A travers la concurrence, logique dans cette presse pro, nous avons toujours su, les uns et les autres, garder une certaine amitié entre nous. Depositphotos.com provasilich
Que l’on se rassure, je reviendrai dans la semaine sur cette saga Thomas Cook, ces chinoas surprise de Fosun, qui, tels le dragon fulgurant, viennent d’annoncer le « rachat » de la marque Thomas Cook, pour le prix d’un bol de riz… gluant !
C’est vrai qu’il valait mieux reprendre à la casse un produit saccagé.
Encore faut-il vraiment comprendre si cette marque a encore une petite valeur, tant elle a été vilipendée au niveau mondial.
Mais bon, j’y reviendrai, particulièrement sur les conséquences possibles sur le marché français !
Non, aujourd’hui, c’est un vrai clin d’œil que j’entends envoyer à de vieux camarades… de la presse professionnelle.
Des concurrents, certes, mais également des amis, parce, comme vous dans votre secteur, nous essayons de faire notre métier le plus objectivement possible (enfin pas toujours en ce qui me concerne, mais c’est mon bon plaisir) et comme le dit mon président favori, j’ai accepté la mission !
C’est vrai qu’il valait mieux reprendre à la casse un produit saccagé.
Encore faut-il vraiment comprendre si cette marque a encore une petite valeur, tant elle a été vilipendée au niveau mondial.
Mais bon, j’y reviendrai, particulièrement sur les conséquences possibles sur le marché français !
Non, aujourd’hui, c’est un vrai clin d’œil que j’entends envoyer à de vieux camarades… de la presse professionnelle.
Des concurrents, certes, mais également des amis, parce, comme vous dans votre secteur, nous essayons de faire notre métier le plus objectivement possible (enfin pas toujours en ce qui me concerne, mais c’est mon bon plaisir) et comme le dit mon président favori, j’ai accepté la mission !
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C’est un grand salut amical que je veux adresse d’abord à mon ami Nicolas Barbery, qui œuvre depuis plus de vingt ans, avec beaucoup de succès, beaucoup de diplomatie, beaucoup de professionnalisme aux destinées de notre grand concurrent, le Quotidien du Tourisme.
En bon navigateur qu'il est, il aura toujours su garder le cap et maintenir la voilure... Parfois, hélas, la tempête se lève!
Comme l’homme est pudique, il a préféré s’en aller sur la pointe des pieds. Modestement, comme il l’a toujours fait.
Je ne pouvais pas le laisser partir ainsi. Après tout, nous avons, pour faire un tout petit peu d’histoire, travaillé pendant quelques années ensemble, sur ce grand média de la presse professionnelle, créé par mon vieux mentor à moi que j’ai, Pierre Doulcet.
En bon navigateur qu'il est, il aura toujours su garder le cap et maintenir la voilure... Parfois, hélas, la tempête se lève!
Comme l’homme est pudique, il a préféré s’en aller sur la pointe des pieds. Modestement, comme il l’a toujours fait.
Je ne pouvais pas le laisser partir ainsi. Après tout, nous avons, pour faire un tout petit peu d’histoire, travaillé pendant quelques années ensemble, sur ce grand média de la presse professionnelle, créé par mon vieux mentor à moi que j’ai, Pierre Doulcet.
Nous y sommes d’ailleurs entrés ensemble, un beau jour du mois de mai de l’année 1900 et des poussières, plein d’espoirs, d’envie d’informer et de surtout vous donner les nouvelles aptes à vous aider dans votre boulot.
Je suis parti vers d’autres destinées, Nicolas est resté et a fini, après avoir avalé pas mal de couleuvres, à prendre la rédaction en chef de « son » journal !
Avec le succès qu’on lui connait. Il nous a parfois énervé, nous à la rédac de TourMaG, en sortant quelques affaires que nous n’avions pas eu… à temps.
Certes, nous lui avons rendu la pareille. Mais, à travers la concurrence, logique dans cette presse pro, nous avons toujours su, les uns et les autres, gardé une certaine amitié entre nous.
Comme vous le savez, ce Quotidien est passé en d’autres mains. La rédaction, hélas, se vide petit à petit et je suis triste de voir mes amis partir. Nous ne participerons plus, ensemble, à tous ces congrès, ces voyages, ces conférences où, parfois, nous échangions nos informations dans un climat très confraternel.
Parce que même si la concurrence était et reste très dure, nous avions cet envie de vous informer… Chacun selon notre style bien sûr.
Vous allez me manquer, les gars, Mathieu bien sûr et aussi mon autre pote, mon copain Laurent qui, lui aussi, largue les amarres de ce navire qui semble doucement dériver...vers d’autres contrées ? Je ne sais pas !
Je vous souhaite sincèrement, et je pense que la rédaction de TourMaG m’approuvera, tout le succès possible dans vos nouvelles aventures…. Mais perso, vous allez me manquer et je crois que vous allez manquer à toute cette famille du tourisme en France !
Mais, comme on dit dans les bonnes maisons, ce n’est qu’un au revoir !
Toute la Rédaction de TourMaG.com et Jean da Luz en particulier (lui aussi ancien du Quotidien), se joint à moi pour vous souhaiter bon vent les gars.
Je suis parti vers d’autres destinées, Nicolas est resté et a fini, après avoir avalé pas mal de couleuvres, à prendre la rédaction en chef de « son » journal !
Avec le succès qu’on lui connait. Il nous a parfois énervé, nous à la rédac de TourMaG, en sortant quelques affaires que nous n’avions pas eu… à temps.
Certes, nous lui avons rendu la pareille. Mais, à travers la concurrence, logique dans cette presse pro, nous avons toujours su, les uns et les autres, gardé une certaine amitié entre nous.
Comme vous le savez, ce Quotidien est passé en d’autres mains. La rédaction, hélas, se vide petit à petit et je suis triste de voir mes amis partir. Nous ne participerons plus, ensemble, à tous ces congrès, ces voyages, ces conférences où, parfois, nous échangions nos informations dans un climat très confraternel.
Parce que même si la concurrence était et reste très dure, nous avions cet envie de vous informer… Chacun selon notre style bien sûr.
Vous allez me manquer, les gars, Mathieu bien sûr et aussi mon autre pote, mon copain Laurent qui, lui aussi, largue les amarres de ce navire qui semble doucement dériver...vers d’autres contrées ? Je ne sais pas !
Je vous souhaite sincèrement, et je pense que la rédaction de TourMaG m’approuvera, tout le succès possible dans vos nouvelles aventures…. Mais perso, vous allez me manquer et je crois que vous allez manquer à toute cette famille du tourisme en France !
Mais, comme on dit dans les bonnes maisons, ce n’est qu’un au revoir !
Toute la Rédaction de TourMaG.com et Jean da Luz en particulier (lui aussi ancien du Quotidien), se joint à moi pour vous souhaiter bon vent les gars.