Après 820 000 touristes en 2004, le Sénégal devrait terminer l’année 2005 en atteignant les 900 000 touristes, dont 50% provenant de la France.
Après 820 000 touristes en 2004, le Sénégal devrait terminer l’année 2005 en atteignant les 900 000 touristes, dont 50% provenant de la France. Et le Sénégal a de l’ambition. Objectif : passer le cap des 1,5 millions en 2010.
Pour parvenir à cet objectif, Ousman Massek N’Diaye, nouveau ministre du tourisme du Sénégal, fait feu de tout bois. Les autorités sénégalaises ont d’abord décidé d’opérer d’importants changements sur le plan institutionnel avec la création d’une toute nouvelle Agence nationale de promotion touristique.
Le gouvernement sénégalais a ensuite décidé d’instaurer une nouvelle réglementation pour les hôtels mais aussi pour encadrer le travail des guides. Et le gouvernement entend définir un plan précis d’aménagement de nouvelles zones touristiques.
Sur le marché français, principal marché émetteur avec 5°% des arrivées, le Sénégal devrait établir dès l’année prochaine un office du tourisme à Paris qui remplacera le bureau du tourisme du Sénégal actuellement rattaché aux services de l’Ambassade.
En terme d’offre touristique proprement dite, le ministre du tourisme souhaite sortir le Sénégal de son image uniquement balnéaire en mettant en avant ses autres atouts. La ville de Saint-Louis figure notamment au cœur des espoirs sénégalais. La ville inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco s’apprête à inaugurer un nouveau musée dédiée à l’aventure de l’aéropostale.
Le « Bou El Mogdad », bateau de 27 cabines entièrement rénové, va également reprendre du service à compter d’octobre prochain et accueillir de nouveau des touristes pour des croisières vers les villages traditionnels wolofs et les anciens comptoirs coloniaux. D’ici un mois, Air Sénégal aura de son côté lancé un second vol hebdomadaire entre Paris et Saint-Louis.
Autre région sur le devant de la scène : la Casamance. « Elle constitue aujourd’hui 17% des arrivées et nous assistons à une affirmation de sa renaissance », commente le ministre du tourisme.
Ousman Massek N’Diaye entend également favoriser le développement de nouveaux produits écotouristiques, à la découverte des 6 parcs naturels du pays, dont 2 sont d’ailleurs classées par l’Unesco.
Enfin, les autorités sénégalaises veulent favoriser la montée en gamme du tourisme balnéaire avec le développement de thématiques particulières, de la pêche sportive au golf en passant par la plongée sous marine. Leitmotiv pour le ministre du tourisme sénégalais : « diversifier les produits pour toucher de nouveaux marchés !»
Pour parvenir à cet objectif, Ousman Massek N’Diaye, nouveau ministre du tourisme du Sénégal, fait feu de tout bois. Les autorités sénégalaises ont d’abord décidé d’opérer d’importants changements sur le plan institutionnel avec la création d’une toute nouvelle Agence nationale de promotion touristique.
Le gouvernement sénégalais a ensuite décidé d’instaurer une nouvelle réglementation pour les hôtels mais aussi pour encadrer le travail des guides. Et le gouvernement entend définir un plan précis d’aménagement de nouvelles zones touristiques.
Sur le marché français, principal marché émetteur avec 5°% des arrivées, le Sénégal devrait établir dès l’année prochaine un office du tourisme à Paris qui remplacera le bureau du tourisme du Sénégal actuellement rattaché aux services de l’Ambassade.
En terme d’offre touristique proprement dite, le ministre du tourisme souhaite sortir le Sénégal de son image uniquement balnéaire en mettant en avant ses autres atouts. La ville de Saint-Louis figure notamment au cœur des espoirs sénégalais. La ville inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco s’apprête à inaugurer un nouveau musée dédiée à l’aventure de l’aéropostale.
Le « Bou El Mogdad », bateau de 27 cabines entièrement rénové, va également reprendre du service à compter d’octobre prochain et accueillir de nouveau des touristes pour des croisières vers les villages traditionnels wolofs et les anciens comptoirs coloniaux. D’ici un mois, Air Sénégal aura de son côté lancé un second vol hebdomadaire entre Paris et Saint-Louis.
Autre région sur le devant de la scène : la Casamance. « Elle constitue aujourd’hui 17% des arrivées et nous assistons à une affirmation de sa renaissance », commente le ministre du tourisme.
Ousman Massek N’Diaye entend également favoriser le développement de nouveaux produits écotouristiques, à la découverte des 6 parcs naturels du pays, dont 2 sont d’ailleurs classées par l’Unesco.
Enfin, les autorités sénégalaises veulent favoriser la montée en gamme du tourisme balnéaire avec le développement de thématiques particulières, de la pêche sportive au golf en passant par la plongée sous marine. Leitmotiv pour le ministre du tourisme sénégalais : « diversifier les produits pour toucher de nouveaux marchés !»