L’Union des Aéroports Français (UAF) tire la sonnette d'alarme, dans un communiqué, face à la grève menée par les contrôleurs aériens, du 6 au 10 mars 2017.
"Les grèves des contrôleurs aériens occasionnent des pertes financières importantes pour les plateformes aéroportuaires, portent de sévères coups à l’économie des territoires desservis et dégradent la qualité de service rendu aux passagers en raison des retards et des annulations de vols. Un aéroport est au service de l’attractivité et de l’économie du territoire qu’il dessert. Les grèves à répétition des contrôleurs aériens pénalisent donc avant tout l’attractivité de la France et de ses territoires".
L’UAF réclame également l’application des principes de la loi Diard aux contrôleurs de navigation aérienne, qui impose une déclaration préalable et de prévisibilité du nombre de grévistes.
"Les grèves des contrôleurs aériens occasionnent des pertes financières importantes pour les plateformes aéroportuaires, portent de sévères coups à l’économie des territoires desservis et dégradent la qualité de service rendu aux passagers en raison des retards et des annulations de vols. Un aéroport est au service de l’attractivité et de l’économie du territoire qu’il dessert. Les grèves à répétition des contrôleurs aériens pénalisent donc avant tout l’attractivité de la France et de ses territoires".
L’UAF réclame également l’application des principes de la loi Diard aux contrôleurs de navigation aérienne, qui impose une déclaration préalable et de prévisibilité du nombre de grévistes.
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