Le 8 juillet, suivant le mandat des assemblées générales du 5 juillet qui ont rassemblé près de 300 agents, les syndicats CGT, CFDT, FO, UNSA ont annoncé la grève à la presse.
Avec la CFE-CGC, des préavis ont été déposés de manière unitaire autour de trois revendications communes :
Avec la CFE-CGC, des préavis ont été déposés de manière unitaire autour de trois revendications communes :
- 1. Une gratification homogène pour tous les salariés ;
- 2. Un plan d'embauche massif de 1000 postes ;
- 3. L'arrêt de la dégradation des conditions de travail, notamment en garantissant la pose des congés principaux et secondaires.
Aéroports de Paris : une gratification qui divise
Le groupe ADP a déjà décidé de verser des primes de 70 à 100 euros par jour à 1 500 salariés du siège, volontaires pour renforcer les équipes présentes dans les terminaux. Des jours de congé supplémentaires seront accordés à ceux qui accepteront de prendre leurs congés en dehors de la période d’accueil des Jeux olympiques.
Cette gratification partielle est jugée insuffisante par certains syndicats, qui avaient déjà appelé à la grève le 19 mai dernier, qui n’avait pas entraîné de perturbations majeures.
Une nouveau préavis a donc été déposé pour le 17 juillet, 9 jours avant la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, pour lutter contre la dégradation des conditions de travail et pour la gratification généralisée des employés.
La direction d'ADP indique que « cette grève ne devrait pas entraîner d'annulations de vols ».
Cette gratification partielle est jugée insuffisante par certains syndicats, qui avaient déjà appelé à la grève le 19 mai dernier, qui n’avait pas entraîné de perturbations majeures.
Une nouveau préavis a donc été déposé pour le 17 juillet, 9 jours avant la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, pour lutter contre la dégradation des conditions de travail et pour la gratification généralisée des employés.
La direction d'ADP indique que « cette grève ne devrait pas entraîner d'annulations de vols ».