Ce serait en effet, une « pointure » de l’aérien qui prendrait la succession de Gérard Ethève à la direction générale d‘Air Austral.
Marie-Joseph Malé, polytechnicien, a réalisé sa carrière chez UTA puis chez Air France où il a occupé divers postes à responsabilités aux Etats-Unis, en Asie et en Europe.
Il fut aussi le président d’Amadeus France, le directeur général adjoint en charge du contrôle et de l’audit interne dans l’équipe de Pierre-Henri Gourgeon.
Son dernier poste en date fut la direction générale de Skyteam à Amsterdam jusqu’en juin 2011.
Marie-Joseph Malé aura néanmoins un sacré challenge à relever s’il accepte le poste.
Marie-Joseph Malé, polytechnicien, a réalisé sa carrière chez UTA puis chez Air France où il a occupé divers postes à responsabilités aux Etats-Unis, en Asie et en Europe.
Il fut aussi le président d’Amadeus France, le directeur général adjoint en charge du contrôle et de l’audit interne dans l’équipe de Pierre-Henri Gourgeon.
Son dernier poste en date fut la direction générale de Skyteam à Amsterdam jusqu’en juin 2011.
Marie-Joseph Malé aura néanmoins un sacré challenge à relever s’il accepte le poste.
Marie-Joseph Malé, polytechnicien, a réalisé sa carrière chez UTA puis chez Air France où il a occupé divers postes à responsabilités aux Etats-Unis, en Asie et en Europe. Il fut aussi le président d’Amadeus France. Son dernier poste en date fut la direction générale de Skyteam à Amsterdam jusqu’en juin 2011./photo Wikimedia Commons
Air Austral apparaît bien esseulée au milieu de l’océan Indien...
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Si l’on en croit les derniers chiffres qui circulent, le déficit pour 2011 dépasserait les 30 millions d’euros pour un chiffre d’affaires d’un peu plus de 400 millions.
D’après Gérard Ethève, la compagnie a dû faire face à une facture supplémentaire de 84 millions d’euros en deux ans, liée à l’envolée du prix du pétrole.
Le choix d’ouvrir de nouvelles lignes vers l’Asie était-il judicieux dans de telles circonstances ? En dépit des difficultés actuelles, la décision a été prise de maintenir ces lignes.
Après une augmentation de capital de 12,5 millions d’euros injectée en janvier dernier, la compagnie ne peut plus faire appel à d’autres aides financières publiques. Un prêt bancaire de 40 millions d’euros serait en cours de réalisation.
Il n’empêche qu’Air Austral apparaît bien esseulée au milieu de l’océan Indien alors qu’Air Seychelles a trouvé une solution de survie avec Etihad et qu’Air Mauritius s’appuie sur la joint venture avec Air France.
Récemment, Gérard Ethève aurait trouvé de l’ordre du possible le scénario d’un code share avec Corsair, à l’exemple de l’accord passé par Air Caraïbes.
Reste à savoir si Marie-Joseph Malé, ex-Air France, et Didier Robert partageront le même point de vue.
D’après Gérard Ethève, la compagnie a dû faire face à une facture supplémentaire de 84 millions d’euros en deux ans, liée à l’envolée du prix du pétrole.
Le choix d’ouvrir de nouvelles lignes vers l’Asie était-il judicieux dans de telles circonstances ? En dépit des difficultés actuelles, la décision a été prise de maintenir ces lignes.
Après une augmentation de capital de 12,5 millions d’euros injectée en janvier dernier, la compagnie ne peut plus faire appel à d’autres aides financières publiques. Un prêt bancaire de 40 millions d’euros serait en cours de réalisation.
Il n’empêche qu’Air Austral apparaît bien esseulée au milieu de l’océan Indien alors qu’Air Seychelles a trouvé une solution de survie avec Etihad et qu’Air Mauritius s’appuie sur la joint venture avec Air France.
Récemment, Gérard Ethève aurait trouvé de l’ordre du possible le scénario d’un code share avec Corsair, à l’exemple de l’accord passé par Air Caraïbes.
Reste à savoir si Marie-Joseph Malé, ex-Air France, et Didier Robert partageront le même point de vue.