En réaction à l'utilisation de l'expression « Tourisme Social » dans des articles qui traitent du récent arrêt de la Cour de justice européenne, l'UNAT (Union Nationale des Associations de Tourisme) dénonce une "maladresse médiatique".
L'organisation estime, dans un communiqué, que son emploi et abusif et inadapté et "relève d'une grande confusion".
Dans un premier temps, elle conteste l'usage du terme « Tourisme » qui, selon elle, ne correspond nullement au sujet traité par la Cour de justice européenne. Celle-ci y parle des Etats membres de l'Union européenne (UE) qui ne sont pas tenus d'octroyer des prestations sociales aux citoyens d'autres États membres qui y viennent afin de bénéficier de l'aide sociale.
"De plus, le « Tourisme Social » en France, est le fruit de combats d'hommes et de femmes, d'engagements d’institutions, de collectivités, de syndicats, de comités d'entreprises, d'associations et de multiples organisations qui, par leurs actions, promeuvent le droit et l'accès aux vacances pour tous", poursuit l'UNAT.
Elle demande à ce que l'histoire du Tourisme Social ne soit "pas associé à des sujets qui ne sont absolument pas de son ressort."
L'organisation estime, dans un communiqué, que son emploi et abusif et inadapté et "relève d'une grande confusion".
Dans un premier temps, elle conteste l'usage du terme « Tourisme » qui, selon elle, ne correspond nullement au sujet traité par la Cour de justice européenne. Celle-ci y parle des Etats membres de l'Union européenne (UE) qui ne sont pas tenus d'octroyer des prestations sociales aux citoyens d'autres États membres qui y viennent afin de bénéficier de l'aide sociale.
"De plus, le « Tourisme Social » en France, est le fruit de combats d'hommes et de femmes, d'engagements d’institutions, de collectivités, de syndicats, de comités d'entreprises, d'associations et de multiples organisations qui, par leurs actions, promeuvent le droit et l'accès aux vacances pour tous", poursuit l'UNAT.
Elle demande à ce que l'histoire du Tourisme Social ne soit "pas associé à des sujets qui ne sont absolument pas de son ressort."
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