Une montée en gamme qui se traduit d’abord par un changement d’échelle : « deux ans seulement après le début des travaux sur le Terminal 1, les surfaces se sont considérablement développées, soit un triplement de l’espace pour le Terminal 1 + le Terminal 2 », résument les gestionnaires de l’aéroport.
La surface commerciale a été doublée, ce que l’on doit notamment au développement des enseignes de luxe ainsi qu’au déploiement du nouveau concept So Nice, basé sur les produits de la marque l’Occitane.
Autres grands bénéficiaires de ce chantier engagé en 2014 : les salons. Le salon Azur (zone Schengen) passe ainsi de 250 à 400 m2 tandis que le salon Riviera (zone internationale) passe de 410 à 670 m2.
L’aéroport a connu un autre changement d’envergure cet été avec l’annonce par l’Etat de la vente de ses parts (60 %) au consortium Azzurra (qui regroupe Atlantia, EDF Invest et Aéroport de Rome) pour plus d’1,2 milliard d’euros.
La surface commerciale a été doublée, ce que l’on doit notamment au développement des enseignes de luxe ainsi qu’au déploiement du nouveau concept So Nice, basé sur les produits de la marque l’Occitane.
Autres grands bénéficiaires de ce chantier engagé en 2014 : les salons. Le salon Azur (zone Schengen) passe ainsi de 250 à 400 m2 tandis que le salon Riviera (zone internationale) passe de 410 à 670 m2.
L’aéroport a connu un autre changement d’envergure cet été avec l’annonce par l’Etat de la vente de ses parts (60 %) au consortium Azzurra (qui regroupe Atlantia, EDF Invest et Aéroport de Rome) pour plus d’1,2 milliard d’euros.