La guerre des prix sur le court-courrier et le hausse des coûts de carburant ont pesé sur les comptes de Lufthansa -Crédit photo : Lufthansa
Lufthansa Group a dévoilé ses résultats pour le deuxième trimestre (avril - juin).
Le chiffre d’affaires du Groupe a augmenté de 4% à 9,6 milliards d'euros, en hausse par rapport à la même période l'année précédente à 9,3 milliards d'euros.
L’EBIT ajusté s’est élevé à 754 millions d’euros en baisse par rapport au 1 milliard d'euros enregistré en 2018. Sur les liaisons court-courrier en Europe, la guerre des prix en Allemagne et en Autriche ont notamment eu un impact négatif sur les résultats, explique le transporteur.
Le chiffre d’affaires du Groupe a augmenté de 4% à 9,6 milliards d'euros, en hausse par rapport à la même période l'année précédente à 9,3 milliards d'euros.
L’EBIT ajusté s’est élevé à 754 millions d’euros en baisse par rapport au 1 milliard d'euros enregistré en 2018. Sur les liaisons court-courrier en Europe, la guerre des prix en Allemagne et en Autriche ont notamment eu un impact négatif sur les résultats, explique le transporteur.
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Sur le 1er semestre malgré une hausse du chiffre d'affaires de 3% (17,5 milliards d’euros) l’EBIT a diminué pour s’établir à 418 millions d’euros contre 1 052 millions d’euros sur l'exercice précédent.
Le prix plus élevé du carburant a pesé sur les comptes : près de 450 millions d’euros de coûts supplémentaires indique le groupe.
Le bénéfice net pour le premier semestre tombe dans le rouge à -116 millions d'euros contre 713 millions d'euros. Un recul justifié par la réévaluation d'une "tax risk" en Allemagne pour laquelle des provisions de 340 millions d’euros étaient nécessaires.
Comme prévu en juin, Lufthansa table sur une baisse du bénéfice annuel.
Le prix plus élevé du carburant a pesé sur les comptes : près de 450 millions d’euros de coûts supplémentaires indique le groupe.
Le bénéfice net pour le premier semestre tombe dans le rouge à -116 millions d'euros contre 713 millions d'euros. Un recul justifié par la réévaluation d'une "tax risk" en Allemagne pour laquelle des provisions de 340 millions d’euros étaient nécessaires.
Comme prévu en juin, Lufthansa table sur une baisse du bénéfice annuel.