Ce lundi matin, Météo France plaçait 7 départements en alerte canicule : l’Ain, les Alpes-de-Haute-Provence, les Alpes-Maritimes, l’Isère, la Loire, le Rhône et le Var.
La Loire a rejoint la liste des happy few ce dimanche, puis les Alpes-de-Haute-Provence et le Var lundi matin - les 4 autres étaient déjà en vigilance orange.
Météo France place aussi 25 départements en vigilance jaune, suivant une ligne est / sud-est. Un billet publié à 16h aujourd'hui sur leur site indiquait des maximales « en hausse sur paca avec des valeurs de 37 à 40 degrés. il fera encore très chaud également sur rhône-alpes avec 35 à 38 degrés.
Pour la nuit de lundi à mardi, les températures ne descendront pas en dessous de 20 degrés sur toutes ces régions et même 22 à 24 degrés près de la méditerranée.
Ensuite, pour la journée de mardi, les maximales seront en baisse vers la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur, 34 à 37 degrés, mais en hausse parfois vers Rhône-Alpes où des pointes de 39 degrés sont attendues.
Les températures devraient baisser mercredi. »
Si l'on en croit un tweet récent de l'agence, de « violents orages sont attendus à partir de mardi mi-journée, repoussant la chaleur vers un quart sud-est mercredi. »
La Loire a rejoint la liste des happy few ce dimanche, puis les Alpes-de-Haute-Provence et le Var lundi matin - les 4 autres étaient déjà en vigilance orange.
Météo France place aussi 25 départements en vigilance jaune, suivant une ligne est / sud-est. Un billet publié à 16h aujourd'hui sur leur site indiquait des maximales « en hausse sur paca avec des valeurs de 37 à 40 degrés. il fera encore très chaud également sur rhône-alpes avec 35 à 38 degrés.
Pour la nuit de lundi à mardi, les températures ne descendront pas en dessous de 20 degrés sur toutes ces régions et même 22 à 24 degrés près de la méditerranée.
Ensuite, pour la journée de mardi, les maximales seront en baisse vers la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur, 34 à 37 degrés, mais en hausse parfois vers Rhône-Alpes où des pointes de 39 degrés sont attendues.
Les températures devraient baisser mercredi. »
Si l'on en croit un tweet récent de l'agence, de « violents orages sont attendus à partir de mardi mi-journée, repoussant la chaleur vers un quart sud-est mercredi. »
🌡️Épisode de forte #chaleur en cours qui se renforce demain dans un quart nord-est. Suivez la #VigilanceOrange #canicule🌡️
— VigiMétéoFrance (@VigiMeteoFrance) July 10, 2023
⛈️Violents #orages attendus à partir de mardi mi-journée repoussant la chaleur vers un quart sud-est mercredi.⛈️
Restez informés➡️https://t.co/JGz4rTUvHP pic.twitter.com/AmrohM5YVO
Crise climatique : 2023, l'été le plus chaud jamais enregistré
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Une situation qui ne touche pas que la France, loin s'en faut.
Copernicus (observatoire européen du changement climatique) l'affirmait ce jeudi 7 juillet, parlant d'un mois de juin comme le plus chaud jamais enregistré, notamment de l'effet cumulé de la crise climatique et du phénomène météorologique El Niño.
Lire aussi : El Niño : la transition écoresponsable, c'est maintenant !
« Le mois de juin a été le plus chaud au niveau mondial, un peu plus de 0,5 degré Celsius au-dessus de la moyenne 1991-2020, dépassant de loin le précédent record de juin 2019 » indiquait l’observatoire.
Un record largement dû, semble-t-il, à des températures très élevées de la surface de l'océan.
Au niveau mondial, la première semaine de juillet a été particulièrement chaude et surtout lundi et mardi qui ont successivement battu le triste record de chaleur mondiale, avec une température moyenne de 17,18°C mardi, sur l'ensemble du globe.
En marge d’un point presse ce jeudi 6 juillet, Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU s'inquiétait de la situation : « Si nous continuons à retarder les mesures essentielles qui s’imposent, je pense que nous nous dirigeons vers une situation catastrophique, comme le montrent les deux derniers records de température » ajoutant que, selon lui « la situation actuelle est la preuve que le changement climatique est hors de contrôle. ».
Copernicus (observatoire européen du changement climatique) l'affirmait ce jeudi 7 juillet, parlant d'un mois de juin comme le plus chaud jamais enregistré, notamment de l'effet cumulé de la crise climatique et du phénomène météorologique El Niño.
Lire aussi : El Niño : la transition écoresponsable, c'est maintenant !
« Le mois de juin a été le plus chaud au niveau mondial, un peu plus de 0,5 degré Celsius au-dessus de la moyenne 1991-2020, dépassant de loin le précédent record de juin 2019 » indiquait l’observatoire.
Un record largement dû, semble-t-il, à des températures très élevées de la surface de l'océan.
Au niveau mondial, la première semaine de juillet a été particulièrement chaude et surtout lundi et mardi qui ont successivement battu le triste record de chaleur mondiale, avec une température moyenne de 17,18°C mardi, sur l'ensemble du globe.
En marge d’un point presse ce jeudi 6 juillet, Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU s'inquiétait de la situation : « Si nous continuons à retarder les mesures essentielles qui s’imposent, je pense que nous nous dirigeons vers une situation catastrophique, comme le montrent les deux derniers records de température » ajoutant que, selon lui « la situation actuelle est la preuve que le changement climatique est hors de contrôle. ».
This week, the world broke the daily temperature record.
— António Guterres (@antonioguterres) July 7, 2023
This is yet another demonstration that climate change is out of control and one reason more for increased #ClimateAction ambition and justice. pic.twitter.com/YLlolsZMEy
Publié par Juliette Pic
Spécialiste rubrique Voyages Responsables - TourMaG.com
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