Alors que les audiences préliminaires au procès du naufrage du Costa Concordia se poursuivent à Grosseto en Italie, l'avocat de Costa Crociere prend la parole. Il estime que la compagnie n'est pas responsable du drame.
"Il n'y a pas eu de mise en cause, d'aucune sorte, de la co-responsabilité de la compagnie pour ce qui s'est passé, affirme Me Marco De Luca.
L'audience préliminaire a confirmé cette situation. Les seuls points reprochés à Costa, d'un point de vue administratif, concernent des certifications que les experts n'ont pas pu tracer mais que Costa et ses avocats ont, par contre, présentées lors de l'audience d'hier (jeudi 18 octobre 2012, Ndlr)."
Il réagit également aux questions soulevées par les représentants de certaines victimes à propos d'une défaillance du générateur de secours.
Me De Luca rejette cette accusation et explique avoir présenté, à la cour, "une documentation certifiant que le générateur fonctionnait correctement, ce point étant attestés par des essais effectués seulement une semaine avant."
Par ailleurs, il assure que Costa Croisières ne peut être tenue responsable d'un manquement à l'obligation d'information de l'accident aux autorités portuaires :
"Cette obligation incombe au commandant du navire et non à l'unité de crise ou à la Compagnie dans son ensemble", précise l'avocat.
"Il n'y a pas eu de mise en cause, d'aucune sorte, de la co-responsabilité de la compagnie pour ce qui s'est passé, affirme Me Marco De Luca.
L'audience préliminaire a confirmé cette situation. Les seuls points reprochés à Costa, d'un point de vue administratif, concernent des certifications que les experts n'ont pas pu tracer mais que Costa et ses avocats ont, par contre, présentées lors de l'audience d'hier (jeudi 18 octobre 2012, Ndlr)."
Il réagit également aux questions soulevées par les représentants de certaines victimes à propos d'une défaillance du générateur de secours.
Me De Luca rejette cette accusation et explique avoir présenté, à la cour, "une documentation certifiant que le générateur fonctionnait correctement, ce point étant attestés par des essais effectués seulement une semaine avant."
Par ailleurs, il assure que Costa Croisières ne peut être tenue responsable d'un manquement à l'obligation d'information de l'accident aux autorités portuaires :
"Cette obligation incombe au commandant du navire et non à l'unité de crise ou à la Compagnie dans son ensemble", précise l'avocat.
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