Entre le 28 mars et le 8 janvier 2006, 7 122 cas de Chikungunya ont été recensés par le système de surveillance à la Réunion, dont 2 147 confirmés biologiquement. Il s'agit pour la quasi-totalité de personnes contaminées localement et non de cas importés.
La majorité des cas sont survenus dans les villes de Saint-Denis (19 %), du Port (16 %), Saint-Louis (17 %), Saint-Paul (11 %) et Saint-Pierre (12 %). Environ 4 à 7 jours après la piqûre de moustique infectante, une fièvre élevée apparaît brutalement.
Mesures de lutte : ni vaccin, ni traitement préventif
S'y associent alors typiquement d'importantes douleurs articulaires et musculaires touchant les extrémités des membres (poignets, chevilles, phalanges), des céphalées et, parfois, une éruption cutanée. Des hémorragies bénignes peuvent survenir, surtout chez les enfants.
La prise en charge thérapeutique repose essentiellement sur la prescription d'anti inflammatoires non stéroïdiens afin de soulager les douleurs. Il n'existe ni vaccin, ni traitement préventif contre l'infection à Chikungunya.
Les mesures de contrôle reposent donc sur les efforts couplés de lutte antivectorielle et de lutte communautaire afin d'éliminer les gîtes de moustiques. Dans ces conditions, des mesures de prévention individuelle contre les piqûres de moustique doivent être prises de façon quotidienne : spray et crèmes, diffuseurs électriques, serpentins, vêtements longs et moustiquaires.
mesures de prévention individuelle contre les piqûres
Le moustique vecteur pique la journée, essentiellement à l'extérieur des maisons, avec une activité plus importante en début de matinée et en fin de journée.
Pour de plus amples informations, vous pouvez consulter régulièrement le site Internet de l'Institut national de veille sanitaire /index.html qui fournit des éléments actualisés sur ce virus :
signé : Thierry HEGAY - Sous-directeur des politiques touristiques
La majorité des cas sont survenus dans les villes de Saint-Denis (19 %), du Port (16 %), Saint-Louis (17 %), Saint-Paul (11 %) et Saint-Pierre (12 %). Environ 4 à 7 jours après la piqûre de moustique infectante, une fièvre élevée apparaît brutalement.
Mesures de lutte : ni vaccin, ni traitement préventif
S'y associent alors typiquement d'importantes douleurs articulaires et musculaires touchant les extrémités des membres (poignets, chevilles, phalanges), des céphalées et, parfois, une éruption cutanée. Des hémorragies bénignes peuvent survenir, surtout chez les enfants.
La prise en charge thérapeutique repose essentiellement sur la prescription d'anti inflammatoires non stéroïdiens afin de soulager les douleurs. Il n'existe ni vaccin, ni traitement préventif contre l'infection à Chikungunya.
Les mesures de contrôle reposent donc sur les efforts couplés de lutte antivectorielle et de lutte communautaire afin d'éliminer les gîtes de moustiques. Dans ces conditions, des mesures de prévention individuelle contre les piqûres de moustique doivent être prises de façon quotidienne : spray et crèmes, diffuseurs électriques, serpentins, vêtements longs et moustiquaires.
mesures de prévention individuelle contre les piqûres
Le moustique vecteur pique la journée, essentiellement à l'extérieur des maisons, avec une activité plus importante en début de matinée et en fin de journée.
Pour de plus amples informations, vous pouvez consulter régulièrement le site Internet de l'Institut national de veille sanitaire /index.html qui fournit des éléments actualisés sur ce virus :
signé : Thierry HEGAY - Sous-directeur des politiques touristiques