Une composante obligatoire de la vente de forfait touristique
Les ventes d'assurances voyages ne cessent d'augmenter par rapport à 2019 l'année de référence, 2022 étant une année hors norme du fait du côté obligatoire de souscrire une assurance pour voyager ne peut être prise en marqueur.
Les taux de concrétisation ont doublé sur les ventes individuelles, les assurances sur les groupes se maintiennent toujours sur des niveaux élevés, les ventes des assurances sur le Tour Opérating B to B en revanche baissent au profit des agences.
Suivant une étude révélée dernièrement par Allianz Partner (Mondial Assistance), les CSP + s'assurent de plus en plus et la tendance se vérifie quotidiennement. Seul ombre au tableau pour le consommateur, avec l'inflation très forte sur les prix des voyages, notamment sur l'aérien, les primes des assurances qui sont calculées en fonction du prix du forfait ou du vol augmentent aussi de facto.
On note aussi la volonté des clients qui demandent à leurs agences d'avoir un produit complet, pour ne pas être surpris par un nouvel événement qui pourrait survenir : épidémie, catastrophe naturelle etc...
Les prix des primes deviennent aussi un enjeu, car les clients n'hésitent plus à rechercher en direct et à souscrire en ligne des assurances si le produit proposé par l'agence est trop cher ou n'est pas adapté en terme de couvertures.
Rappel de l'étude et principaux points à retenir
En France, 78 % des personnes interrogées considèrent le pouvoir d’achat et le coût du voyage comme principal critère à prendre en compte pour organiser les vacances cette année. En effet, parmi les solutions envisagées, 36 % pensent à des voyages de plus courte durée.
Les Français cherchent également dans leurs destinations de la tranquillité d’esprit et prennent de plus en plus en compte des critères de sérénité :
- Pour 68 %, l’accès à des soins ou à un système de santé en cas d’urgence
- Pour 62 %, la possibilité de trouver un autre logement en cas d’annulation
- Pour 58 %, la possibilité de trouver facilement une alternative de transport en cas d’annulation
La confiance dans la capacité à partir en vacances plus tard en 2023 est élevée dans toutes les tranches d'âge. Les plus confiants sont les 25-34 ans, qui ont exprimé à 78 % leur confiance dans leur capacité à voyager. En revanche, si les plus de 50 ans sont moins confiants, 73 % d’entre eux s’attendent tout de même à voyager en 2023.
L'étude met également en lumière les différences d'opinion entre les voyageurs plus jeunes et plus âgés concernant les préoccupations climatiques. Dans l'ensemble, 28 % des Européens déclarent qu'ils sont susceptibles de modifier leurs projets de vacances d'hiver en raison de la crise climatique actuelle. Cependant, 40 % des moins de 35 ans déclarent qu'ils sont susceptibles de modifier leurs projets de voyage en raison des préoccupations climatiques, par exemple en changeant de destination ou en réduisant le budget ou la durée de leur voyage ; en revanche, seuls 31 % des 35-49 ans partagent ce point de vue. Chez les plus de 50 ans, ce chiffre tombe à 16 % seulement, qui déclarent qu'ils prendront probablement des mesures similaires.
Méthode utilisée par Allianz Partner
Étude réalisée auprès d'un échantillon de 9 337 personnes, en France (1 033), en Allemagne (1 039), au Royaume-Uni (1 047), en Italie (1 047), en Espagne (1 047), aux Pays-Bas (1 027), en Autriche (1 014), en Suisse (1 036) et en Pologne (1 047). Les échantillons ont été constitués selon la méthode des quotas en ce qui concerne le sexe, l'âge et la région de résidence. Les entretiens ont été réalisés entre le 3 et le 10 janvier 2023.
Allianz Partner est présent via ses filiales et sous ses marques Allianz Travel, Allianz Assistance, Mondial Assistance dans 75 pays et traite 58 millions de dossiers chaque année.
Les taux de concrétisation ont doublé sur les ventes individuelles, les assurances sur les groupes se maintiennent toujours sur des niveaux élevés, les ventes des assurances sur le Tour Opérating B to B en revanche baissent au profit des agences.
Suivant une étude révélée dernièrement par Allianz Partner (Mondial Assistance), les CSP + s'assurent de plus en plus et la tendance se vérifie quotidiennement. Seul ombre au tableau pour le consommateur, avec l'inflation très forte sur les prix des voyages, notamment sur l'aérien, les primes des assurances qui sont calculées en fonction du prix du forfait ou du vol augmentent aussi de facto.
On note aussi la volonté des clients qui demandent à leurs agences d'avoir un produit complet, pour ne pas être surpris par un nouvel événement qui pourrait survenir : épidémie, catastrophe naturelle etc...
Les prix des primes deviennent aussi un enjeu, car les clients n'hésitent plus à rechercher en direct et à souscrire en ligne des assurances si le produit proposé par l'agence est trop cher ou n'est pas adapté en terme de couvertures.
Rappel de l'étude et principaux points à retenir
En France, 78 % des personnes interrogées considèrent le pouvoir d’achat et le coût du voyage comme principal critère à prendre en compte pour organiser les vacances cette année. En effet, parmi les solutions envisagées, 36 % pensent à des voyages de plus courte durée.
Les Français cherchent également dans leurs destinations de la tranquillité d’esprit et prennent de plus en plus en compte des critères de sérénité :
- Pour 68 %, l’accès à des soins ou à un système de santé en cas d’urgence
- Pour 62 %, la possibilité de trouver un autre logement en cas d’annulation
- Pour 58 %, la possibilité de trouver facilement une alternative de transport en cas d’annulation
La confiance dans la capacité à partir en vacances plus tard en 2023 est élevée dans toutes les tranches d'âge. Les plus confiants sont les 25-34 ans, qui ont exprimé à 78 % leur confiance dans leur capacité à voyager. En revanche, si les plus de 50 ans sont moins confiants, 73 % d’entre eux s’attendent tout de même à voyager en 2023.
L'étude met également en lumière les différences d'opinion entre les voyageurs plus jeunes et plus âgés concernant les préoccupations climatiques. Dans l'ensemble, 28 % des Européens déclarent qu'ils sont susceptibles de modifier leurs projets de vacances d'hiver en raison de la crise climatique actuelle. Cependant, 40 % des moins de 35 ans déclarent qu'ils sont susceptibles de modifier leurs projets de voyage en raison des préoccupations climatiques, par exemple en changeant de destination ou en réduisant le budget ou la durée de leur voyage ; en revanche, seuls 31 % des 35-49 ans partagent ce point de vue. Chez les plus de 50 ans, ce chiffre tombe à 16 % seulement, qui déclarent qu'ils prendront probablement des mesures similaires.
Méthode utilisée par Allianz Partner
Étude réalisée auprès d'un échantillon de 9 337 personnes, en France (1 033), en Allemagne (1 039), au Royaume-Uni (1 047), en Italie (1 047), en Espagne (1 047), aux Pays-Bas (1 027), en Autriche (1 014), en Suisse (1 036) et en Pologne (1 047). Les échantillons ont été constitués selon la méthode des quotas en ce qui concerne le sexe, l'âge et la région de résidence. Les entretiens ont été réalisés entre le 3 et le 10 janvier 2023.
Allianz Partner est présent via ses filiales et sous ses marques Allianz Travel, Allianz Assistance, Mondial Assistance dans 75 pays et traite 58 millions de dossiers chaque année.
Les cartes bancaires toujours pas à la hauteur
Durant l'année 2022, où il était obligatoire d'avoir une assurance pour voyager, les cartes bancaires ont brillé par leur absence de garanties en matière d'annulation pour motif COVID:
- non prise en charge des tests positifs
- non prise en charge des quarantaines
Beaucoup de consommateurs se retrouvant être leur propre assureur en perdant la valeur de leur voyage ou devant payer leur quarantaine ont compris l'importance de souscrire, dorénavant, une assurance voyage adaptée,"car hier c'était le covid, demain cela peut être une nouvelle épidémie ou une grève ou un événement que nous n'avons pas encore imaginé"...Selon un client d'agence.
Les cartes bancaires restent un produit d'appoint mais ne peuvent être le "principal" dans la couverture du risque d'un forfait touristique ou d'un billet d'avion : pour cela je vous invite à consulter cet article
Le traumatisme de la crise sanitaire a fait prendre conscience des valeurs du produit assurance voyage à savoir une valeur d'argent. Cela a permis de rembourser les voyages suite à un test positif par exemple, valeur de marge pour les agences de voyages et aujourd'hui en période d'inflation valeur de pouvoir d'achat pour les vendeurs qui récupèrent des incentives sur leurs ventes.
- non prise en charge des tests positifs
- non prise en charge des quarantaines
Beaucoup de consommateurs se retrouvant être leur propre assureur en perdant la valeur de leur voyage ou devant payer leur quarantaine ont compris l'importance de souscrire, dorénavant, une assurance voyage adaptée,"car hier c'était le covid, demain cela peut être une nouvelle épidémie ou une grève ou un événement que nous n'avons pas encore imaginé"...Selon un client d'agence.
Les cartes bancaires restent un produit d'appoint mais ne peuvent être le "principal" dans la couverture du risque d'un forfait touristique ou d'un billet d'avion : pour cela je vous invite à consulter cet article
Le traumatisme de la crise sanitaire a fait prendre conscience des valeurs du produit assurance voyage à savoir une valeur d'argent. Cela a permis de rembourser les voyages suite à un test positif par exemple, valeur de marge pour les agences de voyages et aujourd'hui en période d'inflation valeur de pouvoir d'achat pour les vendeurs qui récupèrent des incentives sur leurs ventes.