En octobre 2014, les hôtels parisiens et franciliens enregistrent des résultats "très positifs" alors que les résultats sont "beaucoup plus disparates, voire problématiques" en régions, selon la dernière édition de l'Observatoire Deloitte/In Extenso.
Dans la capitale, les prix moyen ont progressé dans toutes les catégories : de +13 % (107 €) pour l’Économique, +10,7 % (161 €) pour le Milieu de Gamme et +9,7 % (297 €) pour le Haut de Gamme et le Grand Luxe.
Des hausse qui permettent aux établissements parisiens de faire grimper leur Revenu moyen par chambre disponible (RevPAR) avec des progressions de 12,2 % (95 €) en Économique, 10,5 % (143 €) en Milieu de Gamme et 12,3 % (259 €) en Haut de Gamme et Grand Luxe.
En Île-de-France, si les adresses de la plupart des départements de petite et grande couronne ont connu de bons niveaux d'activité en octobre 2014, c'est en Seine-Saint-Denis (93), dans le Val-d'Oise et dans l'Ouest de la Seine-et-Marne que les croissances sont le plus spectaculaires.
Dans la capitale, les prix moyen ont progressé dans toutes les catégories : de +13 % (107 €) pour l’Économique, +10,7 % (161 €) pour le Milieu de Gamme et +9,7 % (297 €) pour le Haut de Gamme et le Grand Luxe.
Des hausse qui permettent aux établissements parisiens de faire grimper leur Revenu moyen par chambre disponible (RevPAR) avec des progressions de 12,2 % (95 €) en Économique, 10,5 % (143 €) en Milieu de Gamme et 12,3 % (259 €) en Haut de Gamme et Grand Luxe.
En Île-de-France, si les adresses de la plupart des départements de petite et grande couronne ont connu de bons niveaux d'activité en octobre 2014, c'est en Seine-Saint-Denis (93), dans le Val-d'Oise et dans l'Ouest de la Seine-et-Marne que les croissances sont le plus spectaculaires.
En province, seule l'hôtellerie littorale surnage
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L'hôtellerie littorale s'est, elle aussi, plutôt bien portée en octobre 2014.
En Côte d'Azur, les hôtels ont profité des bonnes conditions météorologiques pour enregistrer de bons taux d’occupation (TO). Ils gagnent 2,2 % (64 %) en Grand luxe, 8,4 % (62,6 %) en Haut de gamme, et 1,1 % (67,6 %) en Milieu de gamme. Seul le Super-économique recule avec -8,7 % (54,5 %).
Les performances sont également positives pour d'autres destinations facilement accessibles depuis la région parisienne comme la Normandie, la Bretagne ou les Pays de la Loire.
Les motifs de satisfaction sont, à l'inverse, beaucoup plus rares pour le reste de la province.
Avec des prix moyens en baisse dans chaque catégorie (de -0,8 % pour le super-économique jusqu'à -4,7 % pour le Grand luxe), les chiffres d'affaires sont globalement en diminution.
Le RevPAR perd 5,1 % à 24 € pour le Super-économique, 4,3 % à 41 € pour l’Économique et 3,4 % à 91 € pour le Haut de gamme.
Il augmente, en revanche, dans le Grand luxe (+0,6 % à 149 €) et le Milieu de gamme (+0,3 % à 59 €) grâce à des hausses respectives de 5,6 % et 2,3 % des taux d'occupation dans ces deux catégories.
Cependant, les niveaux de fréquentation restent très inférieurs à ceux enregistrés avant le début de la crise. Les différentiels avec octobre 2008 sont de l'ordre de 5 à 10 points selon le niveau de gamme.
En Côte d'Azur, les hôtels ont profité des bonnes conditions météorologiques pour enregistrer de bons taux d’occupation (TO). Ils gagnent 2,2 % (64 %) en Grand luxe, 8,4 % (62,6 %) en Haut de gamme, et 1,1 % (67,6 %) en Milieu de gamme. Seul le Super-économique recule avec -8,7 % (54,5 %).
Les performances sont également positives pour d'autres destinations facilement accessibles depuis la région parisienne comme la Normandie, la Bretagne ou les Pays de la Loire.
Les motifs de satisfaction sont, à l'inverse, beaucoup plus rares pour le reste de la province.
Avec des prix moyens en baisse dans chaque catégorie (de -0,8 % pour le super-économique jusqu'à -4,7 % pour le Grand luxe), les chiffres d'affaires sont globalement en diminution.
Le RevPAR perd 5,1 % à 24 € pour le Super-économique, 4,3 % à 41 € pour l’Économique et 3,4 % à 91 € pour le Haut de gamme.
Il augmente, en revanche, dans le Grand luxe (+0,6 % à 149 €) et le Milieu de gamme (+0,3 % à 59 €) grâce à des hausses respectives de 5,6 % et 2,3 % des taux d'occupation dans ces deux catégories.
Cependant, les niveaux de fréquentation restent très inférieurs à ceux enregistrés avant le début de la crise. Les différentiels avec octobre 2008 sont de l'ordre de 5 à 10 points selon le niveau de gamme.