A bord, le personnel naviguant de Royal Jordanian ne parle en effet pas français mais uniquement arabe et anglais - Photo Caroline Dherbey
A l’aéroport Paris Charles-de-Gaulle, terminal 2A, le service au passage des voyageurs de Royal Jordanian est effectué par la société Alyzia.
Le personnel y est souriant et l’enregistrement des bagages rapide.
Bien qu’il soit indiqué de ne pas dépasser les 20 kg par valise en soute et 7kg pour celui qui accompagne en cabine, le personnel est conciliant et tolère les petits écarts.
Une chance pour ceux qui n’ont pas l’habitude de voyager léger.
A la fin de l’enregistrement, on me demande si je parle anglais. Question qui a son importance une fois à l’intérieur de l’Airbus A320 qui fait office de « navette » quotidienne et directe entre Paris et Amman en 4h30.
A bord, le personnel naviguant de Royal Jordanian ne parle en effet pas français mais uniquement arabe et anglais. Et la barrière de la langue ne s’arrête pas là.
Le personnel y est souriant et l’enregistrement des bagages rapide.
Bien qu’il soit indiqué de ne pas dépasser les 20 kg par valise en soute et 7kg pour celui qui accompagne en cabine, le personnel est conciliant et tolère les petits écarts.
Une chance pour ceux qui n’ont pas l’habitude de voyager léger.
A la fin de l’enregistrement, on me demande si je parle anglais. Question qui a son importance une fois à l’intérieur de l’Airbus A320 qui fait office de « navette » quotidienne et directe entre Paris et Amman en 4h30.
A bord, le personnel naviguant de Royal Jordanian ne parle en effet pas français mais uniquement arabe et anglais. Et la barrière de la langue ne s’arrête pas là.
Une qualité de service à améliorer
Sur l’écran individuel non tactile, le choix des programmes de divertissement se fait à l’aide d’une télécommande - Photo caroline Dherbey
Après le décollage (à 12h15) de l’avion qui dispose de deux classes Economique (120 sièges assez confortables répartis en 2X3) et Crown (traduction « Couronne » - 16 sièges), les hôtesses et stewards distribuent des oreillettes mais pas de masque de sommeil pour ce vol moyen-courrier.
Chaque voyageur dispose d’un petit coussin tandis que les couvertures sont sur demande.
Sur l’écran individuel non tactile, le choix des programmes de divertissement se fait à l’aide d’une télécommande. Quelle surprise en découvrant les films disponibles : à peine une dizaine ! Y figurent des classiques et des « nouveautés » internationaux disponibles en langues arabe, anglaise et française.
Mais pour certains, le français et l’anglais sont occultés. Par exemple, les amateurs du cinéma du monde ne pourront visionner les films qu’en version originale, sous-titrés en arabe.
Les enfants n’auront, quant à eux, que deux programmes de divertissement.
La compagnie tente de se rattraper au niveau des séries télévisées et des documentaires plus nombreux et qui font la promotion de la destination jordanienne avec, notamment, un sur Petra, l’une des sept nouvelles merveilles du monde et joyau rose de Jordanie.
La France n’est pas en reste avec une émission sur Paris et notre fameuse Tour Eiffel !
Chaque voyageur dispose d’un petit coussin tandis que les couvertures sont sur demande.
Sur l’écran individuel non tactile, le choix des programmes de divertissement se fait à l’aide d’une télécommande. Quelle surprise en découvrant les films disponibles : à peine une dizaine ! Y figurent des classiques et des « nouveautés » internationaux disponibles en langues arabe, anglaise et française.
Mais pour certains, le français et l’anglais sont occultés. Par exemple, les amateurs du cinéma du monde ne pourront visionner les films qu’en version originale, sous-titrés en arabe.
Les enfants n’auront, quant à eux, que deux programmes de divertissement.
La compagnie tente de se rattraper au niveau des séries télévisées et des documentaires plus nombreux et qui font la promotion de la destination jordanienne avec, notamment, un sur Petra, l’une des sept nouvelles merveilles du monde et joyau rose de Jordanie.
La France n’est pas en reste avec une émission sur Paris et notre fameuse Tour Eiffel !
Le catering : Rien à redire !
On redemanderait presque un autre plateau ! - Photo Caroline Dherbey
Quand vient l’heure de se restaurer, la qualité est alors au rendez-vous.
Si aucun menu n’est donné au moment du service des boissons apéritives, le plateau repas répond aux attentes des voyageurs les plus exigeants.
Le repas est complet avec une salade, un plat de résistance avec au choix poulet ou poisson et petits légumes, du fromage de type « vache-qui-rit », du beurre, du pain à volonté et un délicieux dessert (gâteau Paris-Brest… à défaut qu’un Paris-Amman voit le jour en matière de pâtisserie).
On redemanderait presque un autre plateau !
Un questionnaire de satisfaction est remis à la fin du voyage. Preuve que la compagnie cherche à améliorer la qualité de son service.
Si aucun menu n’est donné au moment du service des boissons apéritives, le plateau repas répond aux attentes des voyageurs les plus exigeants.
Le repas est complet avec une salade, un plat de résistance avec au choix poulet ou poisson et petits légumes, du fromage de type « vache-qui-rit », du beurre, du pain à volonté et un délicieux dessert (gâteau Paris-Brest… à défaut qu’un Paris-Amman voit le jour en matière de pâtisserie).
On redemanderait presque un autre plateau !
Un questionnaire de satisfaction est remis à la fin du voyage. Preuve que la compagnie cherche à améliorer la qualité de son service.
Aéroport Queen Alia : rénovation et nouveau terminal pour un meilleur accueil des voyageurs
A l’arrivée à l’aéroport Queen Alia de Jordanie à Amman, il est 17h50. Une synchronisation des montres est nécessaire. Il faut en effet ajouter une heure.
La descente de l’avion se fait sur le tarmac où se dessine, jouxté aux deux actuels terminaux, le futur terminal de l’aéroport jordanien. Les voyageurs sont pris en charge par une navette jusqu’au terminal 1.
Une fois à l’intérieur de l’aéroport, on y fait rapidement le tour : 2/3 bars et snacks pour se restaurer et autant de boutiques pour des achats de dernière minute.
Rien qui ne pousse à la consommation. Les transits y sont d’ailleurs courts, une à deux heures.
Pour améliorer les escales des voyageurs, l’aéroport Queen Alia rénove ses installations (aires de restaurations, espaces fumeurs, services bancaires, sanitaires…) dans les terminaux existants depuis 1983.
Hub de la compagnie Royal Jordanian, 35 compagnies y sont aussi représentées pour des vols en Europe, au Moyen-Orient et en Asie du Sud-Est.
Le nouveau terminal permettra de drainer 9 millions de passagers par an à la fin de la première phase des travaux estimée pour fin 2012, puis 12 millions à la fin de la deuxième phase contre 5,5 millions actuellement.
Une nouvelle ligne ferroviaire liant l'aéroport au centre d’Amman devrait enfin voir le jour.
La descente de l’avion se fait sur le tarmac où se dessine, jouxté aux deux actuels terminaux, le futur terminal de l’aéroport jordanien. Les voyageurs sont pris en charge par une navette jusqu’au terminal 1.
Une fois à l’intérieur de l’aéroport, on y fait rapidement le tour : 2/3 bars et snacks pour se restaurer et autant de boutiques pour des achats de dernière minute.
Rien qui ne pousse à la consommation. Les transits y sont d’ailleurs courts, une à deux heures.
Pour améliorer les escales des voyageurs, l’aéroport Queen Alia rénove ses installations (aires de restaurations, espaces fumeurs, services bancaires, sanitaires…) dans les terminaux existants depuis 1983.
Hub de la compagnie Royal Jordanian, 35 compagnies y sont aussi représentées pour des vols en Europe, au Moyen-Orient et en Asie du Sud-Est.
Le nouveau terminal permettra de drainer 9 millions de passagers par an à la fin de la première phase des travaux estimée pour fin 2012, puis 12 millions à la fin de la deuxième phase contre 5,5 millions actuellement.
Une nouvelle ligne ferroviaire liant l'aéroport au centre d’Amman devrait enfin voir le jour.
![Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/84367837-60259874.jpg?v=1732033411 "Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]")
