« Cette crise nous la devons au contexte international et à la crise financière beaucoup plus qu’aux conséquences du Printemps Arabe...», a déclaré Lahcen Haddad/photo M.S.
Le président du SNAV était visiblement heureux de recevoir adhérents et partenaires, chez lui.
Dans ses beaux Jardins de l’Agdal avec, à ses côtés, le tout nouveau ministre du tourisme du Royaume du Maroc Lahcen Haddad et Lucien Salemi, président de ces 5e Rencontres, Georges Colson rayonnait.
Côté français il ne manquait au parterre de personnalités que notre Secrétaire d’Etat au Tourisme, Frédéric Lefèbvre.
En 2011 le Maroc a vécu une véritable ouverture politique. En s’ouvrant à la démocratie sans guerre civile et sans révolution, son trafic touristique n’a pas pour autant échappé à la crise.
Le nombre des visiteurs étrangers est resté étale alors que le pays attendait des progressions à deux chiffres.
« Cette crise nous la devons au contexte international et à la crise financière beaucoup plus qu’aux conséquences du Printemps Arabe », a déclaré Lahcen Haddad.
Au Maroc le tourisme représente 9 % du PIB. Il est le deuxième contributeur en terme de recettes et le deuxième créateur d‘emplois. «Il est le levier majeur de développement économique et social du Royaume » a rappelé le ministre.
Dans ses beaux Jardins de l’Agdal avec, à ses côtés, le tout nouveau ministre du tourisme du Royaume du Maroc Lahcen Haddad et Lucien Salemi, président de ces 5e Rencontres, Georges Colson rayonnait.
Côté français il ne manquait au parterre de personnalités que notre Secrétaire d’Etat au Tourisme, Frédéric Lefèbvre.
En 2011 le Maroc a vécu une véritable ouverture politique. En s’ouvrant à la démocratie sans guerre civile et sans révolution, son trafic touristique n’a pas pour autant échappé à la crise.
Le nombre des visiteurs étrangers est resté étale alors que le pays attendait des progressions à deux chiffres.
« Cette crise nous la devons au contexte international et à la crise financière beaucoup plus qu’aux conséquences du Printemps Arabe », a déclaré Lahcen Haddad.
Au Maroc le tourisme représente 9 % du PIB. Il est le deuxième contributeur en terme de recettes et le deuxième créateur d‘emplois. «Il est le levier majeur de développement économique et social du Royaume » a rappelé le ministre.
2011 : progression de +1 % du trafic touristique marocain
De janvier à fin avril 2011, le Royaume avait enregistré une progression de 10 % du nombre visiteurs étrangers par rapport à 2010.
Fin avril il y eut l’attentat de Marrakech. Chacun connaît la suite : un net recul durant 3 à 4 mois.
Beaucoup d’attentisme de la part des touristes européens, surtout ceux de l’Europe du Sud, de l’Espagne et de la France.
« Notre proximité culturelle, notre côté affectif amplifient les réactions alors que les anglo-saxons prennent plus de recul », a souligné Hamid Addou, directeur général du Tourisme.
Le dernier trimestre 2011, impacté par la crise économique n’a pas permis au tourisme marocain de renouer avec la croissance. In fine, l’année devrait se terminer avec + 1 % en terme d’arrivées et de + 4 % en terme de chiffre d’affaires.
La France, premier marché émetteur a marqué le pas avec un petit moins 1 %. Dans son discours d‘ouverture Lucien Salemi a rappelé que : « En 15 ans le nombre des touristes voyageant à travers le monde a doublé. Cette industrie concerne un milliard d‘hommes et de femmes qui se déplacent, 250 millions d‘emplois… »
En donnant un peu le vertige, ils laissent malgré tout présager des lendemains qui chantent...
Fin avril il y eut l’attentat de Marrakech. Chacun connaît la suite : un net recul durant 3 à 4 mois.
Beaucoup d’attentisme de la part des touristes européens, surtout ceux de l’Europe du Sud, de l’Espagne et de la France.
« Notre proximité culturelle, notre côté affectif amplifient les réactions alors que les anglo-saxons prennent plus de recul », a souligné Hamid Addou, directeur général du Tourisme.
Le dernier trimestre 2011, impacté par la crise économique n’a pas permis au tourisme marocain de renouer avec la croissance. In fine, l’année devrait se terminer avec + 1 % en terme d’arrivées et de + 4 % en terme de chiffre d’affaires.
La France, premier marché émetteur a marqué le pas avec un petit moins 1 %. Dans son discours d‘ouverture Lucien Salemi a rappelé que : « En 15 ans le nombre des touristes voyageant à travers le monde a doublé. Cette industrie concerne un milliard d‘hommes et de femmes qui se déplacent, 250 millions d‘emplois… »
En donnant un peu le vertige, ils laissent malgré tout présager des lendemains qui chantent...
Dans son discours d‘ouverture Lucien Salemi a rappelé que « En 15 ans le nombre des touristes voyageant à travers le monde a doublé... » /photo M.S.