Quelle belle idée de changer de décennie !
Parce que, franchement, comme le dit mon camarade et néanmoins patron, John the Light, des « accidents industriels » dans le tourisme français, on en a eu plus que de raison.
Thomas Cook, bien sûr, sur lequel je vais revenir plus bas, mais aussi, par ricochet, la situation pour le moins délicate de l’APST, sans oublier bon nombre de grosses débâcles…
N’oublions pas non plus que, en 2019, ce sont quelque 23 compagnies aériennes (source Air Journal) qui ont laissé sur le carreau des milliers de passagers.
Et parmi ce « Club » des 23, 7 transporteurs européens. Non des moindres d’ailleurs, tels XL Airways, Aigle Azur, Adria Airways ou encore WOW Air qui veut revenir sous un autre nom, effaçant au passage ses dettes colossales et méprisant les passagers qui lui avaient fait confiance.
Parce que, franchement, comme le dit mon camarade et néanmoins patron, John the Light, des « accidents industriels » dans le tourisme français, on en a eu plus que de raison.
Thomas Cook, bien sûr, sur lequel je vais revenir plus bas, mais aussi, par ricochet, la situation pour le moins délicate de l’APST, sans oublier bon nombre de grosses débâcles…
N’oublions pas non plus que, en 2019, ce sont quelque 23 compagnies aériennes (source Air Journal) qui ont laissé sur le carreau des milliers de passagers.
Et parmi ce « Club » des 23, 7 transporteurs européens. Non des moindres d’ailleurs, tels XL Airways, Aigle Azur, Adria Airways ou encore WOW Air qui veut revenir sous un autre nom, effaçant au passage ses dettes colossales et méprisant les passagers qui lui avaient fait confiance.
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Et que l’on n’aille pas me dire que c’est la faute au climat, à la chaleur, à la froideur ou au prix de pétrole qui fait du yo-yo en permanence !
Ce sont quand même, par rapport à 2018, huit faillites de compagnies aériennes supplémentaires.
Rien cependant qui puisse affoler nos têtes pensantes gouvernementales, qui continuent à tirer à boulets rouges sur notre pavillon en taxant et retaxant…
Quant à la création d’une caisse de garantie sur le transport aérien, balivernes et billevesées. L’Europe s’en cogne et Bercy aussi ! Fermez le ban, y’a toujours rien à voir.
Tiens, ça fait du bien de revenir dans ma jolie Case !
Et, au fait, Thomas Cook ? On attend toujours la décision du Tribunal qui devrait attribuer la marque… à qui mettra assez cher sur la table.
Mais, si je ne m’abuse, la marque Thomas Cook et ses « filiales » (parmi lesquelles, ô joie pour moi, on trouve la « tong amusante » ou un truc de ce genre), la marque donc a déjà été vendue aux Chinoas de Fosun lors de la débâcle anglaise. A moins que l’on puisse la vendre plusieurs fois, sait-on jamais.
Ce sont quand même, par rapport à 2018, huit faillites de compagnies aériennes supplémentaires.
Rien cependant qui puisse affoler nos têtes pensantes gouvernementales, qui continuent à tirer à boulets rouges sur notre pavillon en taxant et retaxant…
Quant à la création d’une caisse de garantie sur le transport aérien, balivernes et billevesées. L’Europe s’en cogne et Bercy aussi ! Fermez le ban, y’a toujours rien à voir.
Tiens, ça fait du bien de revenir dans ma jolie Case !
Et, au fait, Thomas Cook ? On attend toujours la décision du Tribunal qui devrait attribuer la marque… à qui mettra assez cher sur la table.
Mais, si je ne m’abuse, la marque Thomas Cook et ses « filiales » (parmi lesquelles, ô joie pour moi, on trouve la « tong amusante » ou un truc de ce genre), la marque donc a déjà été vendue aux Chinoas de Fosun lors de la débâcle anglaise. A moins que l’on puisse la vendre plusieurs fois, sait-on jamais.
En revanche, et là, c’est pas très glop, ce sont encore une fois les salariés de la vieille entreprise qui font, encore et toujours, les frais de l’impéritie de leurs anciens dirigeants… et pour ceux qui ont été repris, de leurs nouveaux patrons.
En effet, à l’exception de ce bon François Piot, qui a repris 3 agences et 5 salariés, les autres repreneurs et non des moindres, Salaün, Havas, Navitour et les autres refusent de « payer » les anciens contrats de travail de ces « repris ».
Pas question de payer le 13e mois ou autres balivernes et primes qui leur sont dues !
C’est pas glop, les gars, d’autant que ces gens, qui en ont pris plein la tronche, ne vont sûrement pas être particulièrement motivés pour la suite des événements.
Pourtant, si je ne m’abuse, lorsqu’une entreprise est vendue à une autre, les contrats de travail des salariés suivent aussi dans la corbeille et doivent être honorés par le repreneur. Il me semble que c’est la loi ?
Vous me direz, y’a pas que dans l’industrie du tourisme que l’on « ajuste » les choses. Des camarades à moi, journalistes d’un des fleurons de la presse professionnelle, vendus eux aussi à des improbables, ont vu leurs contrats anciens balayés d’un geste méprisant.
A l’encontre de la loi sur le travail et des conventions du secteur !
Décidément, les années se suivent… et se ressemblent !
Caramba... 2020 démarre fort !
En effet, à l’exception de ce bon François Piot, qui a repris 3 agences et 5 salariés, les autres repreneurs et non des moindres, Salaün, Havas, Navitour et les autres refusent de « payer » les anciens contrats de travail de ces « repris ».
Pas question de payer le 13e mois ou autres balivernes et primes qui leur sont dues !
C’est pas glop, les gars, d’autant que ces gens, qui en ont pris plein la tronche, ne vont sûrement pas être particulièrement motivés pour la suite des événements.
Pourtant, si je ne m’abuse, lorsqu’une entreprise est vendue à une autre, les contrats de travail des salariés suivent aussi dans la corbeille et doivent être honorés par le repreneur. Il me semble que c’est la loi ?
Vous me direz, y’a pas que dans l’industrie du tourisme que l’on « ajuste » les choses. Des camarades à moi, journalistes d’un des fleurons de la presse professionnelle, vendus eux aussi à des improbables, ont vu leurs contrats anciens balayés d’un geste méprisant.
A l’encontre de la loi sur le travail et des conventions du secteur !
Décidément, les années se suivent… et se ressemblent !
Caramba... 2020 démarre fort !