Parce que Notre Dame des Landes, dont, perso, je ne suis pas sûr du bien-fondé de l’opération, coûtera de toutes manières des millions d’euros… Pour un résultat qui reste encore à prouver.
Si, finalement, Président Macron décide de ne pas entreprendre la construction, il faudra quand même payer à Vinci, le « bâtisseur », un dédit qui devrait avoisiner les 350 Millions d’euros. Une paille…
Ben, chez TUI France, c’est un peu la même chose. Dans leur volonté hégémonique de « vacances de masse », les germains (qui ont balayés les grands bretons) ont investi en France des centaines de millions…
Persuadés que ce qui fonctionnait en Belgique, en Allemagne ou dans une bonne partie de l’Europe, pouvait aussi rapporter gros en France.
Bah, pour le moment c’est raté, mais il n’y a aucune honte à reconnaître qu’on s’est trompé et tenter de rétablir une version TUI qui corresponde à la réalité du marché français.
Si, finalement, Président Macron décide de ne pas entreprendre la construction, il faudra quand même payer à Vinci, le « bâtisseur », un dédit qui devrait avoisiner les 350 Millions d’euros. Une paille…
Ben, chez TUI France, c’est un peu la même chose. Dans leur volonté hégémonique de « vacances de masse », les germains (qui ont balayés les grands bretons) ont investi en France des centaines de millions…
Persuadés que ce qui fonctionnait en Belgique, en Allemagne ou dans une bonne partie de l’Europe, pouvait aussi rapporter gros en France.
Bah, pour le moment c’est raté, mais il n’y a aucune honte à reconnaître qu’on s’est trompé et tenter de rétablir une version TUI qui corresponde à la réalité du marché français.
Dominique Gobert
Mais hélas, les actionnaires de ce groupe gigantesque, dans leur suffisance, n’ont jamais rien compris. Car, il ne suffisait pas d’investir le marché à coups de rachats, de plans sociaux et de « lissage » du produit.
Fallait un tout petit peu réfléchir et étudier aussi la clientèle. Après tout, c’est quand même le client, ce fameux client que l’on finit enfin par découvrir au bout de tant d’années qui décide…
On voit le résultat aujourd’hui en France. Bien que les résultats financiers ne soient pas communiqués, consolidés dans la masse du TO, personne ne peut nier qu’en France, c’est pas la panacée.
Même en rachetant Transat, il aurait fallu non pas imposer la vision globale du groupe mais laisser une certaine spécificité locale, laquelle, bon an mal an, aura quand même fait le succès des Lookéa, des Marmara et des Nouvelles Frontières…
Sans vouloir imposer des systèmes informatiques peu ou mal conçus pour ces produits. Tiens, par exemple, c’est quoi le problème avec « Tussy », lequel est « extrêmement instable », ne fonctionne pas vraiment pour les circuits et va mettre sur le pont une flopée des développeurs informatiques venus de Belgique ?
Fallait un tout petit peu réfléchir et étudier aussi la clientèle. Après tout, c’est quand même le client, ce fameux client que l’on finit enfin par découvrir au bout de tant d’années qui décide…
On voit le résultat aujourd’hui en France. Bien que les résultats financiers ne soient pas communiqués, consolidés dans la masse du TO, personne ne peut nier qu’en France, c’est pas la panacée.
Même en rachetant Transat, il aurait fallu non pas imposer la vision globale du groupe mais laisser une certaine spécificité locale, laquelle, bon an mal an, aura quand même fait le succès des Lookéa, des Marmara et des Nouvelles Frontières…
Sans vouloir imposer des systèmes informatiques peu ou mal conçus pour ces produits. Tiens, par exemple, c’est quoi le problème avec « Tussy », lequel est « extrêmement instable », ne fonctionne pas vraiment pour les circuits et va mettre sur le pont une flopée des développeurs informatiques venus de Belgique ?
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Erreurs aussi grossières dans l’approche avec la distribution, même si, après analyse, une prudente marche arrière aura été adoptée… avant un nouveau bond en avant…
Et je ne crois pas que l’on puisse arriver à développer un groupe important à coups de plans sociaux.
Tiens, à propos de plan social, sur le dernier PDV qui aura quand même causé beaucoup de refus pour certains salariés, causé pas mal de dépressions, il aura au moins servi à se débarrasser du l'ex-DAF, Sami Tritar. Pourtant, si je ne m'abuse, l'accès au PDV était fermé. Sans doute histoire d'éviter un chèque conséquent ?
Pascal de Izaguirre, contrairement à ce que beaucoup de salariés du groupe en France pense, n’aura pas démérité. Il aura même avalé pas mal de couleuvres, mais, qu’on le veuille ou non, il aura « fait le job », du moins dans sa partie organisation.
Et je ne suis pas sûr que l’on puisse lui imputer les résultats peu glorieux de la filiale en France.
Hélas, tous les fusibles de la direction en France ont sauté. Izaguirre n’est, certes, pas encore viré, mais et c’est un fait clair, il est mis au placard. Doré.
Il ne lui reste plus qu’à conclure la « reprise » de Corsair pour pouvoir, enfin, tirer sa révérence et passer à de nouvelles occupations.
Et damned, va falloir tout reprendre avec le belge nouveau…
Car, tout le monde le sait, le Basque (re) bondit toujours !
Et je ne crois pas que l’on puisse arriver à développer un groupe important à coups de plans sociaux.
Tiens, à propos de plan social, sur le dernier PDV qui aura quand même causé beaucoup de refus pour certains salariés, causé pas mal de dépressions, il aura au moins servi à se débarrasser du l'ex-DAF, Sami Tritar. Pourtant, si je ne m'abuse, l'accès au PDV était fermé. Sans doute histoire d'éviter un chèque conséquent ?
Pascal de Izaguirre, contrairement à ce que beaucoup de salariés du groupe en France pense, n’aura pas démérité. Il aura même avalé pas mal de couleuvres, mais, qu’on le veuille ou non, il aura « fait le job », du moins dans sa partie organisation.
Et je ne suis pas sûr que l’on puisse lui imputer les résultats peu glorieux de la filiale en France.
Hélas, tous les fusibles de la direction en France ont sauté. Izaguirre n’est, certes, pas encore viré, mais et c’est un fait clair, il est mis au placard. Doré.
Il ne lui reste plus qu’à conclure la « reprise » de Corsair pour pouvoir, enfin, tirer sa révérence et passer à de nouvelles occupations.
Et damned, va falloir tout reprendre avec le belge nouveau…
Car, tout le monde le sait, le Basque (re) bondit toujours !