Pour Alpitour, pas d’alternative : il ne suffit pas de prendre un beau stand sur le village des TO d’IFTM Top Résa, de ne pas oublier de songer que le prochain Ditex aura lieu à Marseille, de lancer ses belles brochures dès la semaine prochaine, faut absolument rentrer chez Selectour ! - DR capture écran
Vous l’aurez compris, Patrice Caradec, après avoir été viré rapidement de Transat, revient tranquillement en compagnie d’actionnaires italiens sur le marché.
Sans songer, du moins pour le moment à vouloir faire la moindre ombre au géant teuton, mais du moins en récupérant certains de ces anciens collaborateurs de Transat qui ne veulent (ou ne peuvent) pas s’impliquer dans la grande offensive menée par TUI.
C’est quand même un sacré pari que prennent Caradec et ses équipes. Parce que, du côté de tous ces producteurs « clubs » (non, je vais pas parler de tongs, y’en a qui ne le font pas), le marché se rétrécit de plus en plus.
Si, certains, tels Kappa notamment, ont réussi à se démarquer de la production classique, la grande majorité surfe encore sur la vague du produits simple, relativement bon marché et sans grande originalité.
Seulement, la part de gâteau n’est pas forcément très extensible. Fram, pour sa part, affaibli terriblement après sa défaillance, joue encore de la confiance de ses vieux clients. Mais a perdu pas mal de notoriété auprès des distributeurs.
Marrieton, O’ Voyages s’en sortent encore pas mal, mais à quel prix !
Sans songer, du moins pour le moment à vouloir faire la moindre ombre au géant teuton, mais du moins en récupérant certains de ces anciens collaborateurs de Transat qui ne veulent (ou ne peuvent) pas s’impliquer dans la grande offensive menée par TUI.
C’est quand même un sacré pari que prennent Caradec et ses équipes. Parce que, du côté de tous ces producteurs « clubs » (non, je vais pas parler de tongs, y’en a qui ne le font pas), le marché se rétrécit de plus en plus.
Si, certains, tels Kappa notamment, ont réussi à se démarquer de la production classique, la grande majorité surfe encore sur la vague du produits simple, relativement bon marché et sans grande originalité.
Seulement, la part de gâteau n’est pas forcément très extensible. Fram, pour sa part, affaibli terriblement après sa défaillance, joue encore de la confiance de ses vieux clients. Mais a perdu pas mal de notoriété auprès des distributeurs.
Marrieton, O’ Voyages s’en sortent encore pas mal, mais à quel prix !
Dominique Gobert - DR
Il ne faut pas se voiler la face. Qu’on le veuille ou non, les distributeurs ont encore une grosse, pour ne pas dire énorme, emprise sur le marché, particulièrement sur ces produits relativement faciles à vendre que sont les clubs de vacances.
D’ailleurs, TUI France, qui avait longtemps songé à ne plus passer sous les fourches des réseaux de distributeurs, a prudemment opéré un retour vers la distribution… En attendant !
Pour Alpitour et Caradec, c’est d’ailleurs aussi tout l’enjeu. Sans vouloir rappeler certains mauvais souvenirs, Patrice Caradec lorsqu’il était encore patron de Transat France avait avec assez de panache, claqué la porte du premier réseau de France, Selectour…
Faut dire qu’à l’époque, le réseau était en pleine (Waterloo, morne plaine) anarchie !
Tout ceci est du passé. Pour Alpitour, pas d’alternative : il ne suffit pas de prendre un beau stand sur le village des TO d’IFTM Top Résa, de ne pas oublier de songer que le prochain Ditex aura lieu à Marseille, de lancer ses belles brochures dès la semaine prochaine, faut absolument rentrer chez Selectour !
Comme le dit Caradec, c’est une « priorité ».
D’ailleurs, TUI France, qui avait longtemps songé à ne plus passer sous les fourches des réseaux de distributeurs, a prudemment opéré un retour vers la distribution… En attendant !
Pour Alpitour et Caradec, c’est d’ailleurs aussi tout l’enjeu. Sans vouloir rappeler certains mauvais souvenirs, Patrice Caradec lorsqu’il était encore patron de Transat France avait avec assez de panache, claqué la porte du premier réseau de France, Selectour…
Faut dire qu’à l’époque, le réseau était en pleine (Waterloo, morne plaine) anarchie !
Tout ceci est du passé. Pour Alpitour, pas d’alternative : il ne suffit pas de prendre un beau stand sur le village des TO d’IFTM Top Résa, de ne pas oublier de songer que le prochain Ditex aura lieu à Marseille, de lancer ses belles brochures dès la semaine prochaine, faut absolument rentrer chez Selectour !
Comme le dit Caradec, c’est une « priorité ».
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Caramba !
J’ose espérer que ce grand réseau ne sera pas frileux et accueillera ce nouvel acteur comme il se doit. Encore que, faut pas trop se faire d’illusions : va pas falloir mégoter question pognon !
En revanche, mais moi, vous me connaissez, je ne suis pas un professionnel, je ne peux que m’interroger sur une seule question que je vais livrer à votre réflexion.
La plupart des homologues d’Alpitour sont référencés chez Selectour. Et le réseau « nouvelle direction » s’est engagé à « piloter » les ventes de tous ses fournisseurs.
A égalité ?
J’ose espérer que ce grand réseau ne sera pas frileux et accueillera ce nouvel acteur comme il se doit. Encore que, faut pas trop se faire d’illusions : va pas falloir mégoter question pognon !
En revanche, mais moi, vous me connaissez, je ne suis pas un professionnel, je ne peux que m’interroger sur une seule question que je vais livrer à votre réflexion.
La plupart des homologues d’Alpitour sont référencés chez Selectour. Et le réseau « nouvelle direction » s’est engagé à « piloter » les ventes de tous ses fournisseurs.
A égalité ?