Selon l'étude de Protourisme, le Massif Alpin génère cette année plus de 80% de la fréquentation des remontées mécaniques pour environ 90% du chiffre d’affaires.
La région Rhône-Alpes à elle seule, génèrera cette année près des 3/4 du chiffre d’affaires des remontées mécaniques. Le chiffre d’affaires des remontées mécaniques atteindra près de 1,2 milliards d’euros TTC cette année soit entre 25 et 30% (suivant la fin de la saison) de plus que l’année passée et environ 15% de plus que la saison record 2005-2006 (1,04 milliard d’euros TTC / source : SNTF).
Si pour le Massif Alpin la fréquentation est satisfaisante pour l’ensemble des stations (petites, moyennes et grandes) avec une part de marché en hausse, il n’en va pas de même pour les Pyrénées et le Jura. Autre massif en forte hausse le « Massif du Sancy » en Auvergne dont la fréquentation se rapproche de son année record d’il y a deux ans.
Au final l’ensemble des massifs générera cet hiver plus de 55 millions de journées skieurs et pourrait égaler voire dépasser le record de 56 millions de journées skieurs atteint il y a 2 ans. Le chiffre d’affaires des remontées mécaniques atteindra des « sommets » avec près de 1,2 milliards d’euros TTC de chiffre d’affaires.
La région Rhône-Alpes à elle seule, génèrera cette année près des 3/4 du chiffre d’affaires des remontées mécaniques. Le chiffre d’affaires des remontées mécaniques atteindra près de 1,2 milliards d’euros TTC cette année soit entre 25 et 30% (suivant la fin de la saison) de plus que l’année passée et environ 15% de plus que la saison record 2005-2006 (1,04 milliard d’euros TTC / source : SNTF).
Si pour le Massif Alpin la fréquentation est satisfaisante pour l’ensemble des stations (petites, moyennes et grandes) avec une part de marché en hausse, il n’en va pas de même pour les Pyrénées et le Jura. Autre massif en forte hausse le « Massif du Sancy » en Auvergne dont la fréquentation se rapproche de son année record d’il y a deux ans.
Au final l’ensemble des massifs générera cet hiver plus de 55 millions de journées skieurs et pourrait égaler voire dépasser le record de 56 millions de journées skieurs atteint il y a 2 ans. Le chiffre d’affaires des remontées mécaniques atteindra des « sommets » avec près de 1,2 milliards d’euros TTC de chiffre d’affaires.
Une progression de 3 % des nuitées des hébergements touristiques marchands
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Les nuitées des hébergements touristiques marchands ont progressé de 3 % avec une hausse de près de 10 % du chiffre d’affaires des hébergeurs. La montée en gamme de l’offre d’hébergement touristique ainsi que la hausse des prix des locations d’appartements ont eu pour conséquence une hausse de 7% des prix pratiqués et un accroissement du chiffre d’affaires des hébergements touristiques de près de 10 %.
Pendant les vacances scolaires le coût pour une famille de 4 personnes en vacances à la neige est en moyenne de 2.700 euros (un peu plus de 2.000 euros hors vacances scolaires).
Les hôtels et les villages de vacances rénovés bénéficient d’une croissance à deux chiffres de leur fréquentation et d’une hausse de près de 20 % de leur chiffre d’affaires, cette croissance étant à 60 % le fait des clientèles européennes et des clientèles des Pays émergents.
Cependant selon Protourisme : la déception vient de la consommation des clientèles françaises touchées par la contraction de leur pouvoir d'achat disponible pour les vacances et qui ont raccourci leur séjour à la montagne.
A noter : en 10 ans les "lits chauds" (hôtels, villages de vacances,...), c'est à dire les logements occupés sur l’ensemble de la saison ont diminué de plus de 38.000 lits sur un total de 400.000 lits environ (- 9,5 %) alors que les "lits froids » (résidences secondaires, meublés) ont progressé de près de 145.000 lits sur un total de 1.600.000 lits environ (+ 9 %), sachant qu’un « lit chaud » est en moyenne 7 fois plus occupé en 2008 qu’un « lit froid », alors qu’il n’était que 5 fois plus occupé en 1998. Cela se traduit au final par une baisse de près de 2 millions de nuitées.
Selon Didier ARINO, responsable de l’étude, « Les séjours à la montagne se raccourcissent, de moins en moins de Français skient. Heureusement que nous bénéficions du développement des clientèles étrangères et de la minorité d’inconditionnels du ski qui le pratiquent intensément. Il serait temps de mener une politique de reconquête du ski auprès des Français et notamment des jeunes, et de penser à diversifier l’offre de montagne pour notamment séduire les femmes ».
Pendant les vacances scolaires le coût pour une famille de 4 personnes en vacances à la neige est en moyenne de 2.700 euros (un peu plus de 2.000 euros hors vacances scolaires).
Les hôtels et les villages de vacances rénovés bénéficient d’une croissance à deux chiffres de leur fréquentation et d’une hausse de près de 20 % de leur chiffre d’affaires, cette croissance étant à 60 % le fait des clientèles européennes et des clientèles des Pays émergents.
Cependant selon Protourisme : la déception vient de la consommation des clientèles françaises touchées par la contraction de leur pouvoir d'achat disponible pour les vacances et qui ont raccourci leur séjour à la montagne.
A noter : en 10 ans les "lits chauds" (hôtels, villages de vacances,...), c'est à dire les logements occupés sur l’ensemble de la saison ont diminué de plus de 38.000 lits sur un total de 400.000 lits environ (- 9,5 %) alors que les "lits froids » (résidences secondaires, meublés) ont progressé de près de 145.000 lits sur un total de 1.600.000 lits environ (+ 9 %), sachant qu’un « lit chaud » est en moyenne 7 fois plus occupé en 2008 qu’un « lit froid », alors qu’il n’était que 5 fois plus occupé en 1998. Cela se traduit au final par une baisse de près de 2 millions de nuitées.
Selon Didier ARINO, responsable de l’étude, « Les séjours à la montagne se raccourcissent, de moins en moins de Français skient. Heureusement que nous bénéficions du développement des clientèles étrangères et de la minorité d’inconditionnels du ski qui le pratiquent intensément. Il serait temps de mener une politique de reconquête du ski auprès des Français et notamment des jeunes, et de penser à diversifier l’offre de montagne pour notamment séduire les femmes ».