La Serbie vise 7 marchés émetteurs : la France mais aussi l’Allemagne, l’Autriche, la Slovénie, le Royaume Uni, l’Italie et la Russie.
Après les années noires de la guerre, la Serbie rêve d’un retour sur le devant de la scène touristique à la façon de la Croatie. Présent à Top Résa, l’office national du tourisme de Serbie a dévoilé sa stratégie de reconquête. Première priorité : définir les marchés clés en Europe.
La Serbie vise 7 marchés émetteurs : la France mais aussi l’Allemagne, l’Autriche, la Slovénie, le Royaume Uni, l’Italie et la Russie. La destination a également travaillé sur son positionnement et son offre touristique.
L’office du tourisme souhaite ainsi promouvoir la capitale Belgrade comme nouvelle destination week-ends dans les Balkans. La Serbie veut également mettre en avant sa nature et privilégier le tourisme vert. Il s’agit notamment d’inviter les touristes étrangers à découvrir le ski et la randonnée à Kopaonik, « le toit de la Serbie ».
l’office du tourisme décline de nombreuses thématiques
Randonneurs et cyclistes pourront aussi se lancer à l’assaut du parc national du mont Tara. Outre le volet éco-touristique, la Serbie entend aussi valoriser son patrimoine culturel. La route des monastères permet par exemple de découvrir quelques uns des plus beaux sites du pays.
Et l’office du tourisme décline de nombreuses autres thématiques : des passionnés d’ornithologie aux amoureux de bonne chaire en passant par les pêcheurs, les chasseurs ou les habitués des cures thermales.
Les cinéphiles ne manqueront pas non plus Küstendorf, un village traditionnel construit par Emir Kusturica sur les lieux du tournage de « La vie est un miracle », près de Mokra Gora.
La Serbie vise 7 marchés émetteurs : la France mais aussi l’Allemagne, l’Autriche, la Slovénie, le Royaume Uni, l’Italie et la Russie. La destination a également travaillé sur son positionnement et son offre touristique.
L’office du tourisme souhaite ainsi promouvoir la capitale Belgrade comme nouvelle destination week-ends dans les Balkans. La Serbie veut également mettre en avant sa nature et privilégier le tourisme vert. Il s’agit notamment d’inviter les touristes étrangers à découvrir le ski et la randonnée à Kopaonik, « le toit de la Serbie ».
l’office du tourisme décline de nombreuses thématiques
Randonneurs et cyclistes pourront aussi se lancer à l’assaut du parc national du mont Tara. Outre le volet éco-touristique, la Serbie entend aussi valoriser son patrimoine culturel. La route des monastères permet par exemple de découvrir quelques uns des plus beaux sites du pays.
Et l’office du tourisme décline de nombreuses autres thématiques : des passionnés d’ornithologie aux amoureux de bonne chaire en passant par les pêcheurs, les chasseurs ou les habitués des cures thermales.
Les cinéphiles ne manqueront pas non plus Küstendorf, un village traditionnel construit par Emir Kusturica sur les lieux du tournage de « La vie est un miracle », près de Mokra Gora.
10000 Français en 2004
Fort de cette variété de produits, l’office national du tourisme de Serbie constate déjà un rebond positif. « Le tourisme a été le secteur de l’économie le plus performant ces trois dernières années », précise Belgrade. De 2001 à 2004, le nombre de visiteurs étrangers a augmenté de près de 67%, passant de 240000 à près de 400000 touristes, et les revenus générés ont littéralement explosés de plus de 400%, passant de plus de 35 millions d’euros à près de 183 millions d’euros.
Le nombre de Français est lui aussi en hausse, passant de 8500 visiteurs en 2003 à 9700 visiteurs en 2004. L’office du tourisme rappelle qu’ils ne représentaient que 2500 visiteurs en l’an 2000. De janvier à août 2005, la croissance continue avec déjà 7000 touristes.
« La Serbie devrait dépasser les 11000 Français cette année », annonce-t-on du côté de l’office national du tourisme de Serbie.Et la destination compte poursuivre sur sa lancée en accentuant sa pression, notamment en France. Une campagne publicitaire et un slogan seront également prochainement mis sur pied. Un office du tourisme devrait également ouvrir ses portes au sein du Centre culturel Serbie Monténégro de Paris.
Autre action : la destination souhaite ensuite continuer à inviter tour opérateurs et médias afin de populariser l’image de la Serbie.
Fort de cette variété de produits, l’office national du tourisme de Serbie constate déjà un rebond positif. « Le tourisme a été le secteur de l’économie le plus performant ces trois dernières années », précise Belgrade. De 2001 à 2004, le nombre de visiteurs étrangers a augmenté de près de 67%, passant de 240000 à près de 400000 touristes, et les revenus générés ont littéralement explosés de plus de 400%, passant de plus de 35 millions d’euros à près de 183 millions d’euros.
Le nombre de Français est lui aussi en hausse, passant de 8500 visiteurs en 2003 à 9700 visiteurs en 2004. L’office du tourisme rappelle qu’ils ne représentaient que 2500 visiteurs en l’an 2000. De janvier à août 2005, la croissance continue avec déjà 7000 touristes.
« La Serbie devrait dépasser les 11000 Français cette année », annonce-t-on du côté de l’office national du tourisme de Serbie.Et la destination compte poursuivre sur sa lancée en accentuant sa pression, notamment en France. Une campagne publicitaire et un slogan seront également prochainement mis sur pied. Un office du tourisme devrait également ouvrir ses portes au sein du Centre culturel Serbie Monténégro de Paris.
Autre action : la destination souhaite ensuite continuer à inviter tour opérateurs et médias afin de populariser l’image de la Serbie.