Comme quoi faut jamais dire jamais !
Si je ne m'abuse, en 2010, la séparation entre Thomas Cook et XL Airways, sur la plateforme de Lille avait été plutôt brutale.
Musclée même, mais faut dire qu'à l'époque, c'était encore le grand Denis Wathier qui présidait aux destinées du TO.
Dans le même temps, la compagnie que préside encore et toujours Laurent Magnin, songeait à un avenir plus long courrier.
Si j'ai bonne mémoire, il clamait déjà haut et fort que le "charter", c'est fini, que le court et moyen-courrier, c'est mort et que basta, faut aller vers le long courrier low cost… quand on est une compagnie aérienne.
Et que, toujours si je ne m'abuse, à l'époque, Thomas Cook, c'était pas franchement un ami…
Eh bien, vraiment, la roue tourne si je puis me permettre.
XL Airways, mais c'était pas une mauvaise idée, n'a pas franchement réussi dans sa tentative de compagnie aérienne low cost long-courrier.
Certes, il lui aurait fallu un actionnaire musclé et qui puisse soutenir l'investissement que cela représente…
Peut-être aussi que le choix de la route principale, les Antilles, n'était pas forcément judicieux.
Y'a quand même de la concurrence et ce n'est pas en vendant les sièges à perte que l'on met la concurrence à genoux.
Ca gène, certes, le client en profite (mais n'y comprends plus rien) et finalement c'est bon pour personne…
Quant à Lille, et donc tout le bassin touristique du Nord, le Grand Nord si l'on songe à nos amis et voisins plus au nord, c'est un formidable vivier qu'a toujours lorgné Thomas Cook France.
Si je ne m'abuse, en 2010, la séparation entre Thomas Cook et XL Airways, sur la plateforme de Lille avait été plutôt brutale.
Musclée même, mais faut dire qu'à l'époque, c'était encore le grand Denis Wathier qui présidait aux destinées du TO.
Dans le même temps, la compagnie que préside encore et toujours Laurent Magnin, songeait à un avenir plus long courrier.
Si j'ai bonne mémoire, il clamait déjà haut et fort que le "charter", c'est fini, que le court et moyen-courrier, c'est mort et que basta, faut aller vers le long courrier low cost… quand on est une compagnie aérienne.
Et que, toujours si je ne m'abuse, à l'époque, Thomas Cook, c'était pas franchement un ami…
Eh bien, vraiment, la roue tourne si je puis me permettre.
XL Airways, mais c'était pas une mauvaise idée, n'a pas franchement réussi dans sa tentative de compagnie aérienne low cost long-courrier.
Certes, il lui aurait fallu un actionnaire musclé et qui puisse soutenir l'investissement que cela représente…
Peut-être aussi que le choix de la route principale, les Antilles, n'était pas forcément judicieux.
Y'a quand même de la concurrence et ce n'est pas en vendant les sièges à perte que l'on met la concurrence à genoux.
Ca gène, certes, le client en profite (mais n'y comprends plus rien) et finalement c'est bon pour personne…
Quant à Lille, et donc tout le bassin touristique du Nord, le Grand Nord si l'on songe à nos amis et voisins plus au nord, c'est un formidable vivier qu'a toujours lorgné Thomas Cook France.
Lequel, englué dans ses contradictions et ses difficultés à concevoir une stratégie enfin claire, avait pour le moins un peu abandonné, ou du moins "cédé" à son homologue outre-quiévrain.
Apparemment, à l'instar de son confrère (mais pas ami TUI France), Thomas Cook semble considérer aussi que la tendance est aux loisirs court et moyen-courriers.
Et qu'il était un peu temps de fournier quelques prestations à ces bons chtis.
Et comme XL Airways ne savait pas trop comment positionner ses aéroplanes court-courriers, pourquoi ne pas retenter une combinaison qui, à l'époque, avait donné de bons résultats ?
Il semble que, cette fois-ci, il n'y aura pas eu trop à négocier cet accord, lequel permet à XL Airways de positionner un appareil sur l'aéroport de Lille Lesquin et d'offrir à son nouveau compère, Thomas Cook France, pas loin de 150.000 sièges à partir d'avril prochain.
Vers la plupart des grandes destinations "tendances" en moyen-courrier, comme Marrakech, Bodrum, Héraklion, Agadir et plein d'autres. Y'en a 17 !
Pour Lille, c'est tout bénef. Itou pour Thomas Cook, à condition d'offrir quand même, maintenant un produit cohérent que clients et distributeurs puissent enfin comprendre.
Et, pour XL Airways, c'est aussi le moyen de prolonger la survie… avant de trouver (enfin?) un actionnaire sérieux et qui puisse mettre quelques pépètes dans la compagnie.
En fait, c'est un peu leur survie respective qu'ont conclu les deux partenaires.
Mais il est vrai que le vent vient souvent du Nord. Suffit de le prendre… avant qu'il ne tourne !
Apparemment, à l'instar de son confrère (mais pas ami TUI France), Thomas Cook semble considérer aussi que la tendance est aux loisirs court et moyen-courriers.
Et qu'il était un peu temps de fournier quelques prestations à ces bons chtis.
Et comme XL Airways ne savait pas trop comment positionner ses aéroplanes court-courriers, pourquoi ne pas retenter une combinaison qui, à l'époque, avait donné de bons résultats ?
Il semble que, cette fois-ci, il n'y aura pas eu trop à négocier cet accord, lequel permet à XL Airways de positionner un appareil sur l'aéroport de Lille Lesquin et d'offrir à son nouveau compère, Thomas Cook France, pas loin de 150.000 sièges à partir d'avril prochain.
Vers la plupart des grandes destinations "tendances" en moyen-courrier, comme Marrakech, Bodrum, Héraklion, Agadir et plein d'autres. Y'en a 17 !
Pour Lille, c'est tout bénef. Itou pour Thomas Cook, à condition d'offrir quand même, maintenant un produit cohérent que clients et distributeurs puissent enfin comprendre.
Et, pour XL Airways, c'est aussi le moyen de prolonger la survie… avant de trouver (enfin?) un actionnaire sérieux et qui puisse mettre quelques pépètes dans la compagnie.
En fait, c'est un peu leur survie respective qu'ont conclu les deux partenaires.
Mais il est vrai que le vent vient souvent du Nord. Suffit de le prendre… avant qu'il ne tourne !
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