C’est à l’initiative du directeur de Wasteels en Belgique, Jean Taibi, s’inspirant du modèle français, que Manor Belgium a vu le jour. Dans un premier temps, le GIE a voulu rassembler les agences moyennes du royaume. Puis, très rapidement, il a été mis en place une « succursale » Manor Belgium Distribution pour les AGV de plus petite taille.
Si l’association a démarré sur des chapeaux de roue, quelques années plus tard, force est de constater qu’il y a eu des craquements avec d’une part, le départ de la CIT vers CATENA, la branche belge de l’AllianceT et d’autre part l’immigration, sur instruction de la direction monégasque du groupe, de Wasteels Belgique vers ce même GIE.
Avec comme conséquence, la démission de Jean Taibi de la présidence et son remplacement par Chris Geyskens, CEO d’ITC Navigant. Par la suite, une première restructuration a eu lieu avec la fusion de Manor Belgium et de Manor Belgium Distribution.
Le GIE est à la croisée des chemins
Comme statutairement la durée de vie de l’association avait été fixée à l’origine à cinq ans, les fondateurs restant et les membres actuels sont en train d’étudier l’intérêt de prolonger l’expérience. Or s’il est un fait évident, c’est que la réunion d’AGV à vocation business et d’AGV orientées vers le loisir n’a pas été une réussite.
Et de fait, certaines tensions sont apparues entre les deux groupes. L’un des principaux reproches des AGV leisure aux business étant de dire que celles-ci bénéficiaient grâce à elles de conditions spéciales auprès des TO mais qu'il n'y avait pas de réciprocité concernant les accords avec les compagnies aériennes.
Par ailleurs, il semblerait également qu’une certaine cassure communautaire (NDLR : la Belgique et ses vieux démons) existerait. Les agences du Nord du pays souhaitant le statu quo, tandis que les francophones demandent certains aménagements.
Comme nous l’a expliqué l’un des responsables : « Nous devons refixer de nouveaux objectifs qui soient acceptés par tous. Ce n’est qu’après cette démarche qu’une décision du maintient en vie et de la relance du GIE pourra être prise. »
En tout état de cause, plusieurs des AGV membres du GIE sont actuellement à la recherche d’un nouveau « club ». Nous savons de bonne source que certaines d’entre elles discuteraient avec les dissidents du groupe AvitouR.
Si l’association a démarré sur des chapeaux de roue, quelques années plus tard, force est de constater qu’il y a eu des craquements avec d’une part, le départ de la CIT vers CATENA, la branche belge de l’AllianceT et d’autre part l’immigration, sur instruction de la direction monégasque du groupe, de Wasteels Belgique vers ce même GIE.
Avec comme conséquence, la démission de Jean Taibi de la présidence et son remplacement par Chris Geyskens, CEO d’ITC Navigant. Par la suite, une première restructuration a eu lieu avec la fusion de Manor Belgium et de Manor Belgium Distribution.
Le GIE est à la croisée des chemins
Comme statutairement la durée de vie de l’association avait été fixée à l’origine à cinq ans, les fondateurs restant et les membres actuels sont en train d’étudier l’intérêt de prolonger l’expérience. Or s’il est un fait évident, c’est que la réunion d’AGV à vocation business et d’AGV orientées vers le loisir n’a pas été une réussite.
Et de fait, certaines tensions sont apparues entre les deux groupes. L’un des principaux reproches des AGV leisure aux business étant de dire que celles-ci bénéficiaient grâce à elles de conditions spéciales auprès des TO mais qu'il n'y avait pas de réciprocité concernant les accords avec les compagnies aériennes.
Par ailleurs, il semblerait également qu’une certaine cassure communautaire (NDLR : la Belgique et ses vieux démons) existerait. Les agences du Nord du pays souhaitant le statu quo, tandis que les francophones demandent certains aménagements.
Comme nous l’a expliqué l’un des responsables : « Nous devons refixer de nouveaux objectifs qui soient acceptés par tous. Ce n’est qu’après cette démarche qu’une décision du maintient en vie et de la relance du GIE pourra être prise. »
En tout état de cause, plusieurs des AGV membres du GIE sont actuellement à la recherche d’un nouveau « club ». Nous savons de bonne source que certaines d’entre elles discuteraient avec les dissidents du groupe AvitouR.