
Ce portail est surtout connu en France pour ses pages shopping. Il apparaît en effet dans les cinq premières positions d’une recherche Google pour acheter un frigo, une cafetière, ou un téléphone.
Avec 8 milliards d’euros générés en 2009, le marché de l’e-tourisme n’en fini pas d’attirer les convoitises.
Dernier en date, le comparateur Kelkoo, qui va lancer dans les prochaines semaines un site dédié aux voyages.
Ce portail est surtout connu en France pour ses pages shopping. Il apparaît en effet dans les cinq premières positions d’une recherche Google pour acheter un frigo, une cafetière, ou un téléphone.
Mais concernant le voyage, même si l’onglet dédié existe depuis une dizaine d’années, les résultats sont moins probants. Kelkoo se trouve loin derrière les leaders du marché.
Mais qu’importe, le groupe y croit et vient d’investir 2 millions d’euros pour se développer sur dix pays européens. Après l’Angleterre, la France sera le second marché à bénéficier d’un site Kelkoo Voyages.
Le moteur de recherche d’hôtels sera le premier en ligne d’ici deux semaines. Une page simple à l’ergonomie assez claire, avec une fonction grouping pour comparer le prix des établissements chez 13 partenaires, dont Booking, HRS et Hotelclub.
Dans moins de deux mois, ce sera au tour de la partie billets d'avion. La version française compte 11 marchands, comme Opodo, Go Voyage, qui compareront les offres d'une centaine de compagnies. La location de voiture, les séjours ainsi qu’un guide de 50 destination ne seront pas opérationnels avant 2012.
Dernier en date, le comparateur Kelkoo, qui va lancer dans les prochaines semaines un site dédié aux voyages.
Ce portail est surtout connu en France pour ses pages shopping. Il apparaît en effet dans les cinq premières positions d’une recherche Google pour acheter un frigo, une cafetière, ou un téléphone.
Mais concernant le voyage, même si l’onglet dédié existe depuis une dizaine d’années, les résultats sont moins probants. Kelkoo se trouve loin derrière les leaders du marché.
Mais qu’importe, le groupe y croit et vient d’investir 2 millions d’euros pour se développer sur dix pays européens. Après l’Angleterre, la France sera le second marché à bénéficier d’un site Kelkoo Voyages.
Le moteur de recherche d’hôtels sera le premier en ligne d’ici deux semaines. Une page simple à l’ergonomie assez claire, avec une fonction grouping pour comparer le prix des établissements chez 13 partenaires, dont Booking, HRS et Hotelclub.
Dans moins de deux mois, ce sera au tour de la partie billets d'avion. La version française compte 11 marchands, comme Opodo, Go Voyage, qui compareront les offres d'une centaine de compagnies. La location de voiture, les séjours ainsi qu’un guide de 50 destination ne seront pas opérationnels avant 2012.
Pas de grandes innovations
Toutes ces fonctionnalisées promises dans le futur portail ressemblent à ce qui existe déjà sur le marché. « C'est une première version » explique Priscille Priou-Ford, la responsable commerciale voyages de Kelkoo. « Notre projet est évolutif, nous allons l’améliorer au fur et à mesure ».
Le groupe compte plutôt capitaliser sur la notoriété de sa marque et sur son trafic : 5 millions de visiteurs uniques, dont 1,5 millions pour l’onglet voyage.
« Notre seul vrai concurrent est Easy Voyages. Les autres sites, nous les considérons plutôt comme des partenaires » assure Chris Nixon, le managing directeur.
« Nous souhaitons drainer un trafic qualitatif avec un fort taux de conversion pour attirer encore plus de professionnels » poursuit-il. Il réfléchit également au développement d’un site B2B pour 2012, mais rien n’est encore décidé.
Le groupe compte plutôt capitaliser sur la notoriété de sa marque et sur son trafic : 5 millions de visiteurs uniques, dont 1,5 millions pour l’onglet voyage.
« Notre seul vrai concurrent est Easy Voyages. Les autres sites, nous les considérons plutôt comme des partenaires » assure Chris Nixon, le managing directeur.
« Nous souhaitons drainer un trafic qualitatif avec un fort taux de conversion pour attirer encore plus de professionnels » poursuit-il. Il réfléchit également au développement d’un site B2B pour 2012, mais rien n’est encore décidé.