Le secteur français de l'hôtellerie a connu un mois de novembre "difficile" selon la dernière édition du Baromètre Deloitte / In Extenso. Ses performances ont "globalement stagné", note le rapport.
Sur l'ensemble du territoire, le revenu moyen par chambre disponible (RevPAR) diminue de 3,2 % pour le super-économique et 0,2 % pour le milieu de gamme. Il progresse de 1,2 % pour l'économique, 0,9 % pour le haut de gamme et 6 % pour le grand luxe.
"Traditionnellement calme, le mois de novembre l'a encore plus été cette année", ajoute le cabinet d'études.
Et, sans le marché parisien et quelques autres destinations phares qui ont bien fonctionné en novembre 2013, le bilan serait encore moins bon.
Sur l'ensemble du territoire, le revenu moyen par chambre disponible (RevPAR) diminue de 3,2 % pour le super-économique et 0,2 % pour le milieu de gamme. Il progresse de 1,2 % pour l'économique, 0,9 % pour le haut de gamme et 6 % pour le grand luxe.
"Traditionnellement calme, le mois de novembre l'a encore plus été cette année", ajoute le cabinet d'études.
Et, sans le marché parisien et quelques autres destinations phares qui ont bien fonctionné en novembre 2013, le bilan serait encore moins bon.
Fortes baisses en province et Côte d'Azur
Autres articles
Ainsi, dans la capitale, le RevPAR est en hausse pour l'ensemble des catégories : de +1,7 % pour les adresses économiques jusqu'à +4,6 % pour les établissements de grand luxe.
En revanche, pour la province (hors Côte d'Azur), il recule presque partout : de-3,2 % pour l'économique jusqu'à -4,4 % pour le grand luxe en passant par -3,9 % pour le super-économique et -3,3 % pour le haut de gamme.
Seuls les hôtels haut de gamme parviennent à y tirer leur épingle du jeu avec un RevPAR en augmentation de 6 % à 73 €.
Sur la côte d'Azur, la situation est encore plus mauvaise : -11,5 % pour le super-économique (22 €), -7,7 % pour le milieu de gamme (37 €) et -1,4 % pour le grand luxe (80 %).
Il n'y a que le milieu de gamme qui ne chute pas. Mais il y reste stable par rapport à novembre 2012 à 42 €.
En revanche, pour la province (hors Côte d'Azur), il recule presque partout : de-3,2 % pour l'économique jusqu'à -4,4 % pour le grand luxe en passant par -3,9 % pour le super-économique et -3,3 % pour le haut de gamme.
Seuls les hôtels haut de gamme parviennent à y tirer leur épingle du jeu avec un RevPAR en augmentation de 6 % à 73 €.
Sur la côte d'Azur, la situation est encore plus mauvaise : -11,5 % pour le super-économique (22 €), -7,7 % pour le milieu de gamme (37 €) et -1,4 % pour le grand luxe (80 %).
Il n'y a que le milieu de gamme qui ne chute pas. Mais il y reste stable par rapport à novembre 2012 à 42 €.
Marseille, Le Havre et Montpellier en hausse
Deloitte et In Extenso estime que l'activité a subi un environnement économique "toujours plus morose" et une période période traditionnellement calme pour l'ensemble des destinations en fin d'année.
Outre Paris, des villes comme Marseille, Le Havre et Montpellier ont bénéficié d'un marché dynamique et on pu s'appuyer sur "une actualité culturelle, sportive ou économique porteuse" en novembre 2013.
Le rapport conclut que la tendance devrait se poursuivre en décembre 2013. "L'année 2013 restera comme une année de stagnation où seule l'hôtellerie grand luxe aura tiré son épingle du jeu", termine-t-il.
Outre Paris, des villes comme Marseille, Le Havre et Montpellier ont bénéficié d'un marché dynamique et on pu s'appuyer sur "une actualité culturelle, sportive ou économique porteuse" en novembre 2013.
Le rapport conclut que la tendance devrait se poursuivre en décembre 2013. "L'année 2013 restera comme une année de stagnation où seule l'hôtellerie grand luxe aura tiré son épingle du jeu", termine-t-il.