Le AidaStella a fait partie des paquebots bloqués par les militants @X-Twitter
Ils ne se montrent pas sensibles aux progrès environnementaux affichés par la Clia., l’association des croisiéristes.
A bord de kayaks, les militants d’Extinction Rebellion et de Stop Croisière ont empêché samedi matin pendant près de deux heures l’arrivée de trois paquebots de croisière et d’un ferry dans le port de Marseille, avant d’être délogés par la gendarmerie maritime.
Les navire Aidastella (Aïda, filiale allemande de Costa) a été contraint de faire demi-tour, Le MSC World Europa et le Costa Smeralda ont patienté au large avant d’entrer dans le port.
A bord de kayaks, les militants d’Extinction Rebellion et de Stop Croisière ont empêché samedi matin pendant près de deux heures l’arrivée de trois paquebots de croisière et d’un ferry dans le port de Marseille, avant d’être délogés par la gendarmerie maritime.
Les navire Aidastella (Aïda, filiale allemande de Costa) a été contraint de faire demi-tour, Le MSC World Europa et le Costa Smeralda ont patienté au large avant d’entrer dans le port.
La Clia condamne le blocage des navires de croisières
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Sur leurs kayaks gonflables, la vingtaine d'activistes équipés de gilets de sauvetage avaient déployé des banderoles comme « ça sent le gaz » ou « on est très en colère contre MSC Croisières ».
La Clia a « fermement » condamné ce blocage, qualifié « d'illégal et dangereux, par une poignée d'activistes quelles que soient leurs opinions ». Elle a aussi précisé que « le transport maritime, dont la croisière représente 5% à Marseille, poursuit ses efforts sans relâche en vue d’atteindre la neutralité carbone de ses activités. »
es collectifs Stop Croisières BZH et Extinction Rebellion avaient aussi mené une opération du même type à Concarneau, bloquant en juillet dernier le Seven Seas Voyager.
A lire aussi : Anti-croisières : le Seven Seas Voyager renonce à son escale à Concarneau
Le printemps dernier, des vitrines d'agences de voyages avaient été également saccagées par des activistes à Quimper, la préfecture du Finistère. Les deux groupes expliquaient vouloir « sensibiliser le public sur l’impact environnemental de l’industrie de la croisière » et « encourager les acteurs du tourisme à promouvoir des pratiques plus éthiques et respectueuses de l’environnement ».
La Clia a « fermement » condamné ce blocage, qualifié « d'illégal et dangereux, par une poignée d'activistes quelles que soient leurs opinions ». Elle a aussi précisé que « le transport maritime, dont la croisière représente 5% à Marseille, poursuit ses efforts sans relâche en vue d’atteindre la neutralité carbone de ses activités. »
es collectifs Stop Croisières BZH et Extinction Rebellion avaient aussi mené une opération du même type à Concarneau, bloquant en juillet dernier le Seven Seas Voyager.
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Le printemps dernier, des vitrines d'agences de voyages avaient été également saccagées par des activistes à Quimper, la préfecture du Finistère. Les deux groupes expliquaient vouloir « sensibiliser le public sur l’impact environnemental de l’industrie de la croisière » et « encourager les acteurs du tourisme à promouvoir des pratiques plus éthiques et respectueuses de l’environnement ».
