Selon ses résultats du 2e trimestre 2012, dévoilés ce jeudi 14 juin 2012, Transat A.T enregistre une perte nette de 13,2 millions de dollars canadiens (10,2 millions d'euros). A titre de comparaison, le groupe affichait un bénéfice de 8,7 millions de dollars canadiens (6,7 millions d'euros) à la même période un an plus tôt.
De plus, après impôts, le déficit s'élève même à 24,5 millions de dollars canadiens (19 millions d'euros).
Si ses revenus ont progressé de 111,3 millions de dollars canadiens (86,2 millions d'euros) au cours du 2e trimestre 2012, la société fait état d'une perte d'exploitation de 26,2 millions de dollars canadiens (20,2 millions d'euros) sur la même période.
Transat ajoute que les revenus de ses filiales européennes ont eux aussi diminué de 7,2 millions de dollars canadiens (5,6 millions d'euros).
"En France, où c’est la basse saison, les conditions de marché ont été très difficiles pour toute l’industrie, notamment sur l’Afrique du Nord", précise le groupe dans un communiqué de presse.
De plus, après impôts, le déficit s'élève même à 24,5 millions de dollars canadiens (19 millions d'euros).
Si ses revenus ont progressé de 111,3 millions de dollars canadiens (86,2 millions d'euros) au cours du 2e trimestre 2012, la société fait état d'une perte d'exploitation de 26,2 millions de dollars canadiens (20,2 millions d'euros) sur la même période.
Transat ajoute que les revenus de ses filiales européennes ont eux aussi diminué de 7,2 millions de dollars canadiens (5,6 millions d'euros).
"En France, où c’est la basse saison, les conditions de marché ont été très difficiles pour toute l’industrie, notamment sur l’Afrique du Nord", précise le groupe dans un communiqué de presse.
Près de 15 millions d'euros de perte au 1er semestre en Europe
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Pour ce qui est du premier semestre 2012, le voyagiste indique ses revenus ont augmenté de 130,5 millions de dollars canadiens (101 millions d'euros) par rapport à la même période en 2011.
Mais sa perte d'exploitation s'établit elle à 58,1 millions de dollars canadiens (45 millions d'euros).
Des résultats que le groupe justifie par son incapacité à hausser ses prix de vente alors que ses dépenses d'exploitation (principalement le coût du carburant et les tarifs hôteliers) ont, eux, largement augmenté. Par ailleurs, le dollar canadien a vu son cours baisser face au dollar US pendant les 6 premiers mois de l'année.
Durant cette période, les revenus de ses filiales européennes ont chuté de 13,3 millions de dollars canadiens (10,3 millions d'euros). Principales causes de cette baisse : des prix de vente en diminution et des réservations moins nombreuses.
Par conséquent, en Europe, le groupe enregistre une perte d'exploitation de 19,3 millions de dollars canadiens (14,9 millions d'euros).
Elle découle "principalement de la baisse du nombre de voyageurs et de conditions de marché très difficiles en France", explique le communiqué de presse.
Si ce début 2012 est loin d'être idyllique pour le groupe canadien, ses prévisions se veulent rassurantes pour le 2e semestre 2012 en ce qui concerne ses activités dans l'Hexagone.
"En France, par rapport à l'an passé à la même date, les réservations sont légèrement en avance et les prix son semblables."
Mais sa perte d'exploitation s'établit elle à 58,1 millions de dollars canadiens (45 millions d'euros).
Des résultats que le groupe justifie par son incapacité à hausser ses prix de vente alors que ses dépenses d'exploitation (principalement le coût du carburant et les tarifs hôteliers) ont, eux, largement augmenté. Par ailleurs, le dollar canadien a vu son cours baisser face au dollar US pendant les 6 premiers mois de l'année.
Durant cette période, les revenus de ses filiales européennes ont chuté de 13,3 millions de dollars canadiens (10,3 millions d'euros). Principales causes de cette baisse : des prix de vente en diminution et des réservations moins nombreuses.
Par conséquent, en Europe, le groupe enregistre une perte d'exploitation de 19,3 millions de dollars canadiens (14,9 millions d'euros).
Elle découle "principalement de la baisse du nombre de voyageurs et de conditions de marché très difficiles en France", explique le communiqué de presse.
Si ce début 2012 est loin d'être idyllique pour le groupe canadien, ses prévisions se veulent rassurantes pour le 2e semestre 2012 en ce qui concerne ses activités dans l'Hexagone.
"En France, par rapport à l'an passé à la même date, les réservations sont légèrement en avance et les prix son semblables."