Pour entrer au Mexique, les touristes étrangers devront eux aussi, être en possession d’un passeport digitalisé et d’un visa obtenu après un entretien long et coûteux comme s’ils se rendaient aux Etats-Unis.
Parmi ces régulations qui satisfont surtout la Maison Blanche, la plus importante concerne les politiques de surveillance afin de verrouiller les frontières.
Washington qui gouverne sous le syndrome du 11-S veut contrôler les individus, partager en temps réel l'information de toute l’Amérique du Nord, c'est-à-dire mettre en réseaux les ordinateurs mexicains et canadiens avec ceux du Pentagone afin de classer les voyageurs en deux catégories : ceux «à haut risque» et ceux qui sont «sûrs».
Pour ceux qui voyagent beaucoup, il sera délivré une carte intelligente qui permettra à tous ceux qui répondront aux normes de sécurité, de passer les frontières rapidement.
On voit immédiatement la discrimination que cela entraîne: les employés «fiables» des transnationales, des institutions mondiales, les hommes d’affaires passeraient les frontières sans encombre alors que «Monsieur tout le monde» sera fouillé, interrogé, suspect d’appartenir à la catégorie «haut risque».
Le tourisme affecté
Cette hyper sécurité concerne également les touristes étrangers qui voudront se rendre sur les plages de la Riviera Maya, visiter les sites archéologiques ou les villes coloniales.
Pour entrer au Mexique, ils devront, eux aussi, être en possession d’un passeport digitalisé et d’un visa obtenu après un entretien long et coûteux comme s’ils se rendaient aux Etats-Unis.
Une telle mesure qui a coûté très cher aux compagnies aériennes et aux industries du tourisme aux Etats-Unis, risque d’avoir un impact négatif sur le tourisme, 3ème source de devises du Mexique.
La Rédaction - redaction@tourmag.com
Washington qui gouverne sous le syndrome du 11-S veut contrôler les individus, partager en temps réel l'information de toute l’Amérique du Nord, c'est-à-dire mettre en réseaux les ordinateurs mexicains et canadiens avec ceux du Pentagone afin de classer les voyageurs en deux catégories : ceux «à haut risque» et ceux qui sont «sûrs».
Pour ceux qui voyagent beaucoup, il sera délivré une carte intelligente qui permettra à tous ceux qui répondront aux normes de sécurité, de passer les frontières rapidement.
On voit immédiatement la discrimination que cela entraîne: les employés «fiables» des transnationales, des institutions mondiales, les hommes d’affaires passeraient les frontières sans encombre alors que «Monsieur tout le monde» sera fouillé, interrogé, suspect d’appartenir à la catégorie «haut risque».
Le tourisme affecté
Cette hyper sécurité concerne également les touristes étrangers qui voudront se rendre sur les plages de la Riviera Maya, visiter les sites archéologiques ou les villes coloniales.
Pour entrer au Mexique, ils devront, eux aussi, être en possession d’un passeport digitalisé et d’un visa obtenu après un entretien long et coûteux comme s’ils se rendaient aux Etats-Unis.
Une telle mesure qui a coûté très cher aux compagnies aériennes et aux industries du tourisme aux Etats-Unis, risque d’avoir un impact négatif sur le tourisme, 3ème source de devises du Mexique.
La Rédaction - redaction@tourmag.com