L'Oncle Dom : "En espérant tous vous revoir dès le 6 janvier prochain, je vous souhaite un vrai Joyeux Noël, plein de bonheurs, petits et grands… Et de paix !" - DR : DepositPhotos, gunnar3000
Malaise que j’ai particulièrement ressenti, un malaise sournois, furtif mais terriblement présent.
Je veux parler de cette violence latente qui s’insinue chaque jour un peu plus dans notre vie.
Violence physique notamment, laquelle a tendance à s’exacerber pour le moindre prétexte. Il suffit de tenter de circuler actuellement dans la capitale pour la constater au moindre carrefour…
Fortuitement, durant l’intervention de Nicolas Sarkozy au congrès Selectour à Jérusalem, interrogé par mon camarade Izenic à ce sujet, l’ancien Président avait répondu que « cette violence était la violence d’un peuple (nous) qui ne voulait pas décliner… »
J’ai bien peur qu’il ait raison, tant je suis sidéré par l’inconséquence et souvent la bêtise qui pollue aussi notre vie quotidienne.
Parce que c’est vrai, la pollution est partout, même dans cette vallée de Savoie où un improbable préfet a décidé d’interdire les feux de cheminée.
L’avion, la voiture, les bateaux et maintenant le feu dans la cheminée… Décadons les gars, décadons !
Je veux parler de cette violence latente qui s’insinue chaque jour un peu plus dans notre vie.
Violence physique notamment, laquelle a tendance à s’exacerber pour le moindre prétexte. Il suffit de tenter de circuler actuellement dans la capitale pour la constater au moindre carrefour…
Fortuitement, durant l’intervention de Nicolas Sarkozy au congrès Selectour à Jérusalem, interrogé par mon camarade Izenic à ce sujet, l’ancien Président avait répondu que « cette violence était la violence d’un peuple (nous) qui ne voulait pas décliner… »
J’ai bien peur qu’il ait raison, tant je suis sidéré par l’inconséquence et souvent la bêtise qui pollue aussi notre vie quotidienne.
Parce que c’est vrai, la pollution est partout, même dans cette vallée de Savoie où un improbable préfet a décidé d’interdire les feux de cheminée.
L’avion, la voiture, les bateaux et maintenant le feu dans la cheminée… Décadons les gars, décadons !
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Et puis il y a une autre violence, encore plus imbécile, un peu plus nocive, un peu plus dangereuse et qui, à terme, court certainement, finira par nous faire définitivement décader.
Je parle de cette violence verbale et accessoirement épistolaire, à laquelle je suis confronté quasi quotidiennement.
Vous les connaissez tous, ces commentateurs haineux, mesquins, souvent manipulés, qui balancent au pied de ma Case ou ailleurs, celles de mes petits camarades.
Lâches et veules ils sont, ces refoulés aigris, protégés par un anonymat qui les rend tellement puissants et destructeurs.
Perso, il m’arrive (mais qui est parfait ?), de me tromper. Un commentaire haineux n’arrangera rien et surtout ne m’émeut pas une seconde.
Pour paraphraser ce bon vieux Chirac, « ça m’en touche une sans faire bouger l’autre » et je m’en tape à un point que vous ne pouvez pas imaginer.
En revanche, et là c’est absolument intolérable, ce sont ces commentaires raciste, antisémites, bavotant, ignobles et toujours anonymes que nous avons vu passer. Et parfois, faute d’inattention, publiés l’espace de quelques heures.
C’est un peu, pour nous, la rançon du succès, grâce à notre audience dont vous êtes, vous, les acteurs. Heureusement d’ailleurs que vous êtes rares à sombrer dans ce genre de débilité.
Je parle de cette violence verbale et accessoirement épistolaire, à laquelle je suis confronté quasi quotidiennement.
Vous les connaissez tous, ces commentateurs haineux, mesquins, souvent manipulés, qui balancent au pied de ma Case ou ailleurs, celles de mes petits camarades.
Lâches et veules ils sont, ces refoulés aigris, protégés par un anonymat qui les rend tellement puissants et destructeurs.
Perso, il m’arrive (mais qui est parfait ?), de me tromper. Un commentaire haineux n’arrangera rien et surtout ne m’émeut pas une seconde.
Pour paraphraser ce bon vieux Chirac, « ça m’en touche une sans faire bouger l’autre » et je m’en tape à un point que vous ne pouvez pas imaginer.
En revanche, et là c’est absolument intolérable, ce sont ces commentaires raciste, antisémites, bavotant, ignobles et toujours anonymes que nous avons vu passer. Et parfois, faute d’inattention, publiés l’espace de quelques heures.
C’est un peu, pour nous, la rançon du succès, grâce à notre audience dont vous êtes, vous, les acteurs. Heureusement d’ailleurs que vous êtes rares à sombrer dans ce genre de débilité.
Dominique Gobert - DR
Mais, en ce qui me concerne, je ne peux plus le supporter, par respect justement envers les sujets, humains ou d’entreprises que je traite.
Malgré mon grand sens de la démocratie, nous avons décidé de ré-hausser notre niveau de vigilance et de resserrer les mailles du filet sur certains commentateurs qui ont dépassé les bornes et par conséquent, ne connaissent plus de limites.
Ceux-là se reconnaîtront et hurleront à la censure. Tant pis ! Leur liberté s'arrêtera là où commence la votre...
Voilà, c’est dit. Et cela a été encore cette année, un grand plaisir de vous écouter me lire chaque matin ou presque.
En espérant tous vous revoir (moins ceux dont j’ai parlé plus haut) dès le 6 janvier prochain, je vous souhaite un vrai Joyeux Noël, plein de bonheurs, petits et grands…
Et de paix !
Malgré mon grand sens de la démocratie, nous avons décidé de ré-hausser notre niveau de vigilance et de resserrer les mailles du filet sur certains commentateurs qui ont dépassé les bornes et par conséquent, ne connaissent plus de limites.
Ceux-là se reconnaîtront et hurleront à la censure. Tant pis ! Leur liberté s'arrêtera là où commence la votre...
Voilà, c’est dit. Et cela a été encore cette année, un grand plaisir de vous écouter me lire chaque matin ou presque.
En espérant tous vous revoir (moins ceux dont j’ai parlé plus haut) dès le 6 janvier prochain, je vous souhaite un vrai Joyeux Noël, plein de bonheurs, petits et grands…
Et de paix !