Après la première salve lancée par le Seto, la semaine dernière, on pourrait douter de l'entente entre instances professionnelles. Et la constitution de cette fameuse Confédération semble bien loin. A en juger par la réponse de Jean-Pierre Mas, Président du Snav à son homologue du Seto, René-Marc Chikli, on n'est pas encore près de parvenir à l'entente cordiale… - DR : C.E.
Et alors, de quoi se plaint-on ? En voilà une nouvelle qu'elle est bonne et rafraîchissante pour ce secteur d'activité.
Secteur longtemps délaissé, méprisé dirais-je même, par nos belles instances politiques, mais qui représente quand même (selon les sources) entre 7 et 10% du PIB.
Largement devant l'industrie agro-alimentaire ou l'automobile !
Donc, en théorie, nous devrions être plutôt sereins … Sauf que, finalement, et c'est aussi très sérieux, cette belle performance est plombée, si je puis m'exprimer ainsi, par… notre propre (euphémisme) destination.
Car, toujours selon le classement du WEF, la France est classée en 23ème position en terme de compétitivité.
En clair, le tourisme est pénalisé par sa situation économique.
C'est là que le bât blesse, hélas !
Secteur longtemps délaissé, méprisé dirais-je même, par nos belles instances politiques, mais qui représente quand même (selon les sources) entre 7 et 10% du PIB.
Largement devant l'industrie agro-alimentaire ou l'automobile !
Donc, en théorie, nous devrions être plutôt sereins … Sauf que, finalement, et c'est aussi très sérieux, cette belle performance est plombée, si je puis m'exprimer ainsi, par… notre propre (euphémisme) destination.
Car, toujours selon le classement du WEF, la France est classée en 23ème position en terme de compétitivité.
En clair, le tourisme est pénalisé par sa situation économique.
C'est là que le bât blesse, hélas !
Sans vouloir lui jeter des fleurs, il était temps qu'un ministre compétent arrive enfin à comprendre et s'intéresser au secteur.
Laurent Fabius, un homme de droite déguisé en fleur de gauche a enfin pris la relève de mademoiselle Pinel, dont les traces auront laissé une empreinte d'incompétence indélébile sur le secteur !
Et que tout ceci devrait enfin tourner, à condition que chacun fasse, selon les termes du Ministre, son boulot… Ce qui n'est pas encore gagné.
Ne subsiste cependant dans l'esprit de Laurent Fabius qu'un doute important quant à la maturité des dirigeants des instances professionnelles.
Si j'en crois (et je le crois bien volontiers), le ministre ne comprend pas vraiment qui fait quoi entre Seto, Snav et consorts… et surtout pourquoi ils ne sont pas vraiment très "unis" !
Là, cher Ministre, nous pouvons vous donner une leçon de texte.
D'ailleurs, nous l'avons tous remarqué, rien ne va en s'arrangeant entre nos instances syndicales (patronales) qui mêlent quasi le ridicule à leur guerre grotesque.
Laurent Fabius, un homme de droite déguisé en fleur de gauche a enfin pris la relève de mademoiselle Pinel, dont les traces auront laissé une empreinte d'incompétence indélébile sur le secteur !
Et que tout ceci devrait enfin tourner, à condition que chacun fasse, selon les termes du Ministre, son boulot… Ce qui n'est pas encore gagné.
Ne subsiste cependant dans l'esprit de Laurent Fabius qu'un doute important quant à la maturité des dirigeants des instances professionnelles.
Si j'en crois (et je le crois bien volontiers), le ministre ne comprend pas vraiment qui fait quoi entre Seto, Snav et consorts… et surtout pourquoi ils ne sont pas vraiment très "unis" !
Là, cher Ministre, nous pouvons vous donner une leçon de texte.
D'ailleurs, nous l'avons tous remarqué, rien ne va en s'arrangeant entre nos instances syndicales (patronales) qui mêlent quasi le ridicule à leur guerre grotesque.
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En fait, si je comprends bien tout, les "chefs de clans" voudraient surtout aller serrer la louche au ministre, histoire de parader après devant les troupes.
Le ministre d'ailleurs en est resté quelque peu ébaubi, d'autant que les entretiens tiennent plus de l'improvisation théâtrale que de véritables demandes.
Et que ce soit dans le cabinet de Fabius, celui de Fekl ou même chez Carole Delga, tout ce petit monde porte à sourire. On le regarde d'ailleurs un peu comme des ovnis…
Ils n'ont pas torts. Après la première salve lancée par le Seto, la semaine dernière, on pourrait douter de l'entente entre instances professionnelles.
Et la constitution de cette fameuse Confédération semble bien loin.
A en juger par la réponse de Jean-Pierre Mas, Président du Snav à son homologue du Seto, René-Marc Chikli, on n'est pas encore près de parvenir à l'entente cordiale…
Je ne vous citerai pas le courrier, dont je n'ai eu connaissance que par ouï dire (faut pas laisser traîner vos lettres, les gars, Chien Charly a un flair redoutable), mais en gros, le Mas Malin renvoie très finement le Chikli joli dans sa maison.
Je crois savoir qu'il s'interroge dans sa missive à Chikli sur ses propos tenus dans le dernier compte rendu du Comex dont les membres se demandaient s'il ne fallait pas "définir un process entre les 2 présidents et sur les rôles de chacun afin d’améliorer la coopération entre les deux institutions, mais René-Marc Chikli n’en est pas convaincu. Il pense qu’il faut revoir la structure institutionnelle qui aujourd’hui est éphémère selon les enjeux."
Notamment, il botte en touche à propos des anciens (mauvais) rapports entretenus par Georges Colson et RMC par lesquels il ne ne se sent pas concerné, sa volonté étant pleine et entière de travailler avec le SETO.
Alors, c'est pas de la diplomatie, tout ça. En même temps, je comprends grandement la perplexité de Laurent Fabius lorsqu'il reçoit tout ce beau monde dans son bureau !
Pour tout dire, ça fait très désordre… question compétitivité !
Le ministre d'ailleurs en est resté quelque peu ébaubi, d'autant que les entretiens tiennent plus de l'improvisation théâtrale que de véritables demandes.
Et que ce soit dans le cabinet de Fabius, celui de Fekl ou même chez Carole Delga, tout ce petit monde porte à sourire. On le regarde d'ailleurs un peu comme des ovnis…
Ils n'ont pas torts. Après la première salve lancée par le Seto, la semaine dernière, on pourrait douter de l'entente entre instances professionnelles.
Et la constitution de cette fameuse Confédération semble bien loin.
A en juger par la réponse de Jean-Pierre Mas, Président du Snav à son homologue du Seto, René-Marc Chikli, on n'est pas encore près de parvenir à l'entente cordiale…
Je ne vous citerai pas le courrier, dont je n'ai eu connaissance que par ouï dire (faut pas laisser traîner vos lettres, les gars, Chien Charly a un flair redoutable), mais en gros, le Mas Malin renvoie très finement le Chikli joli dans sa maison.
Je crois savoir qu'il s'interroge dans sa missive à Chikli sur ses propos tenus dans le dernier compte rendu du Comex dont les membres se demandaient s'il ne fallait pas "définir un process entre les 2 présidents et sur les rôles de chacun afin d’améliorer la coopération entre les deux institutions, mais René-Marc Chikli n’en est pas convaincu. Il pense qu’il faut revoir la structure institutionnelle qui aujourd’hui est éphémère selon les enjeux."
Notamment, il botte en touche à propos des anciens (mauvais) rapports entretenus par Georges Colson et RMC par lesquels il ne ne se sent pas concerné, sa volonté étant pleine et entière de travailler avec le SETO.
Alors, c'est pas de la diplomatie, tout ça. En même temps, je comprends grandement la perplexité de Laurent Fabius lorsqu'il reçoit tout ce beau monde dans son bureau !
Pour tout dire, ça fait très désordre… question compétitivité !