Une nouvelle "tête" du groupe TUI, venue de Scandinavie, une dame, devrait en effet "chapeauter" le Groupe en France dans le domaine de la distribution. Et, accessoirement, ne pas vouloir entériner la parole du Basque. Ce qui fait que, pour le moment, là aussi, ça coince ! /photo LAC
Patrick Abisset, co-président de la Commission Tourisme du réseau, déclarait pas plus tard que la semaine dernière dans nos colonnes que les négos avec les derniers TO (pour le référencement) étaient bouclées et qu'on en était "au stade de la virgule avec les derniers".
Pour TUI et Transat, c'est une grosse virgule.
Et, à l'heure où j'écris ces lignes, rien n'est encore signé avec ces deux-là.
A tel point que les négos, qui se sont poursuivies durant la "trêve de Noël" sont décrites par un proche du dossier comme "extrêmement difficiles".
Si j'en crois mon gros nez, les discussions patronat-syndicat n'étaient que de la gnognotte comparées aux discussions de référencement…
Pour Transat, le problème porte principalement sur la durée du contrat.
Le Réseau, qui a accepté un certain nombre de "compromis" (dont les termes sont plus secrets que la marque de la teinture de François Hollande) ne veut pas céder.
Transat veut un contrat d'un an, tandis que le Selectour-Afat table sur une durée de trois ans. Sans être totalement dans l'impasse, on reste chacun sur ses positions…, mais qui prendra l'initiative de dire : "allez vous faire voir" ?
Autre TO, autre problème : TUI et particulièrement sa marque Nouvelles Frontières. On s'en souvient, lors du Congrès Manor, Pascal de Izaguirre avait lancé un sacré pavé dans la mare en indiquant que (et pour la faire courte) le taux de commission réclamé par les réseaux était trop "lourd" et qu'il fallait renégocier tout ça.
En coulisses, les rencontres s'étaient rapidement organisées et il semble qu'un accord avait été envisagé entre le réseau et TUI…
Pour TUI et Transat, c'est une grosse virgule.
Et, à l'heure où j'écris ces lignes, rien n'est encore signé avec ces deux-là.
A tel point que les négos, qui se sont poursuivies durant la "trêve de Noël" sont décrites par un proche du dossier comme "extrêmement difficiles".
Si j'en crois mon gros nez, les discussions patronat-syndicat n'étaient que de la gnognotte comparées aux discussions de référencement…
Pour Transat, le problème porte principalement sur la durée du contrat.
Le Réseau, qui a accepté un certain nombre de "compromis" (dont les termes sont plus secrets que la marque de la teinture de François Hollande) ne veut pas céder.
Transat veut un contrat d'un an, tandis que le Selectour-Afat table sur une durée de trois ans. Sans être totalement dans l'impasse, on reste chacun sur ses positions…, mais qui prendra l'initiative de dire : "allez vous faire voir" ?
Autre TO, autre problème : TUI et particulièrement sa marque Nouvelles Frontières. On s'en souvient, lors du Congrès Manor, Pascal de Izaguirre avait lancé un sacré pavé dans la mare en indiquant que (et pour la faire courte) le taux de commission réclamé par les réseaux était trop "lourd" et qu'il fallait renégocier tout ça.
En coulisses, les rencontres s'étaient rapidement organisées et il semble qu'un accord avait été envisagé entre le réseau et TUI…
Autres articles
Ce dernier aurait confié la gestion de ses agences au réseau Selectour-Afat (en les faisant adhérer au réseau) ce qui aurait permis à TUI de ne verser qu'un "complément de commission" au réseau.
Une façon amusante pour le TO de s'éloigner de sa propre distribution (lourde en termes de coûts) tout en bénéficiant de la puissance d'un réseau.
Si j'en crois mes informations, le Basque Bondissant aurait donné "sa parole" !
Las, il semble cependant que les actionnaires de Pascal de Izaguirre, pour qui le TO est un "big problem", ne voient pas les choses de la même manière.
Une nouvelle "tête" du groupe TUI, venue de Scandinavie, une dame, devrait en effet "chapeauter" le Groupe en France dans le domaine de la distribution. Et, accessoirement, ne pas vouloir entériner la parole du Basque. Ce qui fait que, pour le moment, là aussi, ça coince!
Nous aurons peut-être de nouveaux éléments demain… Du moins, on va poser la question.
Et, en attendant, je ne résiste pas à vous délivrer l'envolée lyrique de Jean-Pierre Mas, (lequel réfléchit toujours à sa candidature à la tête du réseau), pour ses vœux aux collaborateurs du réseau:
"Je vous souhaite un hiver lumineux de gris argentés jusqu'à la nacre,
Un printemps d’espoirs et de bleus ciel moutonnés,
Un été écarlate suivi d’un automne paisible, de demi-teintes, de pastel et de mordoré.
Et encore et toujours des rêves d'une grande blancheur.
Voilà pour le décor coloré d’une année 2013 que je m’efforcerai de rendre à chacun d’entre vous juste et épanouissante."
Ca, ce sont des vœux d'un Président, n'est-il pas ? Cette fois, c'est Baudelaire qui va se retourner dans sa tombe !
Une façon amusante pour le TO de s'éloigner de sa propre distribution (lourde en termes de coûts) tout en bénéficiant de la puissance d'un réseau.
Si j'en crois mes informations, le Basque Bondissant aurait donné "sa parole" !
Las, il semble cependant que les actionnaires de Pascal de Izaguirre, pour qui le TO est un "big problem", ne voient pas les choses de la même manière.
Une nouvelle "tête" du groupe TUI, venue de Scandinavie, une dame, devrait en effet "chapeauter" le Groupe en France dans le domaine de la distribution. Et, accessoirement, ne pas vouloir entériner la parole du Basque. Ce qui fait que, pour le moment, là aussi, ça coince!
Nous aurons peut-être de nouveaux éléments demain… Du moins, on va poser la question.
Et, en attendant, je ne résiste pas à vous délivrer l'envolée lyrique de Jean-Pierre Mas, (lequel réfléchit toujours à sa candidature à la tête du réseau), pour ses vœux aux collaborateurs du réseau:
"Je vous souhaite un hiver lumineux de gris argentés jusqu'à la nacre,
Un printemps d’espoirs et de bleus ciel moutonnés,
Un été écarlate suivi d’un automne paisible, de demi-teintes, de pastel et de mordoré.
Et encore et toujours des rêves d'une grande blancheur.
Voilà pour le décor coloré d’une année 2013 que je m’efforcerai de rendre à chacun d’entre vous juste et épanouissante."
Ca, ce sont des vœux d'un Président, n'est-il pas ? Cette fois, c'est Baudelaire qui va se retourner dans sa tombe !