Dans la lignée des "Conseils aux voyageurs" de nombreux autres pays – Grande Bretagne, Espagne, Allemagne, Italie, Etats Unis – le Ministère des Affaires Etrangères français a revu et assoupli son Conseil aux Voyageurs le 19 Février 2008, en régionalisant ses recommandations à l'égard des voyages vers le Kenya, a annoncé ans un communiqué le Kenya Tourist Board.
Voici les recommandations du Quai d'Orsay :
"La plus grande prudence est conseillée aux voyageurs qui décideraient de se rendre au Kenya : la crise politique déclenchée par l’annonces des résultats de l’élection présidentielle du 27décembre 2007 n’est en effet pas encore réglée. Le pays compte encore 300 000 personnes déplacées qui séjournent dans 300 camps répartis de la Vallée du Rift vers l’Ouest du pays. Les violences ont déjà fait plus de 1000 victimes.
La sécurité et la situation politique dans le pays restent donc imprévisibles. De nouvelles vagues de violences ont eu lieu fin janvier, touchant des zones jusque-là épargnées dans la vallée du Rift (notamment les villes de Naivasha et Nakuru), ainsi qu’à Nairobi, Eldoret et Kericho après l’assassinat de deux députés de l’opposition. Il est donc fortement conseillé de se tenir informé de la situation prévalant dans le pays avant de planifier tout séjour au Kenya.
Sauf raisons professionnelles impératives, tout voyage dans les régions suivantes est fortement déconseillé : provinces Occidentales et Nyanza, certaines localités de la vallée du Rift telles que Nakuru et Naivasha, Turkana central, Pokot ouest, trans Nzoia, Uasin Gichu, Koibatek, Nandi, Kericho et Bomet.
A Nairobi, nous vous déconseillons de vous rendre dans les zones suivantes : Kibera, Mathare, Huruma, Kariobangi, Kawangware et Eastleigh.
Si vous souhaitez faire du tourisme au Kenya, nous vous conseillons d’éviter au maximum les trajets par la route et de vérifier auprès de votre assurance au préalable l’étendue de votre couverture.
Dans la vallée du Rift, les parcs de Naivasha et Nakuru sont fortement déconseillés, mais ceux de Masaï Mara et Amboseli ne présentent pas plus de risque qu’en temps normal. A Nairobi, aucun incident n’a été signalé sur les axes allant du centre ville vers l’Aéroport international Jomo Kenyatta et l’aéroport Wilson, ni entre ces aéroports. Toutes les précautions d’usage sont évidemment toujours valables, en particulier à Nairobi (voir rubrique "sécurité")."
Voici les recommandations du Quai d'Orsay :
"La plus grande prudence est conseillée aux voyageurs qui décideraient de se rendre au Kenya : la crise politique déclenchée par l’annonces des résultats de l’élection présidentielle du 27décembre 2007 n’est en effet pas encore réglée. Le pays compte encore 300 000 personnes déplacées qui séjournent dans 300 camps répartis de la Vallée du Rift vers l’Ouest du pays. Les violences ont déjà fait plus de 1000 victimes.
La sécurité et la situation politique dans le pays restent donc imprévisibles. De nouvelles vagues de violences ont eu lieu fin janvier, touchant des zones jusque-là épargnées dans la vallée du Rift (notamment les villes de Naivasha et Nakuru), ainsi qu’à Nairobi, Eldoret et Kericho après l’assassinat de deux députés de l’opposition. Il est donc fortement conseillé de se tenir informé de la situation prévalant dans le pays avant de planifier tout séjour au Kenya.
Sauf raisons professionnelles impératives, tout voyage dans les régions suivantes est fortement déconseillé : provinces Occidentales et Nyanza, certaines localités de la vallée du Rift telles que Nakuru et Naivasha, Turkana central, Pokot ouest, trans Nzoia, Uasin Gichu, Koibatek, Nandi, Kericho et Bomet.
A Nairobi, nous vous déconseillons de vous rendre dans les zones suivantes : Kibera, Mathare, Huruma, Kariobangi, Kawangware et Eastleigh.
Si vous souhaitez faire du tourisme au Kenya, nous vous conseillons d’éviter au maximum les trajets par la route et de vérifier auprès de votre assurance au préalable l’étendue de votre couverture.
Dans la vallée du Rift, les parcs de Naivasha et Nakuru sont fortement déconseillés, mais ceux de Masaï Mara et Amboseli ne présentent pas plus de risque qu’en temps normal. A Nairobi, aucun incident n’a été signalé sur les axes allant du centre ville vers l’Aéroport international Jomo Kenyatta et l’aéroport Wilson, ni entre ces aéroports. Toutes les précautions d’usage sont évidemment toujours valables, en particulier à Nairobi (voir rubrique "sécurité")."