Fréderic Savoyen, le créateur de My Travel Chic, surfe sur la vague des ventes privées et va doubler les effectifs de son site My Travel Chic. DR
L’e-tourisme ne connaît pas la crise, et ce n’est pas Fréderic Savoyen qui nous dira le contraire.
Cet ancien de Nosylis a lancé en juin dernier son site de ventes privées en ligne : My Travel Chic.
Grâce à son association avec BazarChic.com, il revendique près 500 000 membres qui viennent profiter des offres de séjours haut de gamme.
Pas de détails en revanche sur son chiffre d’affaires. Il avoue simplement être « au dessus des objectifs ».
Le site compte aujourd’hui 15 personnes, un effectif que Fréderic Savoyen espère doubler d’ici la fin de l’année.
Pour se faire, il va recruter à la production, au backoffice et à la réservation. Il embauche également des conseillers voyages. « Même si nous sommes un site internet, près de 20% de nos ventes sont réalisées par téléphone, avec un conseiller » précise Fréderic Savoyen.
Cet ancien de Nosylis a lancé en juin dernier son site de ventes privées en ligne : My Travel Chic.
Grâce à son association avec BazarChic.com, il revendique près 500 000 membres qui viennent profiter des offres de séjours haut de gamme.
Pas de détails en revanche sur son chiffre d’affaires. Il avoue simplement être « au dessus des objectifs ».
Le site compte aujourd’hui 15 personnes, un effectif que Fréderic Savoyen espère doubler d’ici la fin de l’année.
Pour se faire, il va recruter à la production, au backoffice et à la réservation. Il embauche également des conseillers voyages. « Même si nous sommes un site internet, près de 20% de nos ventes sont réalisées par téléphone, avec un conseiller » précise Fréderic Savoyen.
Une équipe dynamique pour des contrats en CDI
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Les candidats qui postulent chez My Travel Chic doivent être férus de web et de nouvelles technologies. « Nous avons une logique d’e-commerce, les gens montent leur produit de A à Z ». Posséder une expérience chez un TO en ligne constitue également un avantage indéniable.
Tous les CV atterrissent d'abord sur le bureau de la DRH de Bazar Chic, qui réalise un premier tri car certaines annonces peuvent recevoir jusqu'à 300 réponses.
Frédéric Savoyen se charge ensuite de recevoir les candidats et ne se fait aucun souci pour dénicher la perle rare. « Il est aujourd’hui facile de recruter dans le tourisme car de nombreuses personnes cherchent du travail, même ceux qui sont déjà en poste ».
Afin de débaucher des salariés expérimentés, il n'hésite pas à mettre le prix, avec tout d’abord des contrats en CDI. « Le seul moyen d’obtenir de bons éléments prêts à s’investir et à s’impliquer dans l’entreprise ».
Et les salaires sont plus que corrects, établis dans une fourchette allant de 20 à 25 000 euros. « Je ne vois pas l’intérêt d’embaucher un conseiller voyage à moins de 1800 euros » poursuit-il.
En échange de telles conditions, Fréderic Savoyen s’attend à une totale implication de ses recrues.
Il ne cache pas le rythme soutenu du travail et compte doubler ses équipes afin de multiplier par 5 son chiffres d’affaires. « Nous ne restons pas derrière notre comptoir à attendre que le client arrive. Nos journées sont bien remplies ! ».
Tous les CV atterrissent d'abord sur le bureau de la DRH de Bazar Chic, qui réalise un premier tri car certaines annonces peuvent recevoir jusqu'à 300 réponses.
Frédéric Savoyen se charge ensuite de recevoir les candidats et ne se fait aucun souci pour dénicher la perle rare. « Il est aujourd’hui facile de recruter dans le tourisme car de nombreuses personnes cherchent du travail, même ceux qui sont déjà en poste ».
Afin de débaucher des salariés expérimentés, il n'hésite pas à mettre le prix, avec tout d’abord des contrats en CDI. « Le seul moyen d’obtenir de bons éléments prêts à s’investir et à s’impliquer dans l’entreprise ».
Et les salaires sont plus que corrects, établis dans une fourchette allant de 20 à 25 000 euros. « Je ne vois pas l’intérêt d’embaucher un conseiller voyage à moins de 1800 euros » poursuit-il.
En échange de telles conditions, Fréderic Savoyen s’attend à une totale implication de ses recrues.
Il ne cache pas le rythme soutenu du travail et compte doubler ses équipes afin de multiplier par 5 son chiffres d’affaires. « Nous ne restons pas derrière notre comptoir à attendre que le client arrive. Nos journées sont bien remplies ! ».