Les Entreprises du voyage et l'APST ont tenu leurs assemblées générales mercredi 26 avril 2017 à Paris - Photo CE
Raoul Nabet n’aura pas à rougir de sa gestion de l’APST, lui qui avait accédé à la fonction présidentielle dans une tourmente insupportable.
Face à lui, souvenez-vous, un président de réseau qui lui aura valu, par la suite quelques déboires, un tour-opérateur de grosse taille en faillite "impromptue" et une crise économique qui n’aura pas été de tout repos.
Sans parler des attentats et autres péripéties hélas dramatiques.
Alix Philipon (petit patapon) aura su largement reprendre la suite et déployer un véritable "plan de développement" pour cette institution sans qui la profession en France ne serait pas tout à fait ce qu’elle est.
Au terme de sa première année de mandat, l’APST, et son équipe, présentent un bilan tout à fait honorable, malgré la défaillance de quelques individus peu recommandables qui auront coûte à la communauté la bagatelle de 2 millions et des poussières… d’euros, bien sûr, on n’est pas encore retourné au franc !
Face à lui, souvenez-vous, un président de réseau qui lui aura valu, par la suite quelques déboires, un tour-opérateur de grosse taille en faillite "impromptue" et une crise économique qui n’aura pas été de tout repos.
Sans parler des attentats et autres péripéties hélas dramatiques.
Alix Philipon (petit patapon) aura su largement reprendre la suite et déployer un véritable "plan de développement" pour cette institution sans qui la profession en France ne serait pas tout à fait ce qu’elle est.
Au terme de sa première année de mandat, l’APST, et son équipe, présentent un bilan tout à fait honorable, malgré la défaillance de quelques individus peu recommandables qui auront coûte à la communauté la bagatelle de 2 millions et des poussières… d’euros, bien sûr, on n’est pas encore retourné au franc !
Dominique Gobert et chien Charly
Si dans le plan de Dame Philipon, "Ensemble pour 2020" on pouvait intégrer cette notion de "ménage", ce serait quasiment parfait.
Néanmoins, et malgré ces quelques désagréments, l’Association professionnelle de solidarité du tourisme a de solides réserves et va pouvoir poursuivre un développement indispensable à cette profession.
Particulièrement dans sa communication auprès du grand public, lequel, je l’espère, devrait comprendre enfin l’avantage de passer par un distributeur professionnel pour ses vacances ou autres déplacements…
Un seul regret dans la présentation de cette communication : il faudrait aussi que les "adhérents" comprennent que ce sont leurs clients qui sont couverts par l’APST en cas de défaillance d’un fournisseur.
Pas eux-mêmes ! Et nombreux sont ceux qui le croient encore…
Mais tout va dans le bon sens, avec une mention particulière pour le "renouvellement" des élus et la brillante élection d’une jeune indépendante, Albane Cotin, arrivée quand même en troisième position !
Suivait dans cette journée l’assemblée générale du syndicat professionnel Les Entreprises du Voyages, dont je regrette sincèrement le changement de nom.
Peut-être le terme de Syndicat national des professionnels du voyage (ou du tourisme) eut été (damnded) plus approprié. Mais bon.
Néanmoins, et malgré ces quelques désagréments, l’Association professionnelle de solidarité du tourisme a de solides réserves et va pouvoir poursuivre un développement indispensable à cette profession.
Particulièrement dans sa communication auprès du grand public, lequel, je l’espère, devrait comprendre enfin l’avantage de passer par un distributeur professionnel pour ses vacances ou autres déplacements…
Un seul regret dans la présentation de cette communication : il faudrait aussi que les "adhérents" comprennent que ce sont leurs clients qui sont couverts par l’APST en cas de défaillance d’un fournisseur.
Pas eux-mêmes ! Et nombreux sont ceux qui le croient encore…
Mais tout va dans le bon sens, avec une mention particulière pour le "renouvellement" des élus et la brillante élection d’une jeune indépendante, Albane Cotin, arrivée quand même en troisième position !
Suivait dans cette journée l’assemblée générale du syndicat professionnel Les Entreprises du Voyages, dont je regrette sincèrement le changement de nom.
Peut-être le terme de Syndicat national des professionnels du voyage (ou du tourisme) eut été (damnded) plus approprié. Mais bon.
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Un syndicat qui semble à nouveau sur la voie du redressement, tant par ses comptes (financiers) que par son ardeur au travail.
"Nous ne sommes ni agités, ni compulsifs", sera la phrase que j’aurai retenu de son président (et c’est lui qui le dit), seul candidat à sa propre succession, qui aura été élu à l’issue de cette assemblée pour un nouveau mandat de trois ans.
Parce que, là aussi, la tendance est au redressement : nouveaux adhérents, excédent financier, une organisation modernisée et un boulot "fait", tant sur le plan juridique que social ou politique. Reste à concrétiser, notamment sur le plan de la représentativité.
Il n’est pas normal qu’une profession qui pèse quand même près de 8% du PIB ne rassemble pas encore suffisamment d’adhérents au sein de son syndicat !
Et je tiens ici à souligner le discours de clôture de Jean-Pierre Mas. Parce que face à certains irresponsables qui prônent un avenir politique en France totalement démagogique, faisant fi des mensonges et des magouilles annoncées par certains candidats il fallait le dire.
Je le répète, malgré nos profondes dissensions de naguère, il aura eu le courage de prononcer un discours éminemment politique mais de tellement bon sens.
Il aura mis en garde ses adhérents contre "certaines pratiques néfastes pour vos entreprises" qui consisteraient à fermer nos frontières, perturber la libre circulation des individus et abandonner l’euro.
"La libre circulation des individus, prononce-t-il, c’est la base même de nos métiers, nous qui accueillons tous les visiteurs étrangers et encourageons nos clients à aller découvrir d’autres nations".
Quant à l'abandon de l’euro au profit du franc, forcément dévalué, cela conduirait, "ni plus ni moins à augmenter le prix de nos prestations de plus de 20%. En revanche, nous pourrions pratiquer notre petit business entre nous, à l’intérieur des barbelés".
Il aura tout dit, concluant simplement d’un "ne nous faisons pas peur".
Il a raison !
"Nous ne sommes ni agités, ni compulsifs", sera la phrase que j’aurai retenu de son président (et c’est lui qui le dit), seul candidat à sa propre succession, qui aura été élu à l’issue de cette assemblée pour un nouveau mandat de trois ans.
Parce que, là aussi, la tendance est au redressement : nouveaux adhérents, excédent financier, une organisation modernisée et un boulot "fait", tant sur le plan juridique que social ou politique. Reste à concrétiser, notamment sur le plan de la représentativité.
Il n’est pas normal qu’une profession qui pèse quand même près de 8% du PIB ne rassemble pas encore suffisamment d’adhérents au sein de son syndicat !
Et je tiens ici à souligner le discours de clôture de Jean-Pierre Mas. Parce que face à certains irresponsables qui prônent un avenir politique en France totalement démagogique, faisant fi des mensonges et des magouilles annoncées par certains candidats il fallait le dire.
Je le répète, malgré nos profondes dissensions de naguère, il aura eu le courage de prononcer un discours éminemment politique mais de tellement bon sens.
Il aura mis en garde ses adhérents contre "certaines pratiques néfastes pour vos entreprises" qui consisteraient à fermer nos frontières, perturber la libre circulation des individus et abandonner l’euro.
"La libre circulation des individus, prononce-t-il, c’est la base même de nos métiers, nous qui accueillons tous les visiteurs étrangers et encourageons nos clients à aller découvrir d’autres nations".
Quant à l'abandon de l’euro au profit du franc, forcément dévalué, cela conduirait, "ni plus ni moins à augmenter le prix de nos prestations de plus de 20%. En revanche, nous pourrions pratiquer notre petit business entre nous, à l’intérieur des barbelés".
Il aura tout dit, concluant simplement d’un "ne nous faisons pas peur".
Il a raison !