Philippe Sangouard, directeur commercial, et Marie-Hélène Brunel, direcrice marketing de Look Voyages
Un directeur commercial heureux
Philippe Sangouard, directeur commercial de Look Voyages, a l'esprit à la fête. Comme l'Île Maurice et l'Egypte, la troisième ouverture Lookéa de l'hiver est aussi un succès. Le TO a profité de la récente ouverture de l'aéroport de Samana (nov. 2006) pour s'éloigner des plages fréquentées de Punta Cana, et découvrir une République Dominicaine méconnue, pleine de charmes et de couleurs pastel.
Dans quelques mois, d'autres ouvertures estivales vont conforter son implantation en Espagne, notamment aux Canaries et à Ibiza, en Tunisie, en Turquie, et en Croatie, la belle surprise des ventes de l'été dernier. L'objectif annoncé est d'atteindre les 50 clubs en 2010.
Lookéa, une vedette pas solitaire
Le retour aux bénéfices après 4 années difficiles tient sans doute à la promotion du produit vedette du TO. Positionné clairement 3 ou 4 étoiles « all inclusive », avec animations spécifiques et clubs enfants, le Lookéa séduit une clientèle diversifiée.
Les vacances scolaires font le plein de familles – la réduction de 30% pour l'enfant avec ses deux, ou un seul parent, est aussi applicable en ces périodes, une exclusivité Look. Le rapport qualité-prix plutôt fiable attire aussi des vacanciers qui s'informent à de multiples sources.
« Le développement de nos ventes par une distribution multicanaux avec un prix unique quel que soit le diffuseur, était une promesse d'Olivier Kervella, notre DG, à son arrivée, et elle a été respectée », déclare Philippe Sangouard qui attribue le redressement des ventes à cette clarté.
Philippe Sangouard, directeur commercial de Look Voyages, a l'esprit à la fête. Comme l'Île Maurice et l'Egypte, la troisième ouverture Lookéa de l'hiver est aussi un succès. Le TO a profité de la récente ouverture de l'aéroport de Samana (nov. 2006) pour s'éloigner des plages fréquentées de Punta Cana, et découvrir une République Dominicaine méconnue, pleine de charmes et de couleurs pastel.
Dans quelques mois, d'autres ouvertures estivales vont conforter son implantation en Espagne, notamment aux Canaries et à Ibiza, en Tunisie, en Turquie, et en Croatie, la belle surprise des ventes de l'été dernier. L'objectif annoncé est d'atteindre les 50 clubs en 2010.
Lookéa, une vedette pas solitaire
Le retour aux bénéfices après 4 années difficiles tient sans doute à la promotion du produit vedette du TO. Positionné clairement 3 ou 4 étoiles « all inclusive », avec animations spécifiques et clubs enfants, le Lookéa séduit une clientèle diversifiée.
Les vacances scolaires font le plein de familles – la réduction de 30% pour l'enfant avec ses deux, ou un seul parent, est aussi applicable en ces périodes, une exclusivité Look. Le rapport qualité-prix plutôt fiable attire aussi des vacanciers qui s'informent à de multiples sources.
« Le développement de nos ventes par une distribution multicanaux avec un prix unique quel que soit le diffuseur, était une promesse d'Olivier Kervella, notre DG, à son arrivée, et elle a été respectée », déclare Philippe Sangouard qui attribue le redressement des ventes à cette clarté.
Lookéa Samana, les bungalows piscine
Inévitablement, la mise en avant des Lookéa laisse dans l'ombre la production périphérique du TO. Son prochain challenge semble donc être de remettre en valeur ses autres séjours et circuits. De quelle manière ? Les discussions sur le sujet sont vives, nous dit Marie-Hélène Brunel, directrice du marketing.
Le Lookéa Samana, pour découvrir une autre République Dominicaine
A Samana, en février, la clientèle française se compose de quelques familles et de retraités plutôt habitués des circuits, mais ayant choisi une pause farniente ensoleillée avec des excursions, « même si elles sont un peu chères », disent-ils. « Mais le reste est vraiment bien. Surtout l'équipe d'animation. On retrouve la convivialité des premiers ClubMed qu'on aimait bien dans le temps. »
Le Lookéa Samana, pour découvrir une autre République Dominicaine
A Samana, en février, la clientèle française se compose de quelques familles et de retraités plutôt habitués des circuits, mais ayant choisi une pause farniente ensoleillée avec des excursions, « même si elles sont un peu chères », disent-ils. « Mais le reste est vraiment bien. Surtout l'équipe d'animation. On retrouve la convivialité des premiers ClubMed qu'on aimait bien dans le temps. »
El Rincon, 4km de plage déserte
En effet, les propositions de loisirs sont assez vastes pour satisfaire tous les goûts, sports, tournois, jeux, cours de langues, de merengué, spectacles de qualité... La cocoteraie est immense, pas de voisinage immédiat, les petits bâtiments aux couleurs acidulées réservent espace et intimité, deux piscines, trois restaurants, une discothèque, la plage est étroite mais lumineuse, ici on respire large.
Une réelle plate-forme de balades
Mais si l'hôtel est une vraie réussite pour une moyenne gamme, la star du séjour sera la République Dominicaine, encore victime de son image de Caraïbes « low cost ». Sur la presqu'île de Samana, pas d'immeubles mais des petites maisons colorées, des villages noyés de bananiers et de manguiers comme Las Galeras à 5 minutes à pied de l'hôtel, des kilomètres de plages désertes comme la somptueuse Rincon, à une heure d'une route magnifique, des baleines qui s'ébattent sous vos yeux de janvier à mars, une nature généreuse, des sourires sincères, bref, les vraies Antilles de naguère. A déguster sans modération, comme les 3B, les rhums locaux...
Une réelle plate-forme de balades
Mais si l'hôtel est une vraie réussite pour une moyenne gamme, la star du séjour sera la République Dominicaine, encore victime de son image de Caraïbes « low cost ». Sur la presqu'île de Samana, pas d'immeubles mais des petites maisons colorées, des villages noyés de bananiers et de manguiers comme Las Galeras à 5 minutes à pied de l'hôtel, des kilomètres de plages désertes comme la somptueuse Rincon, à une heure d'une route magnifique, des baleines qui s'ébattent sous vos yeux de janvier à mars, une nature généreuse, des sourires sincères, bref, les vraies Antilles de naguère. A déguster sans modération, comme les 3B, les rhums locaux...