J’avoue, j’étais content lorsque Salaün Holidays m’a proposé, ainsi qu’à quelques confrères, d’aller passer un long week-end au Vietnam.
Du nord, plus précisément.
J’avais encore en mémoire de vieux souvenirs de jeune ado, à une époque où nous balbutiions en manifestant notre fureur de cette guerre stupide qui se déroulait alors dans cette partie du monde que nos ancêtres appelaient le Tonkin.
En débarquant de l’avion de Vietnam Airlines, un Boeing 350 flambant neuf, je m’attendais à découvrir un aéroport style « colonial », des Viet Cong guettant l’arrivée des B52 yankee et des batteries anti-aériennes dissimulées le long de la piste.
Ben, faut oublier tout ça. D’ailleurs, les Vietnamiens se marrent quand vous leur parlez de cette guerre, enfin de ces guerres.
N’oublions pas qu’avant les USiens, nos grands-parents (et même arrières) avaient, eux aussi, envahi ce doux et délicat pays. Ils ont déchanté à Dien Bien Phu, un petit village maintenant, mais qui figure en bonne place sur toutes les cartes du pays !
Du nord, plus précisément.
J’avais encore en mémoire de vieux souvenirs de jeune ado, à une époque où nous balbutiions en manifestant notre fureur de cette guerre stupide qui se déroulait alors dans cette partie du monde que nos ancêtres appelaient le Tonkin.
En débarquant de l’avion de Vietnam Airlines, un Boeing 350 flambant neuf, je m’attendais à découvrir un aéroport style « colonial », des Viet Cong guettant l’arrivée des B52 yankee et des batteries anti-aériennes dissimulées le long de la piste.
Ben, faut oublier tout ça. D’ailleurs, les Vietnamiens se marrent quand vous leur parlez de cette guerre, enfin de ces guerres.
N’oublions pas qu’avant les USiens, nos grands-parents (et même arrières) avaient, eux aussi, envahi ce doux et délicat pays. Ils ont déchanté à Dien Bien Phu, un petit village maintenant, mais qui figure en bonne place sur toutes les cartes du pays !
Il fait chaud donc, à Hanoï.
Cette chaleur humide qui vous poisse rapidement et qui permet à Michel Salaün de sortir illico sa carte de crédit qui va lui permettre de râcler, tel le laveur de vitres, son front large et ruisselant !
En revanche, c’est un aéroport moderne, flambant neuf, qui accueille les aéroplanes venus du monde entier à Hanoï.
Et comme c’est la fête nationale du pays, l’Oncle Ho avait proclamé l’indépendance du pays le 2 septembre 1945, des drapeaux rouges, ornés en leur centre d’une étoile dorée, flottent un peu partout.
Juste histoire de me replonger dans mes rêves de jeunesse, à l’époque où nous rêvions déjà d’un monde meilleur, solidaire, égalitaire… Mais nous ne passions pas notre temps à palabrer toute la nuit, debout Place de la République !
Autres temps, autres mœurs…
Au Viet Nam, si la dénomination de République Socialiste du Vietnam a été maintenue, c’est bien la seule trace qui reste de la grande histoire d’Oncle Ho (Chi Minh, pour ceux qui ont quelques défaillances historiques).
Cette chaleur humide qui vous poisse rapidement et qui permet à Michel Salaün de sortir illico sa carte de crédit qui va lui permettre de râcler, tel le laveur de vitres, son front large et ruisselant !
En revanche, c’est un aéroport moderne, flambant neuf, qui accueille les aéroplanes venus du monde entier à Hanoï.
Et comme c’est la fête nationale du pays, l’Oncle Ho avait proclamé l’indépendance du pays le 2 septembre 1945, des drapeaux rouges, ornés en leur centre d’une étoile dorée, flottent un peu partout.
Juste histoire de me replonger dans mes rêves de jeunesse, à l’époque où nous rêvions déjà d’un monde meilleur, solidaire, égalitaire… Mais nous ne passions pas notre temps à palabrer toute la nuit, debout Place de la République !
Autres temps, autres mœurs…
Au Viet Nam, si la dénomination de République Socialiste du Vietnam a été maintenue, c’est bien la seule trace qui reste de la grande histoire d’Oncle Ho (Chi Minh, pour ceux qui ont quelques défaillances historiques).
Autres articles
De socialiste, il n’en reste pas grand chose dans ce pays fabuleux.
Une circulation dense, peuplée en large majorité de motos et de scooters, surchargés tant en colis divers et variés que d’êtres humains, sans parler des animaux.
Le tout dans une cacophonie de bon aloi et une pollution qui rendrait Dame Hidalgo hystérique (encore que faudrait pas trop la pousser), des sourires partout et des policiers qui font la chasse au Dong.
Ben oui, comme faut bien que tout le monde vive, la corruption va aussi bien et la moindre amende circule vite, depuis le « client » piégé de poches en poches de fonctionnaires zélés.
Quant à la Baie d’Halong, c’est une pure merveille. On a beau avoir vu cent fois les mêmes photos, la découvrir à bord de ces bateaux de grand standing, passer la nuit au pied d’une île où les macaques pullulent, se tremper dans une eau à 25°C, les vestiges du temps passé, la vieille piste Ho Chi Minh, Voyage au bout de l’enfer, c’est vite oublié.
Et le tourisme aura fait aussi la preuve que chacun peut vivre en bonne intelligence.
Et que si vous proposez à vos clients une aventure vers le Vietnam, je suis sûr qu’ils en reviendront aussi souriants que la population qu’ils auront découverte !
Une circulation dense, peuplée en large majorité de motos et de scooters, surchargés tant en colis divers et variés que d’êtres humains, sans parler des animaux.
Le tout dans une cacophonie de bon aloi et une pollution qui rendrait Dame Hidalgo hystérique (encore que faudrait pas trop la pousser), des sourires partout et des policiers qui font la chasse au Dong.
Ben oui, comme faut bien que tout le monde vive, la corruption va aussi bien et la moindre amende circule vite, depuis le « client » piégé de poches en poches de fonctionnaires zélés.
Quant à la Baie d’Halong, c’est une pure merveille. On a beau avoir vu cent fois les mêmes photos, la découvrir à bord de ces bateaux de grand standing, passer la nuit au pied d’une île où les macaques pullulent, se tremper dans une eau à 25°C, les vestiges du temps passé, la vieille piste Ho Chi Minh, Voyage au bout de l’enfer, c’est vite oublié.
Et le tourisme aura fait aussi la preuve que chacun peut vivre en bonne intelligence.
Et que si vous proposez à vos clients une aventure vers le Vietnam, je suis sûr qu’ils en reviendront aussi souriants que la population qu’ils auront découverte !