C'est une bonne nouvelle que cette offre de reprise faite pas Travel Europe pour Donatello.
Reste maintenant simplement à savoir si le Tribunal de Commerce va "suivre"… Ce qui paraît assez probable.
Toutefois, il ne m'étonnerait pas non plus que d'autres acquéreurs se présentent et, si j'en crois mes sources, certains seraient bien tentés.
Si le Groupe Travel Europe et les deux frères Helmutt et Tony (leur nom de famille est non seulement imprononçable mais aussi inécrivable), l'emportent, il ne fait aucun doute que la belle maison perdurera.
Reste à savoir, et je suis un peu désolé de soulever ce redoutable problème, si l'ensemble des salariés pourra garder sa place.
Car 136 personnes pour une société qui accusait cette année encore une perte nette de quelque 2.5 millions d'euros… vous voyez ce que je veux dire !
Reste maintenant simplement à savoir si le Tribunal de Commerce va "suivre"… Ce qui paraît assez probable.
Toutefois, il ne m'étonnerait pas non plus que d'autres acquéreurs se présentent et, si j'en crois mes sources, certains seraient bien tentés.
Si le Groupe Travel Europe et les deux frères Helmutt et Tony (leur nom de famille est non seulement imprononçable mais aussi inécrivable), l'emportent, il ne fait aucun doute que la belle maison perdurera.
Reste à savoir, et je suis un peu désolé de soulever ce redoutable problème, si l'ensemble des salariés pourra garder sa place.
Car 136 personnes pour une société qui accusait cette année encore une perte nette de quelque 2.5 millions d'euros… vous voyez ce que je veux dire !
Reste également le problème des agences "physiques" détenues par Donatello.
Quel sort leur réserveront les possibles futurs acquéreurs ?
On sait que des propositions avaient été faites à certains TO, dont le Groupe Salaün. Sans succès.
En revanche, et c'est très positif, si Travel Europe emporte l'affaire, une nouvelle période s'ouvre pour le TO.
Ce dernier bénéficierait en effet de la puissance du modèle économique mis en place par les frères autrichiens (modèle qui tient quand même depuis une bonne trentaine d'années).
Et ne rentrerait pas sous la coupe d'un "géant" de l'industrie touristique, mais bien au sein d'une entreprise familiale… et conviviale.
Quant à Travel Europe, et sa filiale française, c'est une très belle occasion d'être enfin reconnu sur le marché français.
En revanche, j'avoue être un tout petit peu perplexe sur la suite des événements.
Mais il est vrai que je ne connais pas tous les secrets de la proposition d'offre, pas plus que la teneur des entretiens qui se sont déroulés au pied des montagnes autrichiennes, du côté de Stans, siège de Travel Europe.
Quel sort leur réserveront les possibles futurs acquéreurs ?
On sait que des propositions avaient été faites à certains TO, dont le Groupe Salaün. Sans succès.
En revanche, et c'est très positif, si Travel Europe emporte l'affaire, une nouvelle période s'ouvre pour le TO.
Ce dernier bénéficierait en effet de la puissance du modèle économique mis en place par les frères autrichiens (modèle qui tient quand même depuis une bonne trentaine d'années).
Et ne rentrerait pas sous la coupe d'un "géant" de l'industrie touristique, mais bien au sein d'une entreprise familiale… et conviviale.
Quant à Travel Europe, et sa filiale française, c'est une très belle occasion d'être enfin reconnu sur le marché français.
En revanche, j'avoue être un tout petit peu perplexe sur la suite des événements.
Mais il est vrai que je ne connais pas tous les secrets de la proposition d'offre, pas plus que la teneur des entretiens qui se sont déroulés au pied des montagnes autrichiennes, du côté de Stans, siège de Travel Europe.
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Quid de l'investissement technologique, concocté depuis près d'un an par les experts consultants de Donatello et qui devait être quasi opérationnel dans les prochaines semaines ?
Et surtout, quelle est la véritable position d'Hervé Vighier ?
N'oublions pas qu'après la prise de contrôle de Donatello, pour un montant non communiqué (comme on dit), Hervé Vighier s'est quand même fâché très fort avec son ami de toujours, fondateur du TO, Antonio d'Apote.
Quels ont été les "cadavres" qui ont brisé une amitié vieille de longues années ?
Pourquoi avoir remis dans la société plusieurs millions, avoir convaincu quelques investisseurs tels Francis Reversé ou Jacques Maillot… pour jeter l'éponge quelques mois plus tard ?
Seraient-ce les ennuis judicio-financiers d'Hervé Vighier qui auraient été le déclencheur de l'opération ?
Et puis surtout, dernière question : qu'en sera-t-il des clients et fournisseurs actuels de Donatello, tels cette agence qui a dû repayer pour ses clients quelque 8 000€ ou ces hôteliers qui ont exigé des clients déjà partis de repayer la prestation ?
A moins que, malin comme toujours, Hervé Vighier n'ait trouvé le moyen en faisant bénéficier Donatello d'une sorte de "Chapitre 11" à l'américaine, de récupérer une partie de sa mise… et de garder quand même un petit doigt dans l'entreprise, via ses nouvelles technologies ?
Qui sait ? Souvent, les voies du Seigneur sont impénétrables…
Et surtout, quelle est la véritable position d'Hervé Vighier ?
N'oublions pas qu'après la prise de contrôle de Donatello, pour un montant non communiqué (comme on dit), Hervé Vighier s'est quand même fâché très fort avec son ami de toujours, fondateur du TO, Antonio d'Apote.
Quels ont été les "cadavres" qui ont brisé une amitié vieille de longues années ?
Pourquoi avoir remis dans la société plusieurs millions, avoir convaincu quelques investisseurs tels Francis Reversé ou Jacques Maillot… pour jeter l'éponge quelques mois plus tard ?
Seraient-ce les ennuis judicio-financiers d'Hervé Vighier qui auraient été le déclencheur de l'opération ?
Et puis surtout, dernière question : qu'en sera-t-il des clients et fournisseurs actuels de Donatello, tels cette agence qui a dû repayer pour ses clients quelque 8 000€ ou ces hôteliers qui ont exigé des clients déjà partis de repayer la prestation ?
A moins que, malin comme toujours, Hervé Vighier n'ait trouvé le moyen en faisant bénéficier Donatello d'une sorte de "Chapitre 11" à l'américaine, de récupérer une partie de sa mise… et de garder quand même un petit doigt dans l'entreprise, via ses nouvelles technologies ?
Qui sait ? Souvent, les voies du Seigneur sont impénétrables…