La compagnie de Bahrein on line en France depuis 1977, avait la particularité, depuis 1998, d’avoir un agent général pour assurer sa commercialisation en France, comme dans d’autres pays européens.
Mais le DG nommé par la compagnie n’avait alors, qu’un rôle « diplomatique », aux dires-mêmes de Vincent Verdonck, l’actuel directeur général pour la France.
Depuis le 1er janvier, l’accord avec l’agent général est rompu et Gulf Air travaille directement sur le marché français.
Pour l’extérieur, cette modification essentielle s’est faite sans changement notable.
L’équipe commerciale du GSA a été intégrée à la compagnie et chacun a gardé son rôle ou presque.
Le périmètre des commerciaux dédiés aux agences de voyages est resté identique, le directeur commercial aussi.
La seule modification apportée par Vincent Verdonck, « dans le but d’assurer un meilleur contrôle de la distribution », été de réduire de quatre à deux le nombre de commercial à l’agence et utiliser les deux autres agents en support de vente pour l’équipe commerciale.
Une décision d’autant plus logique que le site web est désormais traduit en français - ce qui facilite les ventes directes.
Mais le DG nommé par la compagnie n’avait alors, qu’un rôle « diplomatique », aux dires-mêmes de Vincent Verdonck, l’actuel directeur général pour la France.
Depuis le 1er janvier, l’accord avec l’agent général est rompu et Gulf Air travaille directement sur le marché français.
Pour l’extérieur, cette modification essentielle s’est faite sans changement notable.
L’équipe commerciale du GSA a été intégrée à la compagnie et chacun a gardé son rôle ou presque.
Le périmètre des commerciaux dédiés aux agences de voyages est resté identique, le directeur commercial aussi.
La seule modification apportée par Vincent Verdonck, « dans le but d’assurer un meilleur contrôle de la distribution », été de réduire de quatre à deux le nombre de commercial à l’agence et utiliser les deux autres agents en support de vente pour l’équipe commerciale.
Une décision d’autant plus logique que le site web est désormais traduit en français - ce qui facilite les ventes directes.
Stratégie commerciale globale inchangée
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La stratégie commerciale globale de Gulf Air reste inchangée. En loisirs, la compagnie se bat pour garder sa part de marché sur Bangkok et Katmandou et joue les challengers sur les destinations du Golfe comme Oman, Abu Dhabi ou Dubai.
En ethnique, elle mise sur ses destinations indiennes. Quant à la clientèle Affaires, elle est surtout axée sur les activités pétrolifères régionales.
Dans cette stratégie de développement des destinations régionales, la compagnie dessert ainsi trois destinations irakiennes.
Gulf Air jouit d’une part de marché en Affaires estimée actuellement autour de 20 %. Elle était de 30% avant la crise, mais les budgets voyages ayant été resserrés, les vols de six heures comme Bahrein ont été passés de la classe Affaires à la classe Economique par certaines entreprises…
Cela n’empêche pas pour autant la compagnie de moderniser sa classe Affaires avec l’introduction d’un flat bed avec, pour conséquence, de passer d’un équipement tri classe à un équipement bi classe sur Paris, Londres et Francfort.
Et comme la mise en place du nouveau produit Falcon Gold dans les appareils devrait s’étaler du mois de mars prochain jusqu’en 2012, la Première classe et la classe Affaires des appareils non encore équipés seront commercialisées, toutes les deux, en Affaires Premium en attendant.
Sur Paris, Gulf Air qui est passée du terminal 1 au terminal 2C de CDG, est revenue à sept vols par semaine.
La tentative de passer à 9 vols en novembre 2008, au plus fort de la crise, n’a évidemment pas donné les résultats escomptés. Pour Vincent Verdonck, la cadence de sept vols hebdomadaires correspond parfaitement à la demande actuelle du marché.
L’objectif, aujourd’hui, est de faire regrimper la recette unitaire moyenne qui du fait de la crise, a glissé de 20%…
En ethnique, elle mise sur ses destinations indiennes. Quant à la clientèle Affaires, elle est surtout axée sur les activités pétrolifères régionales.
Dans cette stratégie de développement des destinations régionales, la compagnie dessert ainsi trois destinations irakiennes.
Gulf Air jouit d’une part de marché en Affaires estimée actuellement autour de 20 %. Elle était de 30% avant la crise, mais les budgets voyages ayant été resserrés, les vols de six heures comme Bahrein ont été passés de la classe Affaires à la classe Economique par certaines entreprises…
Cela n’empêche pas pour autant la compagnie de moderniser sa classe Affaires avec l’introduction d’un flat bed avec, pour conséquence, de passer d’un équipement tri classe à un équipement bi classe sur Paris, Londres et Francfort.
Et comme la mise en place du nouveau produit Falcon Gold dans les appareils devrait s’étaler du mois de mars prochain jusqu’en 2012, la Première classe et la classe Affaires des appareils non encore équipés seront commercialisées, toutes les deux, en Affaires Premium en attendant.
Sur Paris, Gulf Air qui est passée du terminal 1 au terminal 2C de CDG, est revenue à sept vols par semaine.
La tentative de passer à 9 vols en novembre 2008, au plus fort de la crise, n’a évidemment pas donné les résultats escomptés. Pour Vincent Verdonck, la cadence de sept vols hebdomadaires correspond parfaitement à la demande actuelle du marché.
L’objectif, aujourd’hui, est de faire regrimper la recette unitaire moyenne qui du fait de la crise, a glissé de 20%…