Au 3e trimestre 2012, Transat A.T. enregistre un bénéfice net de 9,4 millions de dollars canadiens (7,5 millions d'euros). Ce qui correspond à 0,25 dollars (0,20 euros) par action.
A titre de comparaison, à la même période en 2011, le tour opérateur faisait état d'une perte nette de 2,8 millions de dollars (2,2 millions d'euros), soit -0,07 dollars (0,06 euros) par action.
Par ailleurs, alors que les analystes de Bloomberg tablaient sur une perte de 6 cents (5 centimes d'euros) par action, le groupe dévoile un bénéfice ajusté de 0,28 dollars (0,22 euros) par action.
Au global, la société affiche des revenus s'élevant à 909,1 millions de dollars canadiens (722 millions d'euros) pour ce 3e trimestre 2012. Ce qui correspond à une baisse de 3% par rapport au 3e trimestre 2011.
A titre de comparaison, à la même période en 2011, le tour opérateur faisait état d'une perte nette de 2,8 millions de dollars (2,2 millions d'euros), soit -0,07 dollars (0,06 euros) par action.
Par ailleurs, alors que les analystes de Bloomberg tablaient sur une perte de 6 cents (5 centimes d'euros) par action, le groupe dévoile un bénéfice ajusté de 0,28 dollars (0,22 euros) par action.
Au global, la société affiche des revenus s'élevant à 909,1 millions de dollars canadiens (722 millions d'euros) pour ce 3e trimestre 2012. Ce qui correspond à une baisse de 3% par rapport au 3e trimestre 2011.
Trimestre beaucoup plus difficile en Europe
Du côté des filiales européennes, le chiffre d'affaires (CA) diminue de 12,3 millions de dollars (9,8 millions d'euros). Un recul qui s'explique principalement par la chute du nombre de voyageurs. Mais également par la variation du taux de change entre dollar et euro.
Elles affichent également une marge de 11 millions de dollars (8,7 millions d'euros) pour le 3e trimestre 2012. Elle s'élevait à 30,5 millions (24,2 millions d'euros) à la même période un an plus tôt.
Une baisse que le TO impute, en premier lieu, à la fin de son contrat avec Thomas Cook Airways au Royaume-Uni. Il est désormais obligé d'assumer la totalité de la capacité.
De plus, le groupe doit faire face à une vive concurrence en France. Un marché qui, par ailleurs, souffre de conditions particulièrement difficile, surtout sur l'Afrique du Nord.
Elles affichent également une marge de 11 millions de dollars (8,7 millions d'euros) pour le 3e trimestre 2012. Elle s'élevait à 30,5 millions (24,2 millions d'euros) à la même période un an plus tôt.
Une baisse que le TO impute, en premier lieu, à la fin de son contrat avec Thomas Cook Airways au Royaume-Uni. Il est désormais obligé d'assumer la totalité de la capacité.
De plus, le groupe doit faire face à une vive concurrence en France. Un marché qui, par ailleurs, souffre de conditions particulièrement difficile, surtout sur l'Afrique du Nord.