
Pour évoquer les récentes pérégrinations d’Air Madagascar, le terme qui prévaut est bien celui de résurrection. Après la crise de 2002, personne ne donnait cher de la peau de la vénérable compagnie créée en 1961 sous le nom de Madair.
Force est de constater que la collaboration avec Lufthansa Consulting, titulaire d’un contrat de gestion avec l’Etat malgache, a fait plus que porter ses fruits.
En quatre ans, le nombre de passagers transportés a triplé pour dépasser les 626 000. La flotte, entièrement renouvelée, est composée de 12 appareils et leur maintenance est aux normes européennes depuis l’obtention de la Certification PART-145.
A ce jour, Air Madagascar dessert une quarantaine de destinations domestiques (avec pas moins de 435 vols par semaine), et 6 destinations « régionales » dans la zone Océan Indien -Réunion, Maurice, Comores, Afrique du Sud, Kenya et Mayotte – à raison de 52 vols hebdomadaires. Enfin, au chapitre long-courrier, la compagnie malgache dessert Bangkok, Milan et bien sûr Paris.
Au départ de France, cinq fréquences hebdomadaires étaient établies en direction de Madagascar. C’est l’un de ces vols aller-retour qui a été « détourné » vers Marseille-Provence. La liaison hebdomadaire, opérée sur B7676300 bi-classe, permet donc désormais au départ de la cité phocéenne de rejoindre directement l’aéroport d’Antananarivo-Ivato .
Sur les raisons qui ont amené à l’ouverture de cette ligne, Ulrich Link est très clair. Le tourisme se développe à grande vitesse et l’engouement des européens pour Madagascar laisse augurer de belles perspectives.
« Or, il y a à Marseille et dans le grand sud un fort potentiel car la Grande Île attire de plus en plus. Et puis on dénombre également dans cette même région la présence de fortes communautés malgache et comorienne… »
Force est de constater que la collaboration avec Lufthansa Consulting, titulaire d’un contrat de gestion avec l’Etat malgache, a fait plus que porter ses fruits.
En quatre ans, le nombre de passagers transportés a triplé pour dépasser les 626 000. La flotte, entièrement renouvelée, est composée de 12 appareils et leur maintenance est aux normes européennes depuis l’obtention de la Certification PART-145.
A ce jour, Air Madagascar dessert une quarantaine de destinations domestiques (avec pas moins de 435 vols par semaine), et 6 destinations « régionales » dans la zone Océan Indien -Réunion, Maurice, Comores, Afrique du Sud, Kenya et Mayotte – à raison de 52 vols hebdomadaires. Enfin, au chapitre long-courrier, la compagnie malgache dessert Bangkok, Milan et bien sûr Paris.
Au départ de France, cinq fréquences hebdomadaires étaient établies en direction de Madagascar. C’est l’un de ces vols aller-retour qui a été « détourné » vers Marseille-Provence. La liaison hebdomadaire, opérée sur B7676300 bi-classe, permet donc désormais au départ de la cité phocéenne de rejoindre directement l’aéroport d’Antananarivo-Ivato .
Sur les raisons qui ont amené à l’ouverture de cette ligne, Ulrich Link est très clair. Le tourisme se développe à grande vitesse et l’engouement des européens pour Madagascar laisse augurer de belles perspectives.
« Or, il y a à Marseille et dans le grand sud un fort potentiel car la Grande Île attire de plus en plus. Et puis on dénombre également dans cette même région la présence de fortes communautés malgache et comorienne… »
La réssurection d'Air Madagascar
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Sur la desserte France-Madagascar, la compagnie malgache se partage actuellement le marché à parts égales avec Air France et Corsair. Ce repositionnement pourrait bien s’avérer gagnant si l’on en croît les premiers taux de remplissage.
« Il est un fait que l’on est agréablement surpris » avoue discrètement Olivia Madhow-Rasoamanarivo, chef du département marketing. Les effets conjugués du « trafic ethnique » et de la clientèle touristique amènent même d’ores et déjà certains vols à afficher « complet » pour cet été !
Raisonnablement confiants, enchantés du partenariat établi avec l’Aéroport de Marseille-Provence, les dirigeants d’Air Madagascar laissent entendre que des accords avec certains TO du Sud de la France pourraient bien être rapidement officialisés.
Pour le reste et à l’attention de ceux qui pourraient encore s’interroger sur les bonnes raisons de choisir Air Madagascar et la liaison Marseille-Antananarivo, ils présentent une kyrielle d’arguments.
Le vol décolle à 17 h 35 et atterrit à 04 h 45. Pas de journée perdue, pas de vol de jour interminable, d’autant que le décalage horaire est minime (2 h en hiver, 1 h en été). Au retour, scénario identique avec un départ d’Antananarivo à 21 h 45 pour une arrivée à Marseille à 06 h 50 .
Des correspondances idéales dans les deux heures qui suivent votre arrivée pour les destinations touristiques de l’île (comme Nosy Be) ou les vols internationaux vers Maurice…
Une réduction de 50 % sur les vols domestiques en continuation de votre vol long-courrier.
Et puis, cerise sur le gâteau, le prix de lancement proposés jusqu’à fin juin à l’occasion de l’ouverture de ce Marseille-Antananarivo : 644 euros TTC pour un aller-retour vers cette île incroyable, mélange subtil d’Asie et d’Afrique…Plutôt tentant n’est-ce pas ?
Sur la desserte France-Madagascar, la compagnie malgache se partage actuellement le marché à parts égales avec Air France et Corsair. Ce repositionnement pourrait bien s’avérer gagnant si l’on en croît les premiers taux de remplissage.
« Il est un fait que l’on est agréablement surpris » avoue discrètement Olivia Madhow-Rasoamanarivo, chef du département marketing. Les effets conjugués du « trafic ethnique » et de la clientèle touristique amènent même d’ores et déjà certains vols à afficher « complet » pour cet été !
Raisonnablement confiants, enchantés du partenariat établi avec l’Aéroport de Marseille-Provence, les dirigeants d’Air Madagascar laissent entendre que des accords avec certains TO du Sud de la France pourraient bien être rapidement officialisés.
Pour le reste et à l’attention de ceux qui pourraient encore s’interroger sur les bonnes raisons de choisir Air Madagascar et la liaison Marseille-Antananarivo, ils présentent une kyrielle d’arguments.
Le vol décolle à 17 h 35 et atterrit à 04 h 45. Pas de journée perdue, pas de vol de jour interminable, d’autant que le décalage horaire est minime (2 h en hiver, 1 h en été). Au retour, scénario identique avec un départ d’Antananarivo à 21 h 45 pour une arrivée à Marseille à 06 h 50 .
Des correspondances idéales dans les deux heures qui suivent votre arrivée pour les destinations touristiques de l’île (comme Nosy Be) ou les vols internationaux vers Maurice…
Une réduction de 50 % sur les vols domestiques en continuation de votre vol long-courrier.
Et puis, cerise sur le gâteau, le prix de lancement proposés jusqu’à fin juin à l’occasion de l’ouverture de ce Marseille-Antananarivo : 644 euros TTC pour un aller-retour vers cette île incroyable, mélange subtil d’Asie et d’Afrique…Plutôt tentant n’est-ce pas ?