantaisie, alors que la concurrence a bel et bien pris sa place. A l'heure où nous mettons en ligne, nous ne sommes pas parvenus à joindre la direction pour de plus amples commentaires.
Une chose est certaine : tous les bateaux sont bloqués à Marseille et Ajaccio et le trafic entre la Corse et le continent est totalement interrompu.
Affaire à suivre...
Ils évoquent également des retards de salaires.
Une grève qui tombe au plus mauvais moment, compte tenu bien sûr des retours de vacances et de 2 500 passagers attendus à Marseille qui devaient embarquer pour Ajaccio et Bastia ce week-end.
"Aucune amélioration n'est à attendre pour le week-end", a-t-on déclaré de source syndicale. Cinq navires sont bloqués à Marseille et un à Ajaccio.
Un conflit qui prend à revers toute l'entreprise
Un conflit qui prend également à revers l'ensemble de l'entreprise tant les accords de paix signés il y a quelques mois entre direction et syndicats, semblaient solides et laissaient augurer d'une paix sociale à plus ou moins long terme.
La compagnie qui renoue avec ses vieux démons ne pourra pas longtemps se permettre ce genre de fantaisie, alors que la concurrence a bel et bien pris sa place. A l'heure où nous mettons en ligne, nous ne sommes pas parvenus à joindre la direction pour de plus amples commentaires.
Une chose est certaine : tous les bateaux sont bloqués à Marseille et Ajaccio et le trafic entre la Corse et le continent est totalement interrompu.
Affaire à suivre...