LBO France n’est pas un philanthrope, loin de là. Néanmoins et en toute objectivité, le sauvetage n’est pas une affaire aisée. Le voyagiste, qu’on le veuille ou non, perd encore de l’argent, largement plus que prévu au business plan original © Myst - Fotolia.com
J’avoue une totale incrédulité en découvrant l’ampleur de l’irresponsabilité de personnes qui maintiennent leur emploi en occupant un poste de responsable syndical.
N’étant pas particulièrement versé dans des positions radicales, l’annonce par l’intersyndicale de Fram d’appeler à une grève, même mineure et inconséquente, me trouble profondément.
Le voyagiste a échappé de justesse à la faillite.
Et ses salariés ont évité, grâce à leur repreneur, LBO France, adossé au groupe Karavel/Promovacances, une visite de courtoisie chez Pôle Emploi.
LBO France n’est pas un philanthrope, loin de là. Néanmoins et en toute objectivité, le sauvetage n’est pas une affaire aisée.
Le voyagiste, qu’on le veuille ou non, perd encore de l’argent, largement plus que prévu au business plan original.
Il n’empêche que LBO France, persuadé du bien-fondé de son opération, a rajouté encore un peu de fric au pot.
N’étant pas particulièrement versé dans des positions radicales, l’annonce par l’intersyndicale de Fram d’appeler à une grève, même mineure et inconséquente, me trouble profondément.
Le voyagiste a échappé de justesse à la faillite.
Et ses salariés ont évité, grâce à leur repreneur, LBO France, adossé au groupe Karavel/Promovacances, une visite de courtoisie chez Pôle Emploi.
LBO France n’est pas un philanthrope, loin de là. Néanmoins et en toute objectivité, le sauvetage n’est pas une affaire aisée.
Le voyagiste, qu’on le veuille ou non, perd encore de l’argent, largement plus que prévu au business plan original.
Il n’empêche que LBO France, persuadé du bien-fondé de son opération, a rajouté encore un peu de fric au pot.
Dominique Gobert et chien Charly - DR
Et n’a procédé à aucun licenciement !
Bien sûr, les mauvais imbéciles syndiqués iront cracher dans la soupe, arguant que la situation délicate de leur entreprise n’est pas de leur fait…
Ben c’est quand même la faute d’un peu tout le monde, même si de graves erreurs ont été commises en d’autres temps.
Curieusement, cette imbécillité flagrante de syndicats peu scrupuleux me rappelle l’attitude d’autres, ceux d’Air France notamment.
Ceux qui n’hésitent pas à torpiller leur entreprise, au risque de mettre des centaines de salariés sur le carreau. Mais toujours en préservant leur propre intérêt.
Tiens, juste pour l’anecdote (et je l’ai vérifié), l’un des syndicalistes de Fram a demandé à rencontrer l’avocat de la société afin de bénéficier d’une "rupture conventionnelle".
Ce même syndicaliste, qui ne me prend plus au téléphone mais qui, lors de la tourmente de la vente, l’année dernière, me pleurait dans l’écouteur afin de bénéficier d’une prise de position éditoriale !
Fin de la parenthèse.
Bien sûr, les mauvais imbéciles syndiqués iront cracher dans la soupe, arguant que la situation délicate de leur entreprise n’est pas de leur fait…
Ben c’est quand même la faute d’un peu tout le monde, même si de graves erreurs ont été commises en d’autres temps.
Curieusement, cette imbécillité flagrante de syndicats peu scrupuleux me rappelle l’attitude d’autres, ceux d’Air France notamment.
Ceux qui n’hésitent pas à torpiller leur entreprise, au risque de mettre des centaines de salariés sur le carreau. Mais toujours en préservant leur propre intérêt.
Tiens, juste pour l’anecdote (et je l’ai vérifié), l’un des syndicalistes de Fram a demandé à rencontrer l’avocat de la société afin de bénéficier d’une "rupture conventionnelle".
Ce même syndicaliste, qui ne me prend plus au téléphone mais qui, lors de la tourmente de la vente, l’année dernière, me pleurait dans l’écouteur afin de bénéficier d’une prise de position éditoriale !
Fin de la parenthèse.
Autres articles
C’est vrai, les nouveaux dirigeants de Fram cherchent à réduire les dépenses.
C’est vrai qu’en juillet de cette année, certains accords d’entreprise ont été dénoncés.
Non pas unilatéralement, comme le dénoncent ces syndicats, mais en toute transparence, en attendant les futures négociations.
Et ce sont quand même quelque 6 millions d’économies qui devraient être réalisées, en attendant le renouveau.
En contrepartie d’ailleurs et en préalable à toute discussion, la nouvelle direction, dès le retour à la rentabilité, a promis une répartition du premier million gagné !
En attendant, les syndicats hurlent au charron parce que des avantages sociaux vont être abrogés : finis les trois jours de carence maladie, ce qui donnait lieu à un absentéisme quasi légal.
Finis les tickets restaurants. Mais compensé par un lieu de restauration. Faut juste apporter la gamelle.
Finies les « pauses rémunérées ». Comment, vous ne savez pas ce que c’est ? Deux heures trente par semaine, payées, mais pas travaillées !
Je me marre en lisant les déclarations syndicales, particulièrement ce représentant du personnel prié de prendre la place de la direction et de « faire des propositions concrètes ».
Ben non, le syndicat est pas fait pour ça. Parce qu’il est incapable d’être force de proposition. Juste d’opposition.
Dommage, parce que la sauce commençait à reprendre et la confiance semblait revenir entre les distributeurs et ce vieux voyagiste qui reste, malgré tout, français.
En attendant, 400 personnes pourront bientôt remercier leurs syndicats de leur offrir de belles vacances, payées par Pôle Emploi !
Je comprends mieux la montée en puissance des Trompettes et autres Peines !
C’est vrai qu’en juillet de cette année, certains accords d’entreprise ont été dénoncés.
Non pas unilatéralement, comme le dénoncent ces syndicats, mais en toute transparence, en attendant les futures négociations.
Et ce sont quand même quelque 6 millions d’économies qui devraient être réalisées, en attendant le renouveau.
En contrepartie d’ailleurs et en préalable à toute discussion, la nouvelle direction, dès le retour à la rentabilité, a promis une répartition du premier million gagné !
En attendant, les syndicats hurlent au charron parce que des avantages sociaux vont être abrogés : finis les trois jours de carence maladie, ce qui donnait lieu à un absentéisme quasi légal.
Finis les tickets restaurants. Mais compensé par un lieu de restauration. Faut juste apporter la gamelle.
Finies les « pauses rémunérées ». Comment, vous ne savez pas ce que c’est ? Deux heures trente par semaine, payées, mais pas travaillées !
Je me marre en lisant les déclarations syndicales, particulièrement ce représentant du personnel prié de prendre la place de la direction et de « faire des propositions concrètes ».
Ben non, le syndicat est pas fait pour ça. Parce qu’il est incapable d’être force de proposition. Juste d’opposition.
Dommage, parce que la sauce commençait à reprendre et la confiance semblait revenir entre les distributeurs et ce vieux voyagiste qui reste, malgré tout, français.
En attendant, 400 personnes pourront bientôt remercier leurs syndicats de leur offrir de belles vacances, payées par Pôle Emploi !
Je comprends mieux la montée en puissance des Trompettes et autres Peines !