Côté commercialisation, ça va plutôt bien pour les organisateurs : les exposants sont là (*), grâce à l’expérience du SMT et du MIT, avec une équipe bien rôdée dirigée par Arlette Alphaize-Furet, directrice du MAP.
Au niveau de la fréquentation grand public, la longue tradition du Salon mondial du tourisme et la campagne de communication menée devraient aussi porter leurs fruits.
Enfin, les producteurs qui appelaient (en vain) de leurs vœux un volet B2C à Top Resa, sont comblés.
Tout semble donc aller pour le mieux dans le meilleur des mondes « mapiens ».
Mais la partie n’est pas gagnée pour autant car, le principal challenge pour les organisateurs sera, bien sûr, de drainer suffisamment de professionnels. En particulier des agences de voyages, public qui faisait, ces dernières années, cruellement défaut à Top Resa.
Au niveau de la fréquentation grand public, la longue tradition du Salon mondial du tourisme et la campagne de communication menée devraient aussi porter leurs fruits.
Enfin, les producteurs qui appelaient (en vain) de leurs vœux un volet B2C à Top Resa, sont comblés.
Tout semble donc aller pour le mieux dans le meilleur des mondes « mapiens ».
Mais la partie n’est pas gagnée pour autant car, le principal challenge pour les organisateurs sera, bien sûr, de drainer suffisamment de professionnels. En particulier des agences de voyages, public qui faisait, ces dernières années, cruellement défaut à Top Resa.
Les deux salons condamnés à s’entendre ?
Ensuite, il s’agit de fidéliser et de rassurer des producteurs aujourd’hui dans l’expectative. Si cette année ils ont encore misé « pour voir » sur les 2 salons (MAP et TOP Resa), il y a fort à parier qu’au lendemain de TOP Resa, en septembre prochain, ils auront pris leur décision pour l’année suivante.
Cela signifie que ces deux manifestations se livrent cette année une sorte de « quitte ou double » pour emporter l’adhésion des professionnels. Une chose est sûre : les voyagistes appellent de leurs vœux une simplification (*) de leur participation à des manifestations professionnelles.
Des manifestations qui, « manifestement », coûtent (très) cher et ne sont pas toujours à la hauteur de leurs espérances. L’exemple le plus criant est celui de Marmara, qui a décidé en claquant la porte de Deauville, d’investir ses deniers dans des super mega éductours.
C’est donc une année charnière qui se profile pour les salons professionnels. Bien malin qui pourrait dire qui du MAP ou de TOP Resa tirera le mieux son épingle du jeu. Cependant, beaucoup d’observateurs s’accordent pour dire que les deux salons sont condamnés à s’entendre…
Affaire à suivre !
(*) 300 exposants, 1300 sociétés représentées sur 2 halls et près de 30 000 m2 d'exposition.
(*) Un sondage express de TourMaG.com en cours révèle que pour 70% des votants « il y a trop de salons »
Cela signifie que ces deux manifestations se livrent cette année une sorte de « quitte ou double » pour emporter l’adhésion des professionnels. Une chose est sûre : les voyagistes appellent de leurs vœux une simplification (*) de leur participation à des manifestations professionnelles.
Des manifestations qui, « manifestement », coûtent (très) cher et ne sont pas toujours à la hauteur de leurs espérances. L’exemple le plus criant est celui de Marmara, qui a décidé en claquant la porte de Deauville, d’investir ses deniers dans des super mega éductours.
C’est donc une année charnière qui se profile pour les salons professionnels. Bien malin qui pourrait dire qui du MAP ou de TOP Resa tirera le mieux son épingle du jeu. Cependant, beaucoup d’observateurs s’accordent pour dire que les deux salons sont condamnés à s’entendre…
Affaire à suivre !
(*) 300 exposants, 1300 sociétés représentées sur 2 halls et près de 30 000 m2 d'exposition.
(*) Un sondage express de TourMaG.com en cours révèle que pour 70% des votants « il y a trop de salons »