"Cette motion est parfaitement justifiée, les associations n’ont absolument pas les mêmes contraintes comptables et juridiques, ni les mêmes obligations vis-à-vis des clients comme la caution, précise Janie Bousquet Jacquemin de Grand Large Voyages. C’est une concurrence déloyale vis-à-vis des agences de voyages".
"Cette révision de la loi se fait sans concertation, complète Daniel Hézard, vice-président du SNAV Côte d’Azur et directeur d’une agence à Juan les Pins. Les associations ne tiennent pas de comptabilité, ne sont pas soumises au paiement de la TVA.
"On ne peut accepter aujourd’hui une telle concurrence..."
On ne joue pas dans le même domaine et aucune autre profession n’accepterait une telle initiative. Si la loi passe, on n’aura plus comme solution que de quitter le statut société pour adopter le statut associatif avec les conséquences que cela pourrait avoir en terme d’emploi."
Solution que soutient de son côté Jean Yves Pesini de MC2-Afat Voyages à Sophia Antipolis.« On ne peut accepter aujourd’hui une telle concurrence alors que notre profession est déjà soumise à de nouveaux défis comme la suppression des commissions versées par les compagnies aériennes ou le développement direct de la vente sur Internet, témoigne de son côté Gilles Stallins de Nice Voyages (Nice et Carros).
N’oublions pas qu’aux Etats Unis le taux zéro de commission a déjà entraîne la fermeture de 25 % des agences. Nous sommes d’ailleurs le seul métier où c’est le fournisseur qui dicte ses conditions."
"Cette révision de la loi se fait sans concertation, complète Daniel Hézard, vice-président du SNAV Côte d’Azur et directeur d’une agence à Juan les Pins. Les associations ne tiennent pas de comptabilité, ne sont pas soumises au paiement de la TVA.
"On ne peut accepter aujourd’hui une telle concurrence..."
On ne joue pas dans le même domaine et aucune autre profession n’accepterait une telle initiative. Si la loi passe, on n’aura plus comme solution que de quitter le statut société pour adopter le statut associatif avec les conséquences que cela pourrait avoir en terme d’emploi."
Solution que soutient de son côté Jean Yves Pesini de MC2-Afat Voyages à Sophia Antipolis.« On ne peut accepter aujourd’hui une telle concurrence alors que notre profession est déjà soumise à de nouveaux défis comme la suppression des commissions versées par les compagnies aériennes ou le développement direct de la vente sur Internet, témoigne de son côté Gilles Stallins de Nice Voyages (Nice et Carros).
N’oublions pas qu’aux Etats Unis le taux zéro de commission a déjà entraîne la fermeture de 25 % des agences. Nous sommes d’ailleurs le seul métier où c’est le fournisseur qui dicte ses conditions."